LeBouddhisme est une philosophie, mais il est aussi considéré pendant des siècles comme une religion. Une religion sans le Dieu créateur. En effet, il compte jusqu’à 500 millions d’adeptes jusqu’ à maintenant. Ce qui fait d’elle la quatrième religion mondiale derrière le Christianisme, l’Islam et l’Hindouisme.Quel sens attribuer au nombre 12 ? Le nombre 12 et sa symbolique ? Ce nombre est parfois considéré comme un chiffre parfait étant donné qu’il est interprété comme un point d’harmonie. Il symbolise aussi la fin d’un cycle et la renaissance. 12 est également porteur de message de la part des anges. Découvrez à travers cet article la propriété et la valeur symbolique du nombre 12, sa signification dans les messages d’anges à travers les nombres puis sa représentation biblique. Quelle est la signification du nombre 12 ? Nos anges gardiens nous transmettent des messages en utilisant les signes et les symboles. Si vous remarquez alors que le nombre 12 ne cesse de revenir dans votre quotidien sur une heure affichée à l’horloge, plaque d’immatriculation, etc., il peut y avoir un message qui est caché derrière. Tout d’abord, le nombre 12, dans sa signification, apporte à votre quotidien de bonnes ondes comme la sympathie et la finesse. Il véhicule aussi de bonnes vibrations comme l’envie de collaboration et la faculté d’adaptation. Ce sont des capacités qui vous aideront à surmonter les obstacles et à réussir dans tout ce que vous entreprendrez. C’est également ainsi que vous arriverez à atteindre votre objectif de vie divine et votre mission d’âme. Sachez également que le 12 dans sa représentation symbolise la renaissance, la sagesse, la connaissance, la sensibilité et la grande intelligence. Lorsque les énergies des chiffres 1 et 2 se combinent, elles vous apportent un bon équilibre dans votre vie quotidienne. Obtenez votre Voyance Gratuite! Il vous suffit de remplir ce formulaire À travers le nombre angélique 12, votre ange gardien vous transmet un message qui est alors de garder des pensées toujours positives. Il souhaite que vous gardiez l’espoir et la foi, malgré les éventuelles épreuves que vous traversez. Par la signification du nombre 12, votre ange gardien veut également vous pousser à exploiter vos talents et vos compétences. Vous le ferez pour votre développement personnel, mais également pour faire le bien autour de vous. Ce sera ainsi que vous vous mettrez sur la voie du progrès et de la réussite. À travers le nombre 12, votre ange gardien vous envoie un message clair que vous accordiez un peu plus d’importance à votre foyer. Cela peut se traduire par des tâches anodines, mais importantes comme aménager votre cadre de vie afin qu’elle puisse être plus confortable, prendre soin de votre jardin, etc. Cela veut aussi dire que vous devriez trouver le bon moyen pour réunir votre famille autour des moments plus conviviaux. Faites-en sorte que votre foyer soit rempli de joie et d’amour. Lorsque le 12 revient régulièrement dans votre quotidien, votre ange gardien vous encourage à vous échapper de la monotonie et de la routine. Mettez-vous à la recherche de nouvelles expériences tout en gardant votre optimisme. Ce sera ainsi que les belles opportunités arriveront à entrer dans votre vie et que vous serez en mesure d’atteindre vos objectifs. Que signifie le nombre 12 ? Le nombre 12 est considéré comme un repère important qui nous permet de nous situer dans le temps. L’exemple le plus concret est le système horaire. Une journée est divisée en deux parties la première se terminant à midi et la seconde à minuit. Vous avez aussi le système duodécimal qui permet de sélectionner une année en 12 mois. Le nombre 12 revêt également une dimension fondatrice dans les grandes religions. Vous avez certainement dû entendre parler des 12 fils de Jacob qui sont à l’origine des 12 tribus d’Israël dans l’Ancien Testament. Retrouvez également les 12 apôtres choisis par le Christ dans le Nouveau Testament. Dans la religion musulmane, le chiisme duodécimain profère l’existence de 12 imams qui seront les successeurs du prophète Mahomet. Dans la doctrine bouddhique, le Dhûta enseigne également 12 pratiques ascétiques autorisées par le Bouddha. Les bouddhistes parlent également des 12 Nidanas ou cause de l’existence. En numérologie, le nombre 12 fait référence à la fragilité sur le plan physique des personnes placées sous cette influence. Il peut aussi s’agir de fragilité sur le plan moral et psychologique. Ce nombre renvoie également à la notion d’épreuves dans la vie. Il peut s’agir d’échecs professionnels comme le licenciement et le chômage, mais également d’échecs sur le plan affectif. Il y a aussi les ruptures amoureuses et des difficultés à rencontrer l’âme sœur. Cependant, toutes ces épreuves sont surmontables. Aussi, les 12 » ont plus de solidité pour pouvoir faire face aux obstacles de la vie. Les successions d’épreuves laissent alors place aux périodes plus fastes et plus heureuses. Par rapport aux autres, elles savourent mieux ces moments parce qu’elles se trouvent dans une atmosphère de renaissance. On entend par 12 » les personnes qui ont vu le jour le 12e de leur mois de naissance. Il peut aussi s’agir des personnes qui ont comme signe astrologique le 12e signe du zodiaque. Cette désignation peut aussi faire référence aux personnes ayant vu le jour à 12 h 12. Par ailleurs, les 12 » sont considérés comme plus matures par rapport aux autres personnes. En effet, elles sont confrontées très tôt aux difficultés de la vie et savent comment y faire face. Aussi, ils ont une meilleure capacité à s’adapter aux nouvelles situations qui se présentent dans la vie. Cependant, les 12 » ressentent souvent le besoin d’être rassurés et d’être valorisés par leurs proches. Ces personnes attendent par exemple une félicitation ou une mise à l’honneur après l’accomplissement d’une tâche importante. Lorsque ce n’est pas le cas, elles sont frustrées et envahies par un réel sentiment de doute. Oui, malgré toutes leurs qualités, les 12 » ont un manque de confiance envers leur personne. Que signifie le nombre 12 dans la bible ? Dans la bible, le nombre 12 exprime l’élection. L’exemple le plus marquant est sans doute les 12 apôtres choisis par le Christ. Ils sont au nombre de 12 parce que ce sont les élus du Seigneur. Par ailleurs, le Nouveau Testament parle des 12 étoiles qui couronnent la Femme dans le livre de l’Apocalypse. Les 12 anges et les 12 fruits de l’Arbre de Vie y sont également évoqués puis les 12 portes de Jérusalem. Dans l’Ancien Testament, il y a aussi les 12 tribus élues. En outre, ce nombre d’élections ramène aux 12 prophètes mineurs de la bible. S’il vous arrive ainsi un jour de découvrir ou de remarquer la répétition du nombre 12, vous savez maintenant tout sur sa signification. Découvrez d’autres articles intéressants de PADRE LE SIGNE DU SCORPION ET L’ARCHANGE JÉRÉMIEL DÉCOUVREZ TOUT CE QU’IL FAUT SAVOIR SUR LE SIGNE DE BALANCE ET L’ARCHANGE JOPHIEL L’HISTOIRE DU SIGNE DU POISSON ET L’ARCHANGE SANDALPHON
Lestrois bouddhas de la sagesse Le premier se cache les yeux, le deuxième la bouche et le troisième les oreilles. Vous avez forcément déjà aperçu ces Facebook. Email or phone : Password: Forgot account? Sign Up. See more of Renaixion. Devenez ce que vous êtes - Ésotérique et bien être on Facebook. Log In. or. Create new account. See more of Renaixion.
Le Bouddhisme est une discipline que l’on se doit de mieux connaître lorsque l’on s’intéresse à la spiritualité et à la culture asiatique. Il nous semble en effet naturel de nous renseigner sur ce que nos yeux d’occidentaux peuvent considérer comme la religion la plus majoritairement répandue en est également nécessaire d’avoir quelques explications concernant sa signification et ses symboles que l’on peut interpréter maladroitement. Nous vous proposons d’aborder ensemble la plupart des symboles utilisés par les Bouddhistes et ce qu’ils exemple, nous vous expliquerons ce que signifie la Croix Gammée dans le Bouddhisme Svastika et pourquoi elle n’est pas un symbole du mal dans ce contexte symboles Bouddhistes sont nombreux et ont de multiples significations. Nous aborderons en détails le sens de la Fleur de Lotus, du Yin et du Yang, du drapeau Tibétain, du symbole Ohm et de la roue de Dharma. Nous verrons également pourquoi la méditation et la spiritualité sont des piliers importants du Bouddhisme et comment ils sont utilisés dans les monastères Shaolin pour former des Moines notions du Karma et les principes de la personnalité du Dalaï Lama seront également abordés pour finaliser un tour d’horizon que nous voulons complets sur la symbolique symboles dont nous venons à peine d’effleurer le nom ont de multiples interprétations. Leurs significations profondes peuvent même varier en fonction de la culture, de la langue ou même des ethnies qui les avec autant de variabilité et de symboles, comment devons-nous les interpréter ? La réponse à cette question se trouve dans une compréhension plus large du contexte de leur utilisation. Avant d’en arriver là, essayons de voir ensemble ce qu’est un qu’un symbole ? Un symbole représente quelque chose d'autre par une association d'idées, une ressemblance physique ou une convention. Ainsi, le poing levé peut être peut être représentatif de la colère ou de la révolte c'est un drapeau coloré, peut, selon les couleurs et leurs dispositions être un symbole d'homosexualité, d'un pays ou d'une communauté. On dira ainsi qu'il s'agit du symbole qui représentera leurs valeurs, leurs revendications et leurs messages de manière simple et imagée. Pour symboliser le Bouddhisme, il existe des œuvres d'art, un drapeau, des dessins, des personnalités et plein d'autres choses mieux comprendre comment des signes, dessins et représentations sont utilisés dans la spiritualité bouddhique, nous devons également rappeler pour ceux d’entre vous qui ne le savent pas, quelques mots sur le bouddhiste et ses que le Bouddhisme ? Le Bouddhisme est une spiritualité et une philosophie de vie qui est souvent assimilée à une religion. Il s'agit en réalité d'un ensemble de pratiques telles que de la méditation, des rituels et des pratiques philosophiques. Il est tourné vers une pratique visant l'éveil par une forme d'extinction du désir. Les Bouddhistes sont considérés comme pacifistes, altruistes et tournés vers le bonheur intérieur. Ils inspirent beaucoup de monde pour ce qu'ils dégagent et transmettent et sont généralement très appréciés pour leurs attitudes positives et tant que religion, elle serait la 4ème la plus représentée dans le monde mais serait malgré tout en régression suite aux nombreuses persécutions menées par les régimes communistes, notamment en Chine. Par conséquent et pour représenter le mieux possible ses valeurs universelles, quels sont les symboles utilisés par les bouddhistes et que représentent-ils ?Quelle est la Signification d’un Symbole Bouddhiste ?En tant que spiritualité, le Bouddhisme est une pratique de vie qui ni facile à expliquer ni à comprendre par le biais des mots. Néanmoins, certaines de ses valeurs universelles sont accessibles et signifient beaucoup pour les bouddhistes. Ainsi, un symbole bouddhiste représentera une valeur, une doctrine ou une partie de l'enseignement du Bouddha. Il aura beaucoup de sens pour celui qui le porte ou décore son lieu de vie. Il sera l'objet de discussions familiales ou amicales ouvrant l'esprit et les chakras de chacun. Enfin, il sera un aide mémoire permanent pour aider à se recentrer sur l'essentiel et mettre de la lumière sur son chemin de allons maintenant aborder de manière détaillée certains de ces symboles bouddhistes pour mieux comprendre ce qu’ils signifient en les replaçant dans le bon contexte d’ Symbole Bouddhiste de la CroixLa croix Bouddhiste la plus connue dans le monde est celle que l'on appelle la Svastika. En effet, elle est souvent confondue avec la croix gammée nazie qui est malheureusement célèbre depuis son utilisation à l'époque de la seconde guerre mondiale. Si ce symbole existe depuis l'ère du néolithique, elle n'est plus utilisée qu'en Asie et en extrême orient depuis la seconde guerre mondiale. En effet, toute représentation de la croix gammée est désormais interdite dans certains pays d' un symbole sacré positif et très utilisé dans l'Hindouisme et dans le bouddhisme. On considère souvent qu'il porte chance et est de bon augure. Par exemple en Chine, il représente l'éternité et en Inde c'est l'un des symboles de la divinité Ganesh. Vous trouverez donc de nombreuses œuvres d'art asiatiques comportant ces symboles qui n'ont absolument aucun rapport avec le nazisme ou Adolf Hitler. Tournée vers la gauche, elle est surtout utilisée par les Bouddhistes et tournée vers la droite, c'est essentiellement un symbole Statues du BouddhaLes statues du Bouddha ont ceci de particulier qu’elles sont des représentations esthétiques du Bouddha en trois dimensions. Elles peuvent le représenter enfant, pendant son apprentissage et son cheminement ou adulte, serein et rayonnant lorsqu’il a atteint l’ Statues sont utilisées comme objet de décoration spirituels elles rayonnent de calme et d’apaisement. Les intérieurs qui en sont affublés sont propices à la relaxation et à la méditation. Grâce à elles, on sent une touche d’exotisme asiatique salutaire qui invite à être Zen et existe également des statues bouddhiques symboliques fortes d’autres personnages mythologiques importants pour le Bouddhisme. Comme les Statues féminines de Guanyin par exemple qui sont rares et peu connues dans nos contrées. A ce stade, nous nous devons de vous rappeler un autre personnage très célèbre est souvent confondu avec le Bouddha il s’agit du Bouddha Rieur que nous vous invitons à découvrir dans l'article qui lui est Moines Enfants monkLes Enfants Moines TibétainsLeurs visages souriants et leur bonheur apparent malgré leur dénuement nous font chavirer le cœur et l’esprit. Nous avons tous en tête l’image de ces enfants, parfois très jeunes, habillés de ces toges bouddhiques. Les moines enfants tibétains sont peut-être une image d’Epinal pour nous autres occidentaux, mais ils sont aussi une réalité du Tibet. En ce sens, ils sont un symbole très fort du Bouddhisme et les photos incroyables de ces enfants font le tour du monde !Si le gouvernement chinois interdit l’accès aux monastères pour les enfants de moins de 9 ans, ils sont encore très nombreux à y accéder malgré cette interdiction. En cela ils sont un des symboles forts du Bouddhisme car pour l’humanité entière, tout ce qui touche les enfants nous inspire ou nous préoccupe !. Nous avons du mal à imaginer que de si jeunes enfants s’engagent dans une relation maître/disciple et consacrent de longues heures à pratiquer la Moines Enfants ShaolinC’est peut-être l’un des symboles les plus impressionnants et attendrissant du Bouddhisme. En effet, qui n’a pas vu, dans un film ou un documentaire ou un spectacle sur les arts martiaux ces enfants moines ? Le crâne rasé, habillés de toges rouge et jaune, capables des plus incroyables prouesses de souplesse et d’acrobaties ?Formés aux arts-martiaux, à la méditation et parfaitement éduqués, ils passent leur vie dans des monastères à étudier ces disciplines permettant de se forger le corps et l’esprit. Les plus célèbres parmi eux participent à des spectacles et des démonstrations qui permettent la promotion du bouddhisme, de la méditation et des arts martiaux chinois. Ce sont les moines Shaolin ; ils apprennent leurs disciplines dans les non moins célèbres monastères Shaolin. En cela, ils apprennent une forme particulière de Kung Fu qui s’inspire particulièrement des mouvements des Monastères ShaolinLes monastères Shaolin sont les lieux où s’entraînent les célèbres moines dont nous venons de parler. Situés dans les montagnes, les conditions de vie y sont spartiates, à la mesure des exigences difficiles qui sont demandées à ces moines pour leur apprentissage et leur les connaissons surtout au travers des films d’actions où les héros s’y entraînent pour se préparer à affronter l’ennemi ou lors des documentaires sur les moines Bols TibétainsNous connaissons aussi les bols chantants tibétains comme étant l’un des symboles de la spiritualité bouddhique. Utilisés pour des soins basés sur des sons à des fréquences particulières, ils sont aujourd’hui des objets de décoration très prisés en occident. Pourtant, ce sont des objets tibétains très utilisés dans certaines écoles bouddhistes de la chaîne de l’Himalaya notamment les écoles dites tantriques et mahayana.Ce sont des objets utilisés lors de certains rituels qui ont la particularité de générer des fréquences facilement reconnaissables qui semblent propice au travail de la méditation et à la relaxation. En effet, lorsque l’on fait vibrer le bol avec un maillet en lui donnant des petits coups ou en faisant glisser le maillet pour le faire chanter comme on le ferait avec un doigt mouillé et un verre en cristal on ressent quelque chose de vraiment particulier. Les Bracelets Mala ou Bracelets bouddhistesSi le bracelet bouddhique est aujourd’hui un objet à la mode très répandu sur les boutiques en ligne, il s’agit avant tout d’un objet spirituel authentique. Utilisé historiquement par les pratiquants du Bouddhisme et de l’Hindouisme depuis des millénaires, il aurait des fonctions facilitant la méditation en permettant de focaliser son attention sur la sensation que procure ses boules dans la main et entre les du Bracelet Mala est galvaudée en occident, puisque ses détenteurs les utilisent généralement pour son esthétisme original et séduisant ou pour montrer » aux autres que l’on s’intéresse au Bouddhisme, à la spiritualité ou à la culture évidemment, ces valeurs occidentales ne sont pas très proches de l’esprit originel du Bouddhisme et ces bracelets sont de moins en moins appréciés par les personnes qui s’intéressent véritablement à la méditation dans nos Symbole de L’HindouismeEn complément de ces symboles bouddhistes favorisant la protection physique et spirituelle, il existe également des représentations dont le sens est plus profond. Découvrons ensemble ces symboles Symboles Spirituels du BouddhismeLa MéditationLa méditation est peut-être le symbole le plus représentatif et compris de la culture du Bouddhisme. En effet, lorsque l’on pense à cette discipline, la première image qui vient en tête est celle d’une personne assise en tailleur le dos droit dans la position du Lotus, les mains positionnées sur les genoux avec les paumes vers le haut dans un mantra particulier, les yeux fermés et parfois ruminant le son Om ».Si cette image est forte, elle ne représente qu’une partie de ce qu’est et peut être la méditation. Il existe plusieurs écoles et pratiques de la méditation, mais chacune nécessiterait de longs articles à part entière. Attardons-nous sur les deux pratiques les plus connues et sur les bienfaits qui y sont Méditation TranscendantaleD’origine indienne, cette forme de méditation a été introduit en occident dans les années 60. Elle ne nécessite pas de concentration et consiste à répéter mentalement un mantra avec pour objectif de se connecter à notre conscience pure, dans un silence mental reconnaissance dans le monde entier vient de certaines célébrités qui l’ont pratiqué en vantant ses mérites, comme les Beatles ou The Doors et de l’essor du mouvement Hippie dont les membres faisaient des allers et retours en Inde en ramenant cette pratique dans leurs méditation transcendantale serait aujourd’hui la forme de méditation qui comporte le plus de pratiquants dans le Méditation de Pleine ConscienceLa méditation de pleine conscience consiste en une sorte de prise de recul intérieur il s’agit dans un premier temps de réussir à calmer le flux de nos pensées issues du mental. Ainsi, on va observer les pensées qui traversent nos esprits pour les laisser passer et revenir sur une forme d’apaisement. Quand elles nous dominent, il s’agit d’en prendre conscience pour les laisser partir et retourner à une forme de calme fois ce calme approché ou atteint, il s’agit de vivre en conscience ce que nous procure nos sens le chant des oiseaux, le goût de la nourriture, la sensation de nos pieds nus sur le pratique a de multiples bienfaits dont le calme et l’apaisement. Elle nous aide également à identifier le flux de nos pensées incessantes pour aider à le diminuer et vivre ainsi pleinement le moment présent essence de la méditation de pleine SpiritualitéLa spiritualité est l’essence même du Bouddhisme. Comme nous l’avons avec l’exemple des pratiques de la méditation, les bouddhistes travaillent leurs forces intérieures pour mieux maîtriser l’esprit. L’exercice de la méditation, du lâcher prise et une certaine forme d’hygiène de vie favorise l’épanouissement et l’atteinte du le chemin du Nirvana, les pratiquants envisagent le monde sous un autre angle car ils en ont perçu quelque chose que nous ne pouvons pas concevoir sans ces pratiques spirituelles. Si le Bouddhisme n’est pas une religion, les bouddhistes se forgent des convictions dans la discipline et la pratique sans chercher l’imposer aux autres et au par l’observation de ces personnes rayonnantes de bonheur et de joie de vivre que l’on se demande par quel biais elles arrivent à atteindre cette plénitude. Lorsque l’on apprend que c’est par des pratiques comme la méditation bouddhique qu’elles réussissent à atteindre cette forme de détachement, il devient naturel de s’y intéresser et de vouloir la pratiquer aussi. Tout & YangCe symbole universel est d’une grande simplicité graphique. Pourtant, ce que recouvre le Yin et le Yang et ce qu’il représente revêt d’une complexité et d’un impact incroyable. Issu de la philosophie chinoise, il représente la complémentarité de la vie et de l’univers. Il représente les dualités, qui sont à la fois complémentaires et par les couleurs noir et blanc, sa forme rappelle le jeu et la danse universelle qui explique que l’un ne peut pas exister dans l’autre. L’amour ne peut exister sans haine, la vie sans la mort, le vide sans le plein, le masculin sans le féminin. Ce dessin est à l’origine de beaucoup de questionnements et nous inspire à réfléchir au monde et au sens du bonheur peut-il exister dans le malheur ?.Fleur de LotusLa Fleur de Lotus est un symbole qui est très associé au Bouddha. En effet, il est très fréquent de voir des statues représentant le Bouddha assis sur une Fleur de Lotus. C’est une fleur qui représente le Bouddha grâce à tout un symbolisme fort ses grainent durent très longtemps, ce qui représente l’éternité de la une fleur qui poussent dans la vase et les mares symbolisant ainsi le pouvoir de sa pureté et de sa beauté, qui vient à la vie dans la boue et la fleur donne également son nom à une posture utilisée en Yoga la position du Lotus. Celle-ci sert dans la méditation Yogique et la méditation bouddhique. Il s’agit d’une posture dans laquelle les jambes sont croisées et les pieds reposent sur les cuisses Sans FinLe nœud sans fin est un symbole bouddhiste d’origine Tibétaine qui symbolise l’infini. Il représente l’entremêlement du temps et de l’apprentissage spirituel. Ainsi noués, les uns dans les autres, les connaissances forment un treillis qui évoque la sagesse de l’être éveillé et de Bouddha. C’est un symbole porte bonheur que l’on retrouve sur de nombreux objets asiatiques qui lui font nœuds sont au nombre de 8 et représentent les symboles de bon augure du bouddhisme tibétain. Ce signe très positif est également emprunté par la Corée qui s’en sert comme talisman sur ses est à la fois une syllabe et un son provenant du sanskrit. Elle est utilisée dans le bouddhisme, l’hindouisme mais également dans le Yoga. Elle symbolise le son originel qui a façonné l’univers. Elle représente par son étymologie tout ce qui existe, a existé et existera. Dans le Bouddhisme tibétain, elle est utilisée comme un mantra lors de certaines du cliché que le cinéma veut bien lui réserver, ce son utilisé lors des méditations est d’une grande puissance spirituelle. Il est tellement célèbre et important qu’il est même devenu un célèbre motif de tatouage de nos Roue de DharmaLa roue du Dharma est un symbole bouddhiste important qui représente le chemin de la diffusion des connaissances du Bouddha lorsqu’il est sur le chemin de l’éveil. Il représente une roue de chariot à 8 bâtons. Certaines représentations utilisent un nombre de rayons différents pour signifier des histoires et des récits forme circulaire rappelle la perfection de l’enseignement du dharma, le centre représente la discipline nécessaire à la méditation bouddhique et la jante rappelle la concentration qui maintient l’ensemble. Il existe également une mudra particulière qui représente la roue de la loi qui est son autre nom.Le KarmaCe mot a été popularisé ces dernières années par l’expression Instant Karma ». ll s’agit du titre de nombreuses vidéos sur Youtube exprimant le juste retour des choses instantanément après qu’une personne ait commis un acte malveillant ou le Bouddhisme et l’Hindouisme, il s’agit d’une explication d’un certain nombre de traits de caractères et d’événements qui peuvent survenir chez une personne au travers de ces différentes incarnations. Ainsi, vous pourrez payé les conséquences dans votre vie actuelle d’actes malveillants ou mauvais que vous avez commis dans une vie s’agit d’une sorte de dette que vous avez contracté et que vous devez remboursé. Le précepte qui se cache derrière ce concept est que vous devez connaître une vie juste pleine de droiture et de bienveillance pour bénéficier d’une vie et de conditions de vie encore meilleures dans la faut considérer le karma comme une incitation à un cercle vertueux de la bonté dans la vie de chacun pour rendre ainsi progressivement le monde meilleur !Nous avons abordé ensemble l'ensemble des symboles bouddhistes de protections et les symboles les plus spirituels du bouddhisme. Notre tour d’horizon de ces symboles ne serait pas complet si nous n’abordions pas également certains combats politiques liés au symboles politiquesLe Drapeau Bouddhiste ?C'est un drapeau composé de 5 couleurs issues de l'aura de Bouddha lors de son éveil. Elles symbolisent les valeurs à perfectionner pour atteindre l'éveil à son tour au travers de 6 bandes colorés La méditation est représentée par le BleuLe Jaune symbolise la pensée justeL'énergie spirituelle est le RougeLa foi sereine est évoquée par le BlancL'intelligence et la sagesse sont exprimées par l'OrangeLa 6ème bande reprend les 5 couleurs de manière verticale. Le drapeau bouddhiste est un symbole très facile à reconnaître et pratique à mettre chez soi si l'on cherche à se remémorer les 5 sources d'apprentissage et de perfectionnement du Drapeau TibétainCe symbole est celui d'un gouvernement exilé en Inde. Il a été interdit par la Chine qui ne reconnait pas au Tibet une existence administrative spéciale comme Hong Kong. Cela signifie que le drapeau officiel du Tibet est celui de la drapeau Tibétain est rempli de symboles La montagne le Tibet et la chaine de l'Himalaya sont liés. C'est une région considérée comme faisant partie des monts 6 raies rouges du ciel représentent les 6 tribus du 6 raies bleues foncées symbolisent le soleil rayonnant signifie que le Tibet est prospère et libre spirituellement et socialementLes lions des neiges démontrent l'absence de peurLes 3 joyaux représentent les 3 refuges du Bouddhisme le Bouddha, le Dharma et le SanghaLa bordure jaune des 3 côtés symbolise la parle du Bouddha comme étant semblable à l'or purLe symbole du Yin & Yang représente l'éthique du BouddhismeL'absence de bordure sur le côté droit montre l'ouverture aux pensées qui ne seraient pas bouddhistesLes Drapeaux de PrièreLes drapeaux à Prières sont des symboles colorés que l'on peut trouver au sommet des montagnes, aux croisements, sur les maisons ou les temples dans toute la région de l'Himalaya. Ils sont remplis d'inscriptions pour que le vent diffuse leurs messages sacrés pour les dieux et les un des symboles les plus connus du Bouddhisme Tibétain dont les couleurs ont une signification particulière Le bleu représente le ciel et l'espaceLe vert symbolise l'eauLe jaune orangée est l'image de la terreLe blanc représente les nuages et les ventsLe rouge correspond au feuLe Dalaï Lama ?On pourrait croire que le Dalaï Lama est le nom d'une personne habillée d'une toge orange et porteur de messages bienveillants de paix et d'amour. En réalité, il s'agit du nom d'une lignée de réincarnation dont on fait l'hypothèse dans le bouddhisme ce personnage est le 14ème du nom. Comme ses prédécesseurs, il est considéré comme une émanation du Bodhisattva de la compassion et il est vénéré comme un dieu par les est également une autorité représentant le gouvernement Tibétain en exil et pourrait bien être le dernier de sa lignée.La🙈 signification est Le singe garde les yeux fermés. Un mignon singe souriant avec les mains gardant les yeux couverts. Un des trois singes connus fait face aux emoji. Aussi connu comme le singe méchant. Typiquement, les différentes plates-formes décrivent le singe comme souriant, mais certaines utilisent plutôt une forme de boucheIls reflètent l'incapacité de rester assis et de rester calme au même endroit. si vos pieds vous une tête qui gratte porte bonheur, si votre cheville droite avoir les oreilles qui tintent, sifflent, bourdonnent ou grattent signifie que l'on , un nez qui soudain démange annonce une rentrée d'argent. tams - 13 sept. 2009 à 1733. mélissa - 18 juil. La signification spirituelle des démangeaisons est différente de la définition physique habituelle. je precise que je n'ai eu aucun rapport sexuel. L'expression avoir toute sa tête » signifie bien garder le contrôle. tête qui gratte signification. 7 . Homme qui siffle signification siffle définition de siffle et synonymes de siffle . Comme je l'indique dans la page générale sur La symbolique du corps humain, les pistes que vous . panaris signification spirituelle. Il s'agit de tremblements temporaires, sans gravités, qui peuvent toutefois être gênants sur le moment. La spiritualité n' a pas de réligion. Souvent, cette sensation de picotement est présente lorsque votre inconscient a besoin de s'exprimer. Une tête qui gratte porte bonheur. Si vous êtes toujours à la recherche de cette méthode du Saint Graal pour traiter les maux de tête pendant l'éveil spirituel, voici quelques conseils Supprimez tous les stimulants de votre alimentation café, sucre, etc. Ils ne donnent pas la chair de poule par hasard. Les pellicules grasses nécessitent quant à elles des traitements plus spécifiques, tels que des shampoings dermatologiques. Clément Artois 11 . Si c'est votre main droite qui gratte, cela peut signifier que vous allez recevoir ou perdre de l'argent. 5. Bonjour, j'ai un problème il m'arrive fréquemment d'avoir les lèvres qui me démange m'irritent et enflent et je me demande réellement ce que j'ai. La tête de Bouddha symbolise l'éveil, le calme, la méditation et la sagesse. 36 MAIN GAUCHE QUI GRATTE =ARGENT? Celles et ceux qui souffrent de démangeaisons du cuir chevelu le savent bien, quand la tête commence à gratter, difficile de s'arrêter. En fait, les démangeaisons de la main gauche sont un signe de gagner de l'argent. oreilles droite qui siffle= ragots ?… significations et croyances; 37 Acouphènes et bourdonnements spirituels - N°433 Lorsque vous en ressentez, analysez l'environnement dans lequel vous vous trouvez. Les frissons spirituels, eux, ne surviennent pas lors d'une maladie. Comment en finir avec les démangeaisons du cuir chevelu irrité, qui démange, est un cuir chevelu trop sec. Des allergies cutanées à la morsure d'un insecte, l'agent causal des démangeaisons varie grandement. Je ne comprend pas. La signification du symbolisme des oiseaux est indéniable. Certains appellent cela un fourmillement paranormal » ou, plus simplement, une démangeaison frontale ». Première étape classique, se rendre chez un dermatologue qui pourra éventuellement vous éclairer sur la cause de la démangeaison. Toutes ces choses qui vous arrivent pour une raison vous donnent l'opportunité de fair certains changements dans vos vies. Changement soudain d'état émotionnel. Je suis vraiment gênée de cette démangeaison, svp aidez moi, qu'est ce que sa pourrait être ? Je suis allée voir un ORL et elle m'a testéé toutes les allergies mais aucune allergie. Tête symbolique, causes psychosomatiques et émotionnelles Signification psychosomatique de la tête La tête nous permet de garder le contrôle, de diriger, mais aussi de nous entêter, de nous obstiner et de nous affirmer. Quand on a le nez qui gratte, c'est aussi souvent le signe que quelque chose cloche, soit au niveau de notre environnement, soit au niveau de notre système immunitaire. Il n'y a pas une partie de votre être qui vous démange par hasard. La croyance en des présages de chance et de malchance a toujours été une partie universelle de notre pensée. Il y a une autre superstition moins répandue qui dit que . Les frissons spirituels sont également appelés frissons de clairvoyance ». Le symbolisme du crâne signification spirituelle. Symptômes. Cela peut être parce que les choses ne se déroulent pas comme on le voudrait ou encore une mise en évidence de notre impatience à être autonome dans certaines tâches. A l'opposé, la main gauche est associée à des événements heureux et positifs. Par exemple, bien qu'il soit un signe très positif de repérer des oiseaux près ou à l'extérieur de votre fenêtre, selon certaines superstitions, un oiseau qui pique à la fenêtre a pour signification spirituelle l'annonce de la mort d'un proche. Se gratter la main gauche est l'arrivée d'une somme d'argent. C'est une symétrie d'exaspération des mains qui captive l'argent dans la vie. Les informations sont traitées par l'hémisphère gauche du cerveau avec plus de distance. Les douleurs à la colonne vertébrale ou d'autres douleurs associées aux maux de tête et à la migraine peuvent indiquer une surdose d'informations. De nombreux oiseaux arborent une calotte, ce qui a une grande signification. La démangeaison est le sentiment irritant qui vous donne envie de gratter cette zone pour obtenir un soulagement. Il est défini comme la boîte osseuse qui contient le cerveau, comme la tête elle-même ou encore comme le sommet de la tête. Lors d'un éveil spirituel, nous prenons . Ils ne donnent pas la chair de poule par hasard. Menton Qui Gratte Signification Spirituelle on a longtemps cru que la zone du menton était en quelque sorte liée à la vie personnelle d'une personne. L'aigle souligne le fait que vous devez vous concentrer sur votre détermination et vos efforts afin de réaliser ce que vous souhaitez dans la vie. En effet, la main droite qui gratte est souvent diagnostiquée comme le signe d'une perte d'argent notoire. Å il droit un événement majeur sera annulé. Une augmentation de frémissements ou des frissons qui ne sont pas dus à la maladie ~. Lavage trop fréquent, coloration, permanente, brushing, stress, différentes causes peuvent être à l'origine d'un cuir chevelu qui s'il est normal de se gratter la tête, quand la démangeaison devient irritante, il faut agir !Grâce à nos 15 astuces de grands-mères ou remèdes naturels découvrez, avec 6 conseils et 15 remèdes naturels comment calmer la démangeaison à . Par. A l'opposé, la main gauche est associée à des événements heureux et positifs. Il n'y a pas de mal à écrire avec la main gauche. Home; About; Wiki; Tools; Contacts Mais souffrir de l'oreille droite, même si cela arrive fréquemment . Actuellement, la société des hommes, menacée de désintégration physique et spirituelle, commence à pren¬ dre conscience de sa dispersion, du vide qui est en elle, de son manque d'Idéal. Les poux sont de petits parasites qui s'installent sur la tête et se nourrissent de sang par aspiration. Mais cela dépend de la région du monde et de la tradition locale. tête qui gratte signification spirituelle 18 février 2021 Non classé 0 La signification des couleurs en Feng-shui. L'énergie de la Kundalini. Les frémissements et les frissons sont un signe que vous êtes très connecté à la source énergétique et, à ce titre, vous vibrez » d'énergie. Ne la grattez pas avec votre main droite mais frotter là sur du bois si vous souhaitez voir accomplir ce bon présage ! Les démangeaisons liées aux pellicules sèches sont souvent éliminées par l'usage d'un simple shampoing antipelliculaire, hydratant et apaisant. Un niveau d'empathie et de compassion accru ~. Lorsque votre paume gauche vous démange, les Hindous pensent que cela signifie que la déesse vous quitte. La vision spirituelle ou perception véritable . tête qui gratte signification. MAIN GAUCHE QUI GRATTE =ARGENT? As a partner, you are part of our team! Les douleurs de l'avant-bras Difficulté à réaliser ses projets et ses désirs - A changer ses habitudes et à accepter la nouveauté. Une croyance dit que si votre paume droite vous démange, vous recevrez de l'argent. La démangeaison constante et intense du cuir chevelu ainsi que le besoin permanent de se gratter sont donc les principaux signes de leur présence. Et bien que le prurit du cuir chevelu soit un fait . Prenez du jus d'Aloe Vera et prenez-le chaque fois que vous sentez que le mal de tête arrive. La maladie, LE MAL A DIT. Si cette onomatopée est difficile à traduire, le message que votre corps vous envoie est bien réel. Ce serait une puissante énergie lovée à la base de la colonne vertébrale sacrum ou chakra racine, représentée comme un serpent enroulé sur lui-même trois fois et demi. C'est dans l'air du temps il parait. Afficher la suite. Les pellicules sont une cause très fréquente d'un cuir chevelu irrité, qui démange et qui se desquame. Le ressentiment, les regrets, la haine, forment dans notre être une accumulation de nœuds, tout comme la petitesse, les envies, la jalousie. Tout ce qui est associé à la tête a des applications en rapport avec le processus de pensée, la conscience supérieure et les perceptions les plus élevées. Si vous voulez vraiment être payé, vous devez vous frotter les mains. Démangeaisons du cuir chevelu les traitements. 6. May 29, 2022 budget crossword clue dan word . Oeil gauche qui tremble signification spirituelle Halka Blagues, l oeil droit qui tremble signification, a m'a oblig poser mon stylo pendant quelques minutes l oeil droit qui tremble signification attendre que a passe, les maladies mentales peuvent aussi en tre la cause, sa m'tais deja ariv de temps en temps. L'oreille a toujours été un symbole de sagesse et de connaissance. parfois, cette sensation reflète son impatience et son agitation; son désir de voyager. Vous sentez qu'il y a bien plus qui se cache derrière ça, et ça c'est votre inconscient qui vous dit qu'il pense à vous. signification hirondelle dans la maison 2. C'est se mettre en position d'échange. Dans la religion hindoue, la déesse Lakshmi symbolise la bonne fortune, la richesse, la fertilité et la prospérité. Le langage corporel remonte à la nuit des temps il est inscrit dans nos gènes, c'est ce qui le rend universel parmi l'espèce humaine. Y être attentif, c'est retrouver notre pleine dimension d'être humain. Le Feng-Shui est une discipline d . Comment calmer le cuir chevelu irrité - Lotion au vinaigre de cidre. Tête de Bouddha Signification. Lorsque vous avez la main droite qui gratte, vous pouvez vous demander ce que cela signifie spirituellement et pourquoi les gens pensent que cette croyance est importante. Traitements soulager un cuir chevelu qui gratte Le traitement des démangeaisons du cuir chevelu se fait après détermination de leur cause. Difficulté à ouvrir ses bras pour accueillir l'autre et s'ouvrir à l'autre et à l'amour - A s'affirmer. Ressentir des démangeaisons ou prurit dans une ou les deux oreilles peut être désagréable. La signification spirituelle des démangeaisons est différente de la définition physique habituelle. Prennez votre réligion comme une base de votre spiritalité et cherché dans toutes les réligion du monde ce qui est bien. En outre, il est possible que vous ne le sachiez pas et il peut y avoir un risque que votre esprit et. août 2015. Avoir mal à l'oreille gauche serait plutôt un bon signe, comme un encouragement ou une indication que vous êtes sur la bonne voie. Signification - Qui exprime une moquerie froide et méchante. Lorsque vous en ressentez, analysez l'environnement dans lequel vous vous trouvez. Que symbolise le crâne en ésotérisme et dans l'Art ? Quand l'une ou les deux oreilles grattent et font mal, une otite peut être évoquée. By . Nez Qui Gratte Signification Spirituelle? Les superstitions font partie de toutes les cultures. Et oui, il y a l'art et la maniere de se gratter la main gauche pour reçevoir des sous ! Qu'est-ce que ça veut dire quand on a le nez qui gratte? Voici les différents éléments du visage qui permettent d'identifier la tête du Bouddha Le crâne est la partie la plus élevée du corps humain. La raison derrière son sourire c'est vous, votre apparence, le fait qu'il vous voit, et qu'il ne peut retenir ce sourire. En effet, la main droite qui gratte est souvent diagnostiquée comme le signe d'une perte d'argent notoire. Ces principes fondamentaux du bouddhisme sont représentés pas différentes caractéristiques sur la tête de Bouddha. Signification spirituelle des démangeaisons pour les moments où elles sont présentes sans aucune raison Il n'y a aucune cause médicale ou évidente derrière l'apparition d'une éruption cutanée. Vous pouvez avoir les yeux qui piquent ou larmoient, la gorge qui gratte, des douleurs et une perte d'odorat. Rhinites, allergies et rhume des foins La rhinite est une inflammation du nez. MYCOSE VAGINALE soigner la mycose vaginale et vulvaire; SECHERESSE VAGINALE la sécheresse vaginale et son traitement; SYPHILIS la syphilis sifilis ou vérole; Rougeurs sur le sexe rougeur du gland, des bourses… PROBLEME SEXUEL baisse du désir, douleurs lors des rapports, érection . DEMANGEAISONS DE LA VULVE la vulve qui gratte. Conclusion. Un des signes les plus courants se manifeste via l'apparition d'une sorte de démangeaison au sommet de la tête voire au niveau du front. Tweet. Main gauche qui gratte signification. Le symbolisme de l'or signification spirituelle et sens caché. 1 Pellicules, appelées aussi dermatite séborrhéique. Nos peurs et nos sentiments négatifs forment des nœuds, des barrières, des kystes émotionnels. Les démangeaisons sont la sensation irritante qui vous donne envie de vous gratter, de vous calmer ou de faire tout ce que vous pouvez pour obtenir un certain soulagement. Mais aussi d'humilité. Consacrez quelques minutes à l'éclaircissement, faites-le avec de l'eau tiède et terminez en appliquant un jet d'eau froide pour fermer les cuticules et leur apporter de l'éclat. . Signification - Somme versée en tribut. Un niveau d'empathie et de compassion accru ~. Les frissons spirituels, eux, ne surviennent pas lors d'une maladie. 5. De manière générale, la main droite est associée aux événements négatifs qui peuvent survenir dans nos vies. A priori anodines, les démangeaisons faites au niveau de la . la tête. On a tous déjà eu l'œil qui saute ou la paupière qui tressaute en se demandant si c'était grave ou pas, sans jamais. oreilles droite qui siffle= ragots ?. Beaucoup d'entre nous sont attentifs aux signes. La symbolique des différentes paries du corps . Les frissons spirituels sont également appelés frissons de clairvoyance ». 2011 à 2051. Main gauche qui gratte cette légende vient de Syrie. Un homme spirituel qui recherche le savoir caché ne dépend pas de sa réligion. L'or est donc un métal ambigu, qui peut mener à la perte de celui qui n'a pas compris son sens profond. Lorsque nous avons de la fièvre, un rhume, etc. Et oui, il y a l'art et la maniere de se gratter la main gauche pour reçevoir des sous ! Signification spirituelle de la coccinelle symbolisme . Bonjour, Mon palais et mes 2 coins ou parfois un coin de mes lèvres me démange énormément. significations et croyances Tous d'abord un grand merci à tous et à toutes MERCI . Ces informations sur les symptômes de votre éveil spirituel proviennent d'un commentaire de Naomi Wiltzius sur la page Facebook… 6. Ne la grattez pas avec votre main droite mais frotter là sur du bois si vous souhaitez voir accomplir ce bon présage ! En ce qui concerne la quantité, utilisez une noisette de produit si vous avez les cheveux courts ou moyens, et une noix si vous avez les cheveux longs. La cause la plus fréquente chez l'enfant est la pédiculose du cuir chevelu , terme désignant une infestation par le pou de tête ; la découverte de lentes doit amener à traiter par 2 applications . Comment reconnaitre son âme soeur spirituelle ? En islam, lever la main droite pour appeler quelqu'un dans un rêve, indique un optimisme face à l'avenir. C'est horrible! Dans un verre d'eau minérale froide, versez . N ous pouvons regarder chaque partie de notre corps atteint par une blessure ou une maladie à la lumière de la symbolique, afin de trouver une piste qui nous conduise à la cause psychologique de l'affection dont nous souffrons. 34 Sonner dans l'oreille gauche quelle est la signification spirituelle ? . Une augmentation de frémissements ou des frissons qui ne sont pas dus à la maladie ~. . la signification spirituelle d'une démangeaison de la paume droite avec les deux énergies de vos mains gauche et droite, il y a un équilibre yin et yang entre les deux qui maintient la circulation du flux énergétique dans tout votre corps. L'oreille, mon ouverture réflexive sur le monde. Se gratter la main gauche est l'arrivée d'une somme d'argent. Ecouter au lieu de parler, c'est savoir se dire que l'autre à quelque chose à m'apprendre. Répondre. Quand tu te gratte la main droite? Ils sont souvent représentés comme reliés par un serpent énergétique », à la manière d'un caducée qui symbolise cet entrecroisement d'énergie, appelé Kundalini . Non, vous n'êtes pas fou ou folle, vous êtes juste plus connecté avec vous, le Divin et votre environnement. Suite et fin de notre série dédiée à la Synergologie et aux interprétations que proposent les experts de cette discipline de notre langage non verbal, aujourd'hui avec le décryptage des démangeaisons au niveau de la tête lors de résolutions de problèmes ou de prise de décisions.. Démangeaisons et prise de décisions. D'ailleurs, même certains grands dirigeants de ce monde y prêtent attention, tout comme les célébrités…En outre, de plus en plus de gens se livrent à des rituels et portent . Lorsque nous avons de la fièvre, un rhume, etc. Interprétation. De se donner les moyens de réaliser et mettre en action dans le concret nos projets. Lorsque les démangeaisons sont localisées à la tête, il est probable qu'il y ait une inquiétude face à de nombreuses pensées non exprimées. C'est le problème de démangeaison du cuir chevelu dont on parle le plus, avec les produits de traitement les plus facilement disponibles. Home; About; Wiki; Tools; Contacts LOVE WHAT YOU DO. Des solutions pour en finir avec les irritations de la tête.. Mais il y a une légère différence. Un tel signe annonce l'ouverture de chakra coronal. Main gauche qui gratte signification. La signification d'un aigle qui croise votre chemin représente le succès et la victoire sur votre chemin de vie. Il semble que la signification spirituelle d'éprouver une douleur soudaine dans l'oreille dépende de quelle oreille il s'agit. Voici un regroupement de symptômes directement en lien avec votre éveil sprirituel. . Les frémissements et les frissons sont un signe que vous êtes très connecté à la source énergétique et, à ce titre, vous vibrez » d'énergie. L'aigle. Maux de tête fréquents ou migraines qui ne se règlent pas par la prise de médicaments ; Vivre des sensations étranges qui se produisent soudainement dans la zone de la tête / du crâne, souvent dans un endroit ou un côté particulier, alternant souvent. Les symptômes incluent des éternuements et le nez bouché ou qui coule. Entrons plus en détails dans le symbolisme de l'or et sa signification spirituelle. Unit No 405 Welldone Tech Park, Sector 48, Gurugram, Haryana 122018 . Le guépard symbolisme et signification spirituelle. Signification des démangeaisons quand notre corps nous parle Gratch, gratch… » c'est le bruit que fait votre corps lorsque vous vous grattez. Il s'agit d'un heureux présage. Notre race humaine est à la recher¬ che de sa signification, en quête d'une forme qui intègre les fragments Incohérents de notre vie. Levres irrité + demangeaison + enflure. lorsque ces énergies sont bloquées, cela peut vous faire sentir déprimé, stagnant, agité et mal en point. Si vous êtes dans une réligion, vous ne pouvez par bien évolué spirituellement. On se gratte la tête, on s'énerve mais rien n'y fait les démangeaisons du crane ne se calme pas. La tête nous gratte et nous démange peut-être à cause des poux, des pellicules, d'une réaction allergique, de psoriasis, d'eczéma, ou du parasite de la gale. par conséquent, l'envie de se gratter le menton signale des événements et des changements dans cette zone grattage du menton peut être interprété comme suit aventure romantique Le noir est associé quant lui au mystère, au féminin et à la grande matrice de la vie. Les Légendaires Dessin Animé épisode 1 Entier, تفسير حلم الميت يرمم البيت, Emploi Du Temps Pcsi Chaptal, Chef De La Maison Bourbon, Méthode Des Rectangles Intégrale Terminale S, Symfony Service Alias, Groupon Voyage Tout Inclus, Caractéristiquesdu produitDimensions: L.21 x l.19 x H.33 cmMatière: minéralColoris: noirDescription du produitStatue représentant un singe de la sagesse qui se cache les yeux. D'origine asiatique, elle a pour significationne pas voir le mal . Vous trouverez les 2 autres singes de la sagesse sous les réfs. 569894 et 569895. Les signes, marques et qualités du corps et de la parole d'un bouddha Les 32 signes majeurs excellents du corps éveillé d'un bouddha 1. La plante de ses pieds est ornée d'une roue à 1000 rayons, car il a toujours honoré et accompagné son maître; la paume de ses mains est ornée de la même manière, car il a pratiqué la générosité de manière pure et parfaite. 2. La plante des pieds d'un bouddha est aussi lisse que la carapace d'une tortue, ce qui la rend fermement ancrée au sol. Cela reflète la fermeté qu'il a toujours eue dans sa pratique du Dharma et dans la garde de ses engagements. 3. Les doigts et les orteils d'un bouddha sont reliés par un filet de lumière blanche; cela lui vient du fait d'avoir pratiqué les quatre manières d'influencer positivement les autres agir généreusement afin qu'ils désirent recevoir les enseignements; parler chaleureusement afin qu'ils nous suivent; travailler pour leur bien-être et mettre en pratique ce que l'on enseigne. 4. Peu importe son âge, la peau d'un bouddha demeure lisse et douce et n'est pas ridée, telle celle d'un enfant qui boit encore le lait au sein de sa mère. Cela reflète la constante générosité qu'il a eue en nourrissant les autres. 5. Sept parties de son corps sont arrondies et légèrement en relief le dessus de ses deux mains, de ses pieds, de ses épaules et l'arrière de son cou. Cela provient non seulement de sa générosité en terme de nourriture, mais aussi d'autres belles possessions, telles des vêtements de bonne qualité. 6. Ses doigts et ses orteils sont extrêmement longs, car il a sauvé des animaux alors qu'ils allaient être tués. 7. Ses talons dépassent largement de ses pieds, car il a fait tout son possible avec compassion pour aider les autres, sauver leur vie et leur procurer le confort. 8. Le corps d'un bouddha est très droit et mesure sept coudées 3,2 mètres; cela lui vient du fait d'avoir complètement abandonné le meurtre de toute créature que ce soit. 9. Ses coudes et ses rotules ne sont pas protubérants, car il a mené à terme les six perfections en les pratiquant intensément. 10. Les poils de son corps pointent vers le haut, car il a entrepris les pratiques vertueuses et a inspiré les autres à faire de même. 11. Ses mollets sont bien courbés, tels les pattes d'une antilope. Cela provient de son admiration et de sa maîtrise complète de l'astrologie, de la médecine et des arts, ainsi que de leur utilisation au profit des autres. 12. Les bras d'un bouddha sont extrêmement longs lorsqu'il est assis en tailleur, les coudes à ses côtés, ses mains recouvrent ses genoux et ses doigts touchent son siège ou le sol. La raison à cela est qu'il n'a jamais laissé un mendiant partir les mains vides. 13. Son organe secret est reclus et demeure dissimulé, car il n'a jamais révélé ses engagements secrets et qu'il a abandonné toute activité sexuelle. 14. Sa peau est lumineuse et de couleur dorée, car il a offert des sièges confortables aux autres. 15. Sa peau est également aussi fine et impeccable que de l'or pur, car il a procuré aux autres un hébergement d'excellente qualité. 16. Chacun des poils d'un bouddha courbe vers la droite et un seul poil pousse par pore de sa peau. Cela est dû à son abandon du vagabondage mental, du travail mondain éreintant et de la confusion tumultueuse. 17. Il est doté d'un poil blanc tel un trésor qui est courbé vers la droite, situé entre ses deux sourcils; ce poil, s'il est étiré, couvre une immense distance et revient à sa position naturelle par la suite. Un des signes les plus difficiles à obtenir, il provient d'avoir respecté du plus profond de son coeur et d'avoir porté au sommet de sa tête ses supérieurs – maîtres, parents, etc... – ainsi que d'avoir aidé les autres à obtenir de meilleures renaissances. 18. Le torse d'un bouddha élargit progressivement, tel celui d'un lion. Cela vient du fait qu'il n'a jamais humilié ou méprisé les autres, peu importe leur rang social, leur sexe, leur race, etc... Cela provient aussi du fait de n'avoir jamais insulté les autres en public ou en privé ou d'avoir dénigré leurs croyances religieuses. 19. Le dessus de ses épaules est arrondi et rejoint parfaitement son cou, sans que les veines ne soient visibles. Cela est dû au fait qu'un bouddha a félicité et encouragé les autres gratuitement. 20. La région entre l'épaule et la clavicule est ronde, remplie de chair et sans creux, car un bouddha a donné aux autres des médicaments et de la nourriture. 21. Un bouddha possède une faculté gustative spéciale, qui fait que peu importe la nourriture qu'on lui donne, elle est délicieuse. Cela est la cause d'avoir aidé les nécessiteux, les personnes âgées, les infirmes et les malades, particulièrement ceux que les autres trouvent repoussants. 22. Le corps d'un bouddha est aussi imposant et bien proportionné qu'un arbre Bodhi arrivé à pleine maturation. Cela provient d'avoir construit des jardins publics et des parcs pour le bénéfice des autres ainsi que d'avoir encouragé les autres à faire de même. 23. Il a une protubérance au sommet de la tête, faite de chair irradiante, arrondie et courbée vers la droite. Vue de loin, elle paraît mesurer quatre centimètres, mais en l'observant de près, elle ne peut être mesurée. Ce signe est le plus difficile à accomplir et il est dû au fait d'avoir toujours visualisé le maître spirituel au sommet de sa tête ainsi que d'avoir visité les temples et monastères et d'y avoir fait des pratiques spirituelles. 24. La langue d'un bouddha est extrêmement longue et peut toucher le sommet de sa tête, ses yeux et sa poitrine. C'est le résultat d'avoir toujours parlé gentiment aux autres avec des paroles d'encouragement et de les avoir traités avec autant de douceur qu'une mère animale qui lèche ses petits. 25. Sa voix est aussi mélodieuse qu'un chant d'oiseau volant sans effort ou celle d'un brahman qui libère temporairement les êtres de tous leurs problèmes. Cette faculté est atteinte après avoir communiqué le Dharma dans le langage particulier de chaque être sensible. 26. Ses joues sont rondes et pleines comme celles d'un lion, car il a complètement abandonné le bavardage futile et insensé. 27. Ses canines sont d'un blanc encore plus brillant que ses autres dents, parce qu'il a fait des louanges particulières et a montré du respect aux bouddhas et bodhisattvas. 28. Ses dents sont de longueur égale, parce qu'il a abandonné les moyens d'existence frauduleux et agit toujours de manière honnête. 29. Ses dents sont parfaitement alignées et droites, sans trou entre elles. Cela est dû au fait qu'il a parlé honnêtement depuis un nombre incalculable d'éons et qu'il a toujours été honnête et droit avec les autres. 30. Il a quarante dents, vingt en haut et vingt en bas, car il a abandonné les paroles qui divisent et qu'il a toujours travaillé à l'harmonie et à l'unité des autres. 31. Les parties noire et blanche des yeux d'un bouddha sont claires et distinctes, sans décoloration rouge ou jaune, parce qu'il a regardé les autres avec les yeux de la compassion, travaillant à leur bien-être et s'est préoccupé de tous également, peu importe leur degré de souffrance. 32. Ses cils sont beaux et longs, tels ceux d'un taureau, où chaque cil est distinct. Cela provient du fait qu'il a regardé les autres sans attachement, aversion ou ignorance et qu'il a travaillé avec énergie afin d'atteindre la vaste sagesse discriminant entre le bien et le mal. Les 80 marques mineures excellentes du corps éveillé d'un bouddha 1. Ses ongles sont de couleur cuivrée; 2. Ses ongles sont luisants; 3. Ses ongles sont surélevés; 4. Ses ongles sont circulaires; 5. Ses ongles sont larges; 6. Ses ongles sont pointus; 7. Ses veines ne sont pas visibles; 8. Ses veines sont libres de nœuds; 9. Ses chevilles ne sont pas protubérantes; 10. Ses pieds ne sont pas inégaux; 11. Il a la démarche d'un lion; 12. Il a la démarche d'un éléphant; 13. Il a la démarche d'une oie; 14. Il a la démarche d'un taureau; 15. Sa démarche tend vers la droite; 16. Sa démarche est élégante; 17. Sa démarche est ferme; 18. Son corps a une belle forme; 19. Son corps a l'air d'avoir été poli; 20. Son corps est bien proportionné; 21. Son corps est propre et pur; 22. Son corps est lisse; 23. Son corps est parfait; 24. Ses organes sexuels sont pleinement développés; 25. Son corps est édifiant et digne; 26. Ses pas sont réguliers; 27. Ses yeux sont parfaits; 28. Il est jeune; 29. Son corps n'est pas creux; 30. Son corps est large; 31. Son corps est très agile; 32. Ses bras et ses jambes sont bien proportionnés; 33. Sa vision est claire et n'est pas floue; 34. Son corps possède de belles courbes; 35. Son abdomen est parfaitement modéré; 36. Son abdomen n'est pas long; 37. Son abdomen n'est pas gonflé; 38. Son nombril est profond; 39. Son nombril oriente vers la droite; 40. Il est parfaitement beau; 41. Ses habits sont propres; 42. Son corps est sans grain de beauté ou décoloration; 43. Ses mains sont douces comme du coton; 44. Les lignes des paumes de ses mains sont claires; 45. Les lignes des paumes de ses mains sont profondes; 46. Les lignes des paumes de ses mains sont longues; 47. Son visage n'est pas trop long; 48. Ses lèvres sont d'un rouge cuivré; 49. Sa langue est souple; 50. Sa langue est mince; 51. Sa langue est rouge; 52. Sa voix est comme le tonnerre; 53. Sa voix est douce et tendre; 54. Ses dents sont arrondies; 55. Ses dents sont aiguisées; 56. Ses dents sont blanches; 57. Ses dents sont égales; 58. Ses dents sont effilées; 59. Son nez est proéminent; 60. Son nez est propre; 61. Ses yeux sont grands et clairs; 62. Ses cils sont épais; 63. Les parties noire et blanche de ses yeux sont bien définies et sont telles les pétales d'un lotus; 64. Ses sourcils sont long ; 65. Ses sourcils sont lisses; 66. Ses sourcils sont doux; 67. Ses sourcils sont garnis uniformément; 68. Ses mains sont longues et vastes; 69. Ses oreilles sont d'égale grandeur; 70. Sa faculté auditive est parfaite; 71. Son front est bien formé et bien défini; 72. Son front est large; 73. Sa tête est très grande; 74. Ses cheveux sont aussi noirs qu'un bourdon; 75. Ses cheveux sont épais; 76. Ses cheveux sont doux; 77. Ses cheveux ne s'emmêlent pas; 78. Ses cheveux ne sont pas hirsutes; 79. Ses cheveux sont odorants; 80. Ses mains et ses pieds sont marqués de symboles de bon augure tels le nœud sans fin et la swastika. Les 60 qualités de la parole éveillée d'un bouddha 1. La parole éveillée est souple. Telle l'eau qui peut couler partout, humidifier la terre et donner la vie aux plantes, la parole du bouddha pénètre les oreilles de tous selon les aspirations propres à chacun. Elle contribue à développer les mérites des êtres vers l'état de libération, d'éveil ou toute autre progression spirituelle adéquate. 2. Elle est douce. Tout comme le contact de doux vêtements divins procure d'agréables sensations physiques, entendre la douce parole d'un bouddha procure une sensation agréable à l'esprit. 3. Elle touche directement l'esprit, car elle indique comment notre conscience doit appréhender la claire signification des deux vérités, de la production interdépendante, etc... 4. Elle est exquise, car elle est parlée sans erreur grammaticale ou de manière ridicule. 5. Elle est parfaite, car la principale condition de sa manifestation est la sagesse primordiale qui réalise la totalité des phénomènes. 6. Elle est immaculée, car elle est parlée sur la base de l'abandon des perturbations mentales racines et secondaire ainsi que leurs empreintes. 7. Elle est claire, car elle n'utilise jamais de mots ou d'expressions méconnus des gens ordinaires. 8. Elle est harmonieuse à l'oreille, car elle a le pouvoir de vaincre les vues extrêmes. 9. Elle est digne d'écoute, car elle procure à son auditeur la détermination de se libérer du samsara en accomplissant ce qui a été dit. 10. Elle ne peut être discréditée, car elle ne peut être surpassée et aucune faille ne peut y être décelée lors d'un débat. 11. Elle est plaisante, car elle apporte le bonheur à celui qui l'écoute. 12. Elle discipline, car elle permet de contrôler ses propres émotions négatives en désignant les antidotes aux trois poisons de l'esprit. 13. Elle n'est jamais dure, car elle n'utilise jamais de méthodes violentes ou extrêmes pour libérer du samsara. Elle enseigne des méthodes modérées qui apportent le bonheur dans cette vie et dans les vies futures. 14. Elle n'est pas cruelle, car elle n'est pas sans méthode pour libérer des fautes commises. Elle n'enseigne pas d'enfer éternel, mais plutôt des méthodes pour purifier les négativités. 15. Elle discipline complètement, car elle enseigne les trois types de véhicules destinés à différents types de motivations et de capacités. 16. Elle est agréable à entendre, tellement que nos oreilles y sont automatiquement captivées, sans errance mentale. 17. Elle rafraîchit le corps, car en l'entendant notre esprit atteint un calme mental, source de sensations physiques agréables. 18. Elle rafraîchit l'esprit en éliminant les doutes et l'inconfort. 19. Elle rend le coeur joyeux, car en définissant les phénomènes de manière générale et spécifique, elle élimine l'ignorance à leur sujet. 20. Elle génère le bonheur et la félicité, car en enseignant la nature conventionnelle et ultime des phénomènes, elle libère des vues erronées et apporte la vue juste de la réalité. 21. Elle ne laisse jamais désappointé, parce qu'en réfléchissant et en méditant sur ce qui a été entendu, le résultat qui a été décrit et qui est recherché sera accompli et il n'y aura aucun regret d'avoir écouté ou entendu cet enseignement. 22. Elle est digne d'être connue totalement, car en l'écoutant on peut développer et obtenir la sagesse provenant de l'écoute. 23. Elle est digne de rassembler tous ses détails pour en comprendre le sens, car en réfléchissant à la valeur de sa signification par les quatre types de raisonnement, les causes pour développer la sagesse provenant de la réflexion seront obtenues. Les quatre types de raisonnement sur le Dharma sont 1 la dépendance, 2 la fonctionnalité, 3 l'établissement par le raisonnement et 4 la nature des phénomènes. 24. Elle est claire dans tous ses aspects, car elle enseigne le Dharma sans attitude d'avarice envers les enseignements, elle ne se limite pas seulement aux mots sans en expliquer le sens, etc... 25. Elle rend heureux, car en la suivant, les arhats peuvent atteindre le nirvana et les bodhisattvas atteindre l'éveil. 26. Elle encourage, car elle inspire quiconque n'a pas encore réalisé la nécessité de s'engager dans ce qui a été expliqué afin d'accomplir ses propres objectifs. 27. Elle permet de tout connaître, car elle démontre ce qui est inimaginable ce qui ne peut être compris conceptuellement, tel la vacuité, les subtilités de la loi du karma, les objets de connaissance de la sagesse primordiale d'un bouddha, les pouvoirs des mantras, etc... 28. Elle permet de rassembler les détails pour donner du sens, car elle démontre sans erreur ce qu'il est possible d'imaginer par la pensée conceptuelle, tels les cinq agrégats, les dix-huit sources, les six perfections, etc... 29. Elle est logique, car elle est parfaite sur les trois points d'analyse la connaissance directe valide, la déduction valide et ses propres affirmations précédentes ou suivantes ne peuvent la contredire. 30. Elle est pertinente, car elle n'enseigne que ce qui est bénéfique à celui qui écoute. 31. Elle est libre de redondance ou de répétition inutile; même si elle prononce des synonymes, ils ont tous une raison d'être, telle que de générer une meilleure compréhension chez les êtres. 32. Elle est comme le puissant rugissement du lion, car elle terrifie les extrémistes qui voudraient proclamer leurs vues contraires. 33. Elle est comme le divin barrissement de l'éléphant, n'étant jamais hésitante ou gênée de parler. 34. Elle est comme le son tonitruant du dragon, produisant un son d'une étendue difficile à imaginer. 35. Elle est comme la voix du roi des nagas, si majestueuse et noble que tous l'écoutent. 36. Elle est comme la voix mélodieuse des musiciens célestes gandharvas; rien n'est plus doux ou plus agréable à entendre. 37. Elle est comme l'appel mélodieux d'un oiseau ancien; elle passe d'un sujet à un autre sans interruption et même lorsqu'elle a terminé de parler, on désire fortement l'entendre à nouveau. 38. Elle est comme la voie mélodieuse du grand Brahma, car elle résonne clairement et fort pour une longue période. 39. Elle est de bon augure tel le chant d'un ancien faisan, car elle indique que nous accomplirons nos objectifs mondains et supramondains. 40. Elle est autoritaire telle les commandes d'Indra, car personne n'osera la transgresser. 41. Elle est comme le son d'un tambour de guerre, nous menant vers la victoire sur les perturbations mentales et les vues extrêmes. 42. Elle est libre d'orgueil, car quand un bouddha parle, même si on le complimente et qu'on lui adresse des louanges, il n'a pas le sentiment d'être supérieur. 43. Elle est libre de sentiments de découragement, car il n'est jamais désespéré si quelqu'un critique sa parole ou ses enseignements. 44. Elle pénètre tous les temps, car elle révèle le passé, le présent et prophétise le futur. 45. Elle n'est jamais saccadée et ne manque jamais de mots. Un bouddha n'est jamais fatigué; il n'oublie ou n'omet donc aucun mot pour cause de fatigue. 46. Elle ne laisse jamais rien d'incomplet, car un bouddha travaille à tout moment pour le bien des autres et n'abandonne aucune tâche en ce sens. 47. Elle est libre de sentiment d'inaptitude, car quand un bouddha explique le Dharma, il n'a pas peur ou manque de confiance en soi et ne se demande pas Si je débas avec une personne à la vue erronée, peut-être ne pourrai-je pas prouver mon point de vue? » 48. Elle est libre de sentiments incontrôlables de désir ou d'aversion, car un bouddha a vaincu tous les ennemis internes et n'a donc aucun attachement envers la réputation, les cadeaux, etc... 49. Elle est extrêmement joyeuse, car plus un bouddha explique, plus il est libre de fatigue mentale et physique. 50. Elle est pénétrante, car comme il maîtrise les cinq champs de connaissance, ses explications du Dharma y sont reliées et y concordent bien. Les cinq sciences sont 1 les arts, 2 la médecine, 3 les langues et la grammaire, 4 la logique et 5 la connaissance exceptionnelle de soi. 51. Elle stimule le développement, car elle est bénéfique autant à ceux qui ont besoin de faire naître un potentiel positif en eux qu'à ceux qui ont déjà ce potentiel mais qui désirent le développer. 52. Elle est continue, car un bouddha ne fait jamais de pause, ne manque jamais de mots par exemple euh… et n'est jamais fatigué lorsqu'il explique le Dharma. 53. Elle est interconnectée. Un bouddha n'explique pas quelque chose hors contexte; il donne plusieurs explications et des exemples tous reliés. 54. Elle inclut tous les langages. Bien qu'un bouddha, lorsqu'il parle, utilise un langage d'une nature unique, chaque être sensible humain, dieu, animal, etc. comprend ses paroles dans son langage respectif. 55. Elle est adéquate et satisfait les facultés de chacun. Quand un bouddha enseigne, chaque personne, selon sa concentration, son intelligence, sa foi, etc... y puise quelque chose qui l'aide et qui le satisfait. 56. Elle ne peut pas être prise en faute, car un bouddha ne trahit jamais ses promesses. De plus, chaque enseignement du bouddha, s'il est mis en pratique, peut être concrétisé. 57. Elle ne dévie jamais, car dès que le continuum mental d'un être est prêt à être mené à maturation, la parole éveillée s'y rendra pour le porter à maturation sans perdre un instant. 58. Elle n'est jamais précipitée et confuse, mais toujours ferme et calme. 59. Elle résonne chez tous ceux qui lui sont proches; peu importe la distance, chaque personne entend sa voix aussi clairement que s'il était assis face à lui. 60. Elle donne un aspect suprême à chaque phénomène, car en expliquant le Dharma, elle peut prendre comme exemple tout phénomène existant et l'expliquer en faisant un lien.
Lénorme ventre représente sa capacité d'avaler, digérer et assimiler tous les obstacles, bien que l'enseignement qui a écouté. Le ventre de Ganesh contient des univers infinis. Elle symbolise la bienveillance de la nature et l'impartialité,
Les gens veulent que leur maison soit vivante, luxueuse ou simple selon leur goût. Cependant, avoir une maison paisible où l'on peut passer une bonne nuit de sommeil est un désir universel. La paix est un état d'esprit qui est directement lié à l'énergie de l'espace dans lequel nous vivons. Les statues de Bouddha sont l'une des icônes qui contribuent à apporter la paix et l'harmonie. La question qui se pose est de savoir où placer les bouddhas dans la maisonet pourquoi ? L'image de Gautam Bouddha, précurseur du bouddhisme, inspire l'art et la sculpture depuis des siècles en Asie. Mais avec le temps, Bouddha a transcendé son rôle d'icône religieuse et est devenu un symbole de paix intérieure. L'image de Bouddha est aujourd'hui à la fois séculaire et polyvalente en termes d'attrait. Cependant, peu de gens connaissent réellement la signification des différentes poses du Bouddha. Et où les placer pour obtenir les meilleurs résultats. Voici un petit guidepour attirer le chi/qi positif traduit en chinois par "force vitale d'une entité" en plaçant les différentes formes de Bouddha dans votre maison. Où placer la statue de Bouddha dans la maison Bénédiction ou protection du Bouddha Cette pose du Bouddha assis avec une main levée dans un geste de bénédiction a deux significations, et elles sont liées entre elles. La première est la protection, où la main levée agit comme un bouclier pour éloigner la négativité et le danger. La seconde signification est la victoire sur la peur pour être en paix avec soi-même. Être protégé nous aide à surmonter la peur, qui est une émotion qui restreint notre vie. Où les mettre Vous pouvez placer cette forme de Bouddha face à l'entrée principale d'une maison pour tenir à distance les éléments perturbateurs. Où placer son Bouddha dans la maison Bouddha couché ou Nirvana La pose couchée ou endormie du Bouddha est l'une des plus poignantes ; elle dépeint les derniers moments de la vie mortelle de Gautam Bouddha avant qu'il n'atteigne le Nirvana ou la liberté du cycle de la renaissance. Cependant, elle n'est pas destinée à induire la morosité ; en fait, le Bouddha couché est censé être un encouragement aux personnes à rechercher l'harmonie intérieure. Où les mettre Cette forme de Bouddha doit toujours être tournée vers l'Occident pour représenter sa mort imminente et doit s'incliner vers la droite. Où placer ma statuette de Bouddha dans la maison Bouddha en méditation Si vous recherchez sa paix intérieure, la pose méditative du Bouddha est faite pour vous. Dans cette pose, on voit Bouddha assis, les jambes repliées, le visage vers le haut et les mains posées sur les genoux. Les yeux de Bouddha sont totalement ou partiellement fermés car il est en pleine méditation. Où les mettre Les idoles de Bouddha en méditation peuvent être placées dans n'importe quel coin tranquille de la maison. Idéalement, là où vous pouvez vous asseoir pour méditer ou simplement vous détendre. Vous pouvez également allumer des bougies ou des bâtonnets d'encens pour créer une aura de sérénité. bien placer mon bouddha dans la maison Appel à la terre pour témoigner ou Bouddha Bhumisparsha Cette pose du Bouddha est de loin la plus populaire et la plus symbolique car elle représente le moment de l'illumination du Bouddha. Gautam Bouddha méditait depuis des années lorsque le démon Mara a essayé de le tenter et de l'effrayer. Mais Bouddha a surmonté la tentation et a touché le sol pour invoquer la Déesse de la Terre afin de témoigner de son illumination. Où les mettre Cette forme de Bouddha doit être maintenue face à l'Est, là où le soleil se lève. Il représente la connaissance éternelle Où placer ma sculpture de Bouddha dans la maison Prier Bouddha Bouddha, les mains croisées en prière, représente la dévotion et la foi. Cette forme de Bouddha est idéale pour votre autel ou votre salle de pooja. Idéalement, vous pouvez allumer une lampe ou une bougie autour d'un Bouddha en prière. Cela permet à l'énergie du feu de se synchroniser avec la positivité émanant de l'idole. Où les mettre Ne placez jamais les objets de Bouddha en dessous du niveau des yeux. Regarder le grand maître spirituel de haut est considéré comme irrespectueux. Où placer ma figurine de Bouddhas dans la maison Bouddha d'extérieur ou de jardin Votre balcon ou votre jardin peut également être un endroit approprié pour une statue de Bouddha, surtout si vous vous détendez dans cet espace extérieur. Où les mettre Il est préférable de placer un Bouddha d'extérieur dans ou près d'un plan d'eau et à proximité d'une plante en fleur pour représenter la croissance et le rajeunissement spirituel. Bien placer ma statue de Bouddha dans mon espace intérieur Buste de Bouddha Le buste ou la tête de Bouddha n'est pas une pose traditionnelle ; il n'a aucune signification historique associée à la vie de Bouddha Gautam. Mais il prend de l'ampleur principalement en tant que forme d'art. Il est généralement admis que la tête de Bouddha symbolise la connaissance de soi. Où les mettre Comme il s'agit d'une interprétation artistique relativement contemporaine du Bouddha, il n'y a pas de règles strictes de placement. Cependant, les lieux où l'énergie est difficile à déployer, tels que les salles de bain, les buanderies et les réserves, sont interdits. Bien orienté mon Bouddha dans la maison Bouddha qui rit Tout d'abord, le Bouddha du rire ou Ho Tai, comme on l'appelle en chinois, n'est pas le même que le Bouddha Gautam. C'est en fait un moine chinois qui était un saint patron des enfants, un peu comme le Père Noël. Il a des sacs remplis de cadeaux pour les petits. De plus, il est souvent représenté avec cinq enfants sur lui. Le Bouddha rieur est parfois confondu avec le Bouddha Gautam, mais il n'y a pas de mal car le prieur est aussi un phare de positivité et de prospérité. Où les mettre L'Est est la direction privilégiée pour une maison et c'est là que ces adorables idoles devraient être placées. La position de Bouddha est quelque peu emblématique en matière de décoration et de spiritualité ; c'est une divinité, mais ses disciples ne sont pas limités par la religion. Vous pouvez considérer ces idoles comme de l'art, et elles insufflent également à votre maison sérénité et positivité. Si vous aimez ce guide détaillé sur la façon de placer les statues de Bouddha dans votre maison, lisez également Ce qui marche pour les maisons Vastu ou Feng Shui ? Boubou
Yinest sombre - Yang est clair Yin est vert, bleu, noir, marron - Yang est rouge, orange, jaune Yin est calme - Yang est agité Yin est contraction - Yang est expansion Yin est carré - Yang est rond (exception cercle) Yin est étroit - Yang est large Yin est lent - Yang est rapide Yin est passif - Yang est actif Yin est terre - Yang est ciel Yin
Le conte du Bouddha Vous pouvez trouver dans ce site différentes études sur les légendes initiatiques, sur les contes d’éveils, et sur certains contes éthiques. Avec le thème du dragon, nous avons étudié comment certaines organisations comme l’église catholique ont savamment construit un mythe tel que celui de Saint Georges. Mais, il nous reste à évoquer les contes courts, totalement symboliques, appelés aussi paraboles ou apologues… qui se sont transformés en fables ludiques avec le passage des siècles, sous la plume d’auteurs plus légers ». Les contes peuvent se révéler une forme d’enseignement très efficace par les images et symboles qu’ils utilisent, et de nombreux mouvements spirituels et religieux les ont employé. Au fil du temps, les symboles peuvent ne plus être reconnus de façon claire et juste, aussi, des explications rétrospectives sont nécessaires. C’est le cas également de presque tous les textes sacrés. Les allégories changent avec le temps, et les peuples auxquels ces textes s’adressent peuvent ne plus être en accord avec leur signification, ne plus pouvoir en reconnaître aisément les symboles. De ce fait, des maîtres » en théologie sont parfois nécessaire pour décrypter ces textes ; néanmoins ces experts » peuvent en détournés le sens, par ignorance ou, sciemment, en fonction de la politique du moment. Aussi, il est exceptionnel de trouver un texte dans lequel l’auteur ou ses disciples donne à la suite du récit la clé des symboles et la signification du conte. C’est le cas avec cette parabole du Bouddha, que nous présentons, et qui provient du Tripitaka ou Tipitaka chinois. Il s’agit d’un ensemble de textes composés d’après les paroles du Bouddha et de ses proches disciples, divisé en trois parties, d’où son nom Tripitaka = ou trois corbeilles ». Le premier ensemble a été écrit en Pali aux Sri Lanka, après quoi, chaque peuple d’Asie en a transcrit une version. 1 C’est dans l’ouvrage d’Edouard Chavannes 2 "Cinq cent contes et apologues, extraits du Tripitaka chinois" éd Ernest Leroux 1911/1934, dans le troisième tome, que nous avons trouvé le conte pour cette étude. Nous avons choisi parmi tous les textes de cet ouvrage, une allégorie du Bouddha vraiment belle, un Jataka un petit texte très imagé, éclairé par l’Eveillé qui nous donne la description des symboles et des actes détaillés dans ce récit. En fait, nous avons trouvé deux variantes de ce conte dans le même ouvrage. Le premier comporte une explication donnée par le Bouddha, mais, ce n’est pas le cas du second. Nous allons commencer par le conte avec sa signification Ce conte est un apologue, c’est à dire un récit montrant le chemin de la perfection. Voici le récit qui est conté par le Bouddha à un roi Un homme qui marchait dans la campagne déserte fut poursuivi par un éléphant furieux; terrifié, il s'enfuyait sans trouver aucun asile; voyant un puits à sec le long duquel pendait une racine d'arbre, il se laissa glisser le long de cette racine pour se cacher dans le puits. Or il y avait deux rats l'un noir et l'autre blanc, qui constamment rongeaient cette racine d'arbre; sur les quatre parois du puits, il y avait quatre serpents venimeux qui voulaient piquer cet homme; et au fond était un dragon venimeux. L'homme redoutait le dragon et les serpents et il craignait que la racine d'arbre ne se rompît. Sur l'arbre, il y avait du miel d'abeilles dont cinq gouttes tombèrent dans sa bouche mais, l'arbre s'étant agité, les abeilles se dispersèrent et descendirent piquer cet homme. En outre, un incendie vint brûler cet arbre. » L’explication ensuite Le roi demanda Un tel homme, comment pourrait-il, quand il subit des tourments illimités, désirer cette petite jouissance du goût ? Alors l'Honoré du monde, le Bouddha dit O grand roi, la campagne déserte, c'est la vaste étendue de la nuit perpétuelle de l'ignorance. L’homme qui s'enfuit est le commun des hommes le profane; quand on parle de cet homme, on représente ainsi tous les êtres. L’éléphant symbolise l'impermanence; le puits symbolise le bord abrupt de la vie et de la mort, le samsâra. La racine d'arbre sur une paroi escarpée symbolise la destinée humaine. Les deux rats, l'un noir et l'autre blanc sur la racine, symbolisent le jour et la nuit, et le fait qu'ils rongent la racine d'arbre symbolise l'extinction du flux de pensées successives, l’oubli quotidien. Les quatre serpents venimeux symbolisent les quatre éléments, la terre, l’eau, le feu et le vent, les quatre formes causales, base de l’enseignement de l'agrégat des formes. Les gouttes de miel symbolisent les cinq désirs, l’avidité, la colère, la confusion, l’orgueil et la jalousie. Cet attachement est tellement fort que même dans des situations extrêmes, il est difficile de s’en libérer. L’arbre agité symbolise le "mental" et les abeilles symbolisent les pensées perverses. L'incendie symbolise la vieillesse et la maladie et le dragon venimeux représente les souffrances de la mort, ou les souffrances de l’illusion. C'est pourquoi, ô grand roi, il vous faut savoir que la naissance, la vieillesse, la maladie et la mort sont choses fort redoutables ; quand le sage considère véritablement ces choses, il en conçoit promptement l’aversion pour cette vaine existence. Il faut être à l’écoute continuellement, et, ne pas vous laisser absorber et dominer par les cinq désirs. Quand le cœur ne s’attache plus aux cinq désirs, alors on peut appeler un tel homme un délivré. Quand le roi Cheng-kouang eût entendu le Bouddha lui expliquer le caractère transitoire et funeste de la vie et de la mort, il obtint une connaissance telle qu'il n'en avait point encore eue et conçut profondément le dégoût du monde et le désir de s'en détacher; joignant les mains pour adorer et admirant de tout son cœur, il dit au Bouddha "Ô Honoré du monde, Tathâgata , Grand compatissant, cette explication merveilleuse de la Loi que vous venez de me donner, maintenant je la porterai sur ma tête." Le Bouddha répliqua Très bien; ô grand roi, agissez comme vous venez de le dire et ne vous laissez pas aller à la négligence. Alors le roi Cheng-kouang et tous les membres de la grande assemblée furent pleinement joyeux; ils acceptèrent avec foi ces enseignements et les mirent en pratique. Nous découvrons ainsi un enseignement imagé, basé sur un système descriptif, philosophique et psychologique particulièrement détaillé, que les adeptes du bouddhisme approfondissent depuis plus de deux mille ans. Examinons la deuxième variante, car cet apologue semble avoir un sens différent Cet apologue porte le numéro 469 dans le livre d’Edouard Chavannes Autrefois il y avait un homme qui marchait dans une région de marécages déserts lorsqu’il aperçut un éléphant noir ; cet homme songea Cet éléphant va certainement venir me mettre à mal ; il faut que je le tue. L’éléphant pensa de son côté Cet homme va certainement me tuer ; il faut que je le menace. » L’homme alors se sauva en ayant l’éléphant à ses trousses ; il courut devant lui pendant plusieurs li lieues jusqu’à ce qu’il tombât dans un ravin profond ; ce ravin était absolument insondable ; il parvint à s’accrocher sur le flanc de la paroi à une racine d’arbre grosse comme le doigt ; il se laissa descendre le long de cette racine ; il était ainsi suspendu sur le côté de l’abîme . L’éléphant était en haut du ravin et cherchait à le prendre avec sa trompe ; il s’efforçait de l’attraper sans y parvenir ; en bas, si on regardait vers le fond, on ne voyait que des lances et des piques . En outre deux rats rongeaient simultanément la racine d’arbre ; puis trois serpents noirs sortaient la tête dans l’intention de mordre ; enfin des moustiques venaient piquer les yeux de l’homme. Celui-ci pensa Je vais mourir aujourd’hui. » Levant la tête vers le Ciel, il implora son secours avec une voix si pitoyable et avec une intensité d’émotion telle que le Ciel fit tomber des gouttes d’ambroisie dans sa bouche. Dès qu’il reçut la première goutte, les deux rats se retirèrent ; à la seconde goutte, les serpents venimeux le quittèrent ; à la troisième goutte, l’éléphant noir s’en retourna ; à la quatrième goutte, les moustiques disparurent ; à la cinquième goutte, le gouffre profond s’aplanit et l’homme se trouva dehors sur un sol plat. Enfin le Ciel le guida miraculeusement pour le faire revenir en haut parmi les devas les dieux. Nous retrouvons la même situation que dans la première variante, mais la fin est totalement différente. Ainsi, la première version illustre la description du Samsara, avec l’attachement aux lois de l’espace-temps et aux désirs puissants de ce monde. Mais, la deuxième version décrit l’issue libératrice de ce monde dualiste. Puisqu’il n’y a pas d’explications à ce conte, examinons, nous-même ces symboles… D’abord, le personnage est dans une vaste région de marécages déserts ce qui illustre bien ce monde fait de conceptions irréelles, dans lequel l’être humain ne connaît pas de base sûre où se poser, ce qui fait naître des émotions continuelles. Du reste les deux phrases suivantes décrivent toutes les deux des peurs imaginaires Cet éléphant va certainement venir me mettre à mal, Cet homme va certainement me tuer. Ce jugement basé sur la peur et sur la conservation de soi, entraîne évidemment une réaction de violence il faut que je le tue il faut que je le menace. Voila le fondement de nos existences. Après quoi, le conte décrit notre demeure le Samsara, dans lequel nous nous enfermons quotidiennement. Les symboles sont les mêmes que dans la version précédente, sauf, pour le nombre de serpents ; les moustiques remplacent simplement les abeilles du premier conte, en gardant la même signification. La description des désirs, source de maintien dans l’illusion du Samsara, - qui est le sujet du premier conte – ne sont pas évoqués dans celui-ci ; mais ils sont remplacés par les trois serpents » qui désignent ainsi, les bases du monde de l’illusion selon les bouddhistes. Les serpents illustraient les quatre éléments du monde naturel dans le premier conte, mais dans ce conte-ci, ils illustrent les trois fondamentaux du moyeu de la roue de la vie l’ignorance, le désir et la fureur. Ce sont trois puissances aveugles qui emportent toute vérités et toute paix. Après la description de notre univers, ce conte veut mettre l’accent sur la libération de cet enfer, et que décrit-il ? Une imploration éperdue du personnage apportant les "gouttes d’ambroisie" !!! Ces gouttes venues du ciel le libèrent petit à petit de l’illusion. Mais que s’est t-il passé dans l’attitude du personnage pour qu’il bénéficie de ces "gouttes d’ambroisie" ? Le texte est très explicite, et il n’envisage pas, ici, une simple imploration tirée d’une conception religieuse, un secours venu des dieux, c’est à dire extérieur à soi. C’est pourtant le sens que beaucoup veulent lui donner l’aide d’un dieu bon et compatissant, qui les sortirait du merdier » dans lesquels ils tournent, et retournent sans cesse. Cette conception totalement religieuse ne tient aucun compte du paradoxe suivant c’est le même dieu créateur qui a fait ce monde, qui doit les sauver ! Alors, pour expliquer le mal, il ont créer un mythe celui du diable ». Les conceptions bouddhistes et gnostiques de la réalité de ce monde de l’espace temps sont plus explicites, et ses disciples n’attendent pas le secours d’un dieu créateur. L’homme doit apprendre de ses expériences par lui-même, il doit écouter chaque situation, voir chaque mouvement de l’être et quand la connaissance de soi est pleine et entière, il peut laisser la place à un espace en soi… Ainsi nous pouvons comprendre cette phrase dans le conte l’homme… pensa Je vais mourir aujourd’hui. » voilà le message fondamental de la spiritualité universelle. L’espace, que crée en soi l’abandon de la personnalité basé sur une continuelle création irréelle, ouvre à l’Eveil. C’est le Mahamoudra du bouddhisme, le Wou-wei du taoisme. La reddition de soi du christianisme et le lâcher prise du langage spirituel de notre temps. Cet espace amène le changement dans l’être, et libère les "gouttes d’ambroisie"… L'Aède Notes 1/ le tipitaka Les paroles du Bouddha ont été compilées dans l’année ayant suivi sa mort, vers 500 av JC. Elles ont ensuite été transmises oralement, puis finalement rédigées au Ier siècle av JC, au Sri Lanka, en trois parties Vinaya Pitaka Les textes du Vinaya ont pour objet de préciser les règles de la vie des disciples du Bouddha. Chaque règle est accompagnée d’une narration de l’épisode ayant été à l’origine de sa création, et d'un exposé détaillé de la solution émise par le Bouddha. On trouve également dans cette corbeille une narration des étapes par lesquelles le Bouddha est passé pour parvenir à l’Éveil, et les premiers pas du Sangha la communauté des disciples. Sutta Pitaka C’est la corbeille principale, qui contient uniquement des suttas discours, attribués en très grande majorité au Bouddha. Le Sutta Pitaka comporte cinq divisions et c'est dans le Khuddaka Nikaya, la partie la plus ancienne, que prennent naissances les contes du Jataka. Abhidhamma Pitaka Les plus vieilles versions de l'abhidhamma sont datées du troisième siècle avant notre ère, soit 100 à 200 ans après la mort du Bouddha et sont considérés comme un essai de systématisation des enseignements délivrés par le Bouddha dans les suttas. 2/ C’est dans la partie extrait du King Lu Yi Siang de l’ouvrage de Chavannes que ce texte est tiré.
Quece tatouage de Bouddha et de cheval vous guide et vous inspire pour atteindre l’illumination avec la force que les tatouages de cheval signifient habituellement. Ce magnifique tatouage à demi-manches Bouddha et lotus est doux et doux pour les yeux. C’est serein et c’est pourquoi cela pourrait être un excellent design pour les femmes.© Emoji Oups, je crois qu’il est temps de mettre du baume à lèvres.
Cest le regard qui voit, qui sait tout. Il évoque la présence céleste et affirme son implication dans la vie quotidienne. En guise de nez, le chiffre « un » népalais qui ressemble à un point d’interrogation évoque le caractère unique de Bouddha. « Précédent; 1; 2; Suivant » Afficher 1 - 20 de 31 produits Trier par. Afficher Ajouter au panier. Afficher plus. DDD31 Sticker Yeux
Signes et Symboles du Bouddhisme Tibétain Voici donc la signification des divers symboles bouddhistes tibétains et la description des objets rituels que vous pouvez rencontrer sur notre site. OM ou AUM BOUDDHA BOL CHANTANT OM MANI PADMÉ HÛM TARA MALA NOEUD SANS FIN GANESH ROUE A PRIERES LES YEUX DE BOUDDHA SHIVA DORJÉ/VAJRA ET CLOCHE YIN YANG ASTAMANGALA Les huit signes auspicieux. DORJÉ/VAJRA KALACHAKRA OM ou AUM Om, aum, est une syllabe sanskrite que l'on retrouve dans plusieurs religions l'hindouisme et ses yogas, le bouddhisme, le jaïnisme, le sikhisme, et le brahmanisme. D'un point de vue hindouiste, cette syllabe représente le son originel, primordial, à partir duquel l'Univers se serait structuré. Om provient de la fusion des phonèmes sanskrit A, U et M A représente le commencement, la naissance. U représente la continuation, la vie. M représente la fin, la mort. C'est une syllabe sacrée représentant Brahma, l'impersonnel Absolu - tout-puissant, omniprésent et source de toute l'existence manifeste. Brahma, en soi, est incompréhensible; Il est obligatoire donc d'avoir un symbole pour nous aider à comprendre l'Inconnaissable. Dans le yoga et méditation, on utilise Om comme un mantra ou une prière en soi. S'il est répété avec l'intonation correcte, il peut résonner partout dans le corps afin que le son pénètre dans le centre de son être, l'atman ou l'âme. Om ou AUM Haut de page OM MANI PADMÉ HÛM C'est le mantra des six syllabe du boddhisatva de la compassion Avalokitesvara. Il est donc également nommé mantra de la grande passion. La première, OM, est composée de trois lettres - A, U et M. Elles symbolisent le corps, la parole et l'esprit du pratiquant; mais dans le même temps, elles symbolisent le corps, la parole et l'esprit purs et glorieux d'un Bouddha. MANI, signifiant joyau, symbolise les moyens de la méthode - l'intention altruiste d'être illuminé, la compassion et l'amour. Les deux syllabes, PADMÉ, signifiant lotus, symbolisent la sagesse. Tout comme un lotus sort du limon sans être souillé par la boue, de même la sagesse peut vous placer dans une situation de non contradiction, alors qu'il y aurait contradiction sans posséder la sagesse. La pureté doit être acquise par l'unité indivisible de la méthode et de la sagesse, symbolisée par la syllabe finale OU HÛM, qui traduit l'indivisibilité. Ainsi, les six syllabes OM MANI PADME HUM signifient qu'en fonction de la pratique d'une voie, qui est l'union indivisible d'une méthode et d'une sagesse, vous pouvez transformer votre corps, votre parole et votre esprit impurs en corps, parole et esprit purs et glorieux d'un Bouddha. II est dit qu'il ne faut pas chercher la bouddhéité hors de soi; les matériaux pour y parvenir se trouvent à l'intérieur. Mantra Om Mani Padme Hum Haut de page NOEUD SANS FIN Le nœud sans fin ou nœud infini fait partie des signes auspicieux du bouddhisme tibétain appelés "Astamangala" qui sont au nombre de huit et apparaissent de manière récurrente dans l'art tibétain; Dans le bouddhisme il représente l'esprit du Bouddha ainsi que l'interdépendance de toutes choses, l'union de la compassion et de la sagesse, de la sagesse et des moyens, ou du vide et de l'interdépendance. Il représente aussi le samsara, le monde de la souffrance où on nait et meurt en boucle. Ce monde que nous devons quitter pour atteindre le nirvana par l'éveil de la conscience. Noeud Sans Fin Haut de page LES YEUX DE BOUDDHA Le regard de Bouddha n'est ni triste, ni joyeux, ni sévère. Ce n'est pas le regard qui juge ou qui exprime. C'est le regard qui voit, qui sait tout. Les yeux de Bouddha Haut de page YIN YANG Dans la philosophie chinoise, le yin et le yang sont deux catégories symbiotiques et complémentaires, que l'on peut retrouver dans tous les aspects de la vie et de l'univers. Leur complémentarité se démarque des couples opposés, plus répandus dans les philosophies occidentales, comme l'idée du Bien et du Mal. Par exemple Le yin est associé à la Lune qui représente la part féminine de la nature. Le yang est associé au Soleil qui représente la part masculine de la nature. Certains ont proposé que les termes yin et yang viendraient des mots sanskrits linga et yoni. Néanmoins, ils apparaissent avant l'introduction en Chine du bouddhisme, véhicule de la culture indienne. On les trouve en effet au chapitre 42 du Dao De Jing Le Dao donne naissance à l'un, l'un au deux, le deux au trois, le trois aux dix mille choses et êtres, les dix mille choses et êtres supportent le yang et embrassent le yin » . Tout peut être décrit en terme de yin et yang, qui se trouvent En relation d'opposition, tout en sachant que chacun des deux porte en lui le germe de l'autre; En relation d'interdépendance, l'un ne se concevant pas sans l'autre ; l'excès ou la déficience d'un des deux entraîne des conséquences sur l'autre et un déséquilibre de l'ensemble ; En relation d'engendrement et de mutation de l'un en l'autre, comme par exemple lorsque le jour fait place à la nuit; Le yin et le yang peuvent chacun se subdiviser en sous éléments yin et yang; ainsi, si l'on ne distingue que deux catégories dans le concept de température, le froid est yin et la chaleur yang. Yin-Yang Haut de page ASTAMANGALA Les huit signes auspicieux. La bannière, signe de la victoire de la doctrine du Bouddha. Elle représente la victoire sur les négativités et les obstacles grâce aux actes accomplis par le corps, la parole et l'esprit. Elle témoigne aussi de la complète victoire du Dharma la doctrine du Bouddha sur les forces du mal. Elle se dresse au sommet du Mont Meru, considéré par les fidèles comme le centre de l'univers bouddhiste. Elle symbolise aussi le triomphe sur l´ignorance. La conque, symbole de l'absence du "Mal", gloire de tous les symbolise le son du Dharma profond qui éveille les êtres du sommeil de l'ignorance et les incite à accomplir leur propre bien ainsi que celui des autres êtres. Le lotus, parfait, la pureté. Il symbolise la purification du corps, de la parole et de l'esprit, ainsi que le plein épanouissement de l'activité bénéfique dans l'état de libération. Il est l'emblème de l'élévation spirituelle. Cette fleur, probablement la plus significative d'Asie, naît du limon pour ouvrir sa corolle au soleil. Elle est le symbole parfait d'une conception bouddhiste du monde. Noeud sans fin, représente l'esprit du Bouddha ainsi que l'interdépendance de toutes choses, l'union de la compassion et de la sagesse, de la sagesse et des moyens, ou du vide et de l'interdépendance. Il représente aussi le samsara, le monde de la souffrance où on nait et meurt en boucle. Ce monde que nous devons quitter pour atteindre le nirvana par l'éveil de la conscience. L'ombrelle, symbole de dignité royale qui protège de tous les maux. Elle symbolise l'activité qui protège les êtres. En cette vie, elle les garde des maladies, des obstacles, des accidents, des esprits malins. Dans leur vie à venir, elle les protège des souffrances des mondes inférieurs enfers, esprits avides et animaux. Elle symbolise aussi la joie de la fête des actes positifs, rafraîchie par son ombre. Deux poissons d'or, symboles de la libération par la souffrance, signe de fertilité. Symbole du bonheur et de la richesse, de l'abondance et de la prospérité. La Roue de la Loi, elle symbolise la mise en mouvement de la roue du Dharma, c'est à dire la propagation de l'enseignement du Bouddha, à la fois sous sa forme théorique et sous sa forme pratique, dans toutes les directions et dans toutes les époques, enseignement grâce auquel les êtres connaissent le bonheur des actes positifs et de la libération. Le vase, d'abondance, contenant le nectar de l'immortalité, symbole de richesse intellectuelle. Il représente une pluie sans fin de longue vie, de richesses, de prospérité, de tout ce qui est bon pour les hommes dans le domaine temporel et spirituel. Son embouchure est surmontée d'un joyau flamboyant. ASTAMANGALA Les huit signes auspicieux Haut de page DORJÉ/VAJRA Le vajra ou dorjé, signifiant foudre » ou diamant », est un symbole important dans l'hindouisme et surtout dans le courant vajrayana du bouddhisme, à qui il a donné son nom voie du vajra ». Il y désigne entre autres un instrument rituel. Il est appelé dorje pierre noble en tibétain Le vajra, arme sans pareille, représente l'upaya, moyen efficace qui détruit l'ignorance. Le symbole formé de deux vajras croisés se nomme visvavajra vajra de l'univers, en tibétain dorje gyatram ou double vajra. » Le double vajra symbolise le parfait éveil de la nature du Bouddha au moyen de la Connaissance verticale et de l'amour horizontal embrasant l'être entier et toutes les créatures. Vajra est un objet utilisé dans les rituels; le vajra est souvent employé avec la cloche ghanta. Il symbolisent alors respectivement le masculin et le féminin, l'action efficace ou la compassion et la sagesse. Dorje Vajra Haut de page KALACHAKRA En sanskrit, Kala se réfère au temps et Chakra à la roue ; Kalachakra signifie donc la roue du temps. Cette roue du temps nous fait remonter le temps, jusqu'à l'année où Bouddha reçut l'illumination et où le roi Suchandra de Shambala en Asie centrale lui demanda de lui enseigner le tantra de Kalachakra. Bouddha se manifesta donc sous la forme de la divinité de méditation Kalachakra représentant le temps omniscient et omnipotent au stupa de Shri Dhanyakata dans le sud de l'Inde et y transmit l'initiation et l'enseignement. C'est de là que ce cycle ancien, mystique et complexe des enseignements tantriques du Kalachakra s'est répandu à travers le monde et fut transmis d'un Dalai Lama à un autre pour finalement parvenir au XIVème Dalai Lama actuel qui livre la 30ème initiation de sa vie à Amaravati. Kalachakra nous relie à tous les êtres et toutes les formes de vie. Sa Sainteté explique comment ce système de méditation, considéré comme suprême dans le bouddhisme tibétain, est fondé sur le développement d'une compassion qui embrasse tous les êtres, exprimant l'amour de Bouddha illimité et relié à tout ». En ce sens, les enseignements de Kalachakra, pour sophistiqués qu'ils soient et bien qu'ils appartiennent au Vajrayana, se situent dans la continuité du Mahayana et ils sont donnés par le Bouddha, au nom d'une compassion extrême, pour faire mûrir le karma de tous les êtres. Kalachakra Haut de page BOUDDHA L'homme qui devint le Bouddha naquit sous le nom de Siddartha Gautama, au Nepal, il y a plus de deux mille cinq cents ans. De naissance princière au sein d'un clan de guerriers, il se maria et eut un fils. Bien qu'il ait vécu dans le plaisir, le luxe et l'aisance, il ne cessait pas d'éprouver une profonde insatisfaction, au point qu'une nuit, alors qu'il était dans sa trentième année, après un dernier regard à son épouse et à son fils endormis, il se faufila silencieusement hors du palais. Chevauchant son coursier, il atteignit les frontières de son royaume, se coupa les cheveux et la barbe, et revêtit la robe safran d'un ascète errant. Il vécut d'abord sous l'autorité des maîtres de l'époque, puis forma avec cinq autres disciples son propre groupe. Il acquit une certaine renommée dans la pratique des austérités, mais après avoir mené cette sorte de vie pendant six années, il dut en arriver à la conclusion qu'il était encore loin de pouvoir transcender, ou comprendre, la condition humaine. Lorsqu'il décida de renoncer à la pratique des austérités, le reste du groupe, scandalisé, s'éloigna de lui en disant qu'il était retourné à une vie inférieure. Il partit alors dans la forêt, seul. Là, il demeura, avec une force renouvelée, développant la concentration avec la pratique de la méditation. À la nuit de la pleine lune de mai, alors qu'il était assis absorbé dans la contemplation du corps et de sa respiration, ayant rendu son esprit malléable et flexible, il le dirigea sur les aspects fondamentaux de la vie. Comme il pénétrait en esprit au cœur de ces questions, s'éleva la connaissance, s'éleva la vision, s'éleva la lumière. Il avait atteint l'éveil total et parfait. Il avait atteint un état de force de l'esprit infrangible, de vision claire et parfaite, de bienveillance sans limites et pour tous les êtres. Il avait extirpé en lui l'avidité, la haine et l'ignorance. Il avait surmonté la souffrance sous toutes ses formes. En atteignant l'éveil, il avait atteint ce qu'il y avait à accomplir dans toute vie et il se trouvait dans un état de contentement absolu. Pourtant, par compassion pour le monde souffrant, il passa les dernières quarante-cinq années de sa vie à enseigner les moyens -ou dharma- par lesquels d'autres pourraient à leur tour réaliser cette expérience. Ce que nous appelons aujourd'hui le bouddhisme, sous toutes ses différentes formes culturelles, n'est autre que l'héritage de cet enseignement. Bouddha Haut de page TARA Tara Verte Tara, Dölma ou Sgrol-ma. "La Libératrice". "Celle qui sauve". De son aspect physique, elle est représentée assise, deux bras, une tête, un cristal entre les deux yeux, la jambe déployée, et ses deux mains tenant des fleurs de est prête à se lever pour aider autrui. Son emblème est la couleur verte, symbole d'espoir, et le lotus bleu à demi-ouvert. La Tara verte est particulièrement connue pour sa puissance à surmonter les situations les plus difficiles, donnant la protection et le réconfort contre tous les dangers. Il s'agit d'une déité tibétaine qui intervient toujours pacifiquement. Elle est le bodhisattva féminin de la compassion. Elle est originelle par sa couleur dans la mesure où les autres sont autant d'émanations car le vert peut représenter toutes les couleurs. Elle protège contre les dangers réels ou spirituels. Son mantra est Om Taré Touttaré Touré Soha » aux 108 répétitions qui apportent apaisement de l'esprit. Tara Blanche Tara blanche est un être illuminé féminin dont la fonction est d'accorder une longue vie, la sagesse et la bonne fortune. Si nous nous en remettons à elle avec foi, elle nous protègera des maladies contagieuses, des dangers du feu et d'autres désastres. Il est dit que les êtres vivants reçoivent les bénédictions de Tara à la vitesse du vent, car elle est la manifestation de l'élément vent de tous les bouddhas. GANESH Dans l'hindouisme, Ganesh, Ganesha, ou Vinayak ou Ganapati "Le Seigneur des troupes de divinités " ou mieux " le Seigneur des catégories ". Il est le dieu de la sagesse, de l'intelligence, de l'éducation et de la prudence, le patron des écoles et des travailleurs du savoir. C'est le dieu qui lève les obstacles des illusions et de l'ignorance. Il est le fils de Shiva et Pârvatî, l'époux de Siddhi, le Succès, de Buddhi, l'Intellect, et de Riddhi, la Richesse. Il joue un rôle important dans le tantrisme. C'est le Dieu qui enlève tous les obstacles, il est le protecteur de tous les êtres. Il est aussi le Dieu de la connaissance et de la sagesse. Ganesh représente le Sage, l'homme dans sa plénitude et les moyens de réalisation. Sa figure révèle une signification profonde. Traditionnellement représenté avec un corps de gros homme de couleur rouge possédant généralement quatre bras et une tête d'éléphant à une seule défense, son vâhana ou véhicule est un rat ou une souris, Mûshika. Ce dernier symbolise parfois le dieu à lui seul. Les deux se complètent, l'éléphant massif, puissant et réfléchi, le rat petit, mobile et malicieux, ont ainsi tous les atouts nécessaires pour résoudre les problèmes du monde. Chaque élément du corps de Ganesh a sa valeur et sa propre signification 1. La Tête d'Eléphant Ganesh a une tête énorme d'éléphant, immense par un corps d'enfant, indiquant sa capacité intellectuelle et le ferme dévouement à l'étude des Ecritures. Ganesh représente ainsi le Sage. 2. Des Oreilles énormes Les oreilles énormes et la tête d'éléphant représentent les deux premiers pas pour l'auto- réalisation - écouter l'enseignement et réfléchir sur lui. Les oreilles ouvertes annoncent sagesse, habilité d'écouter les personnes qui cherchent de l'aide et de réfléchir sur des vérités spirituelles. Elles symbolisent l'importance d'écouter pour pouvoir assimiler des idées. Les oreilles sont utilisées pour gagner connaissance. Les grandes oreilles indiquent que, quand Dieu est connu, toute la connaissance l'est aussi. 3. Les Proies Il n'a qu'une proie l'autre est cassée, ce qui indique l'habilité de Ganesh de surmonter toutes les formes de dualisme. 4. La Trompe La trompe représente la capacité de discrimination entre l'éternel et l'illimité, le non éternel. L'intellect de l'homme commun est toujours prisonnier entre les pairs d'opposés les proies ; le Sage n'est plus affecté par ces pairs d'opposés froid - chaleur, plaisir - douleur, joie - tristesse, etc., car il a atteignit un état d'impartialité représenté par une des proies cassé. Le Sage n'oublie jamais sa vraie nature mémoire d'éléphant. La trompe pliée courbée indique les potentialités intellectuelles qui se manifestent para la faculté de discrimination entre le réel et l'irréel. 5. Le Ventre L'énorme ventre représente sa capacité d'avaler, digérer et assimiler tous les obstacles, bien que l'enseignement qui a écouté. Le ventre de Ganesh contient des univers infinis. Elle symbolise la bienveillance de la nature et l'impartialité, l'habilité de Ganesh de sucer la souffrance et de protéger le monde. 6. La petite souris La souris qui est sous ses pieds symbolise l'Ego et ses désirs, comme sa voracité et convoitise, en volant souvent plus ce qu'il peut manger et emmagasinant plus ce qu'il peut rappeler. Le Sage a le désir sous total contrôle, alors la souris regarde en haut et attend sa permission pour manger les objets des sens. 7. La position des jambes La position des jambes une en reposant sur le sol et l'autre debout indique l'importance de l'existence et participation dans le monde matériel, ainsi que dans le monde spirituel, l'habilité de vivre dans le monde sans appartenir au monde. 8. La Lune La Lune représente l'ignorant qui ri du sage. Cette image représente le Sage en essayant de transmettre sa sagesse infinie par ses équipements finis le corps et le mental. 9. Les 4 Bras de Ganesh Les quatre Bras de Ganesh représentent les quatre attributs du Corps Subtil, qui sont Mental Manas; Intellect Buddhi; Ego Ahamkara; Conscience conditionée Chitta Ganesh Haut de page SHIVA Dans l'hindouisme Shiva est considèré "Le Bienveillant Seigneur". Or, Shiva est aussi le puissant Dieu Destructeur dont la danse Cosmique signe la fin des Mondes. Pour éclairer cette apparente contradiction, on doit rappeler que pour l'hindouisme, Création-Préservation-Destruction du Monde sont organisés selon un cycle qui se répète dans un intervalle de temps gigantesque. De même, au niveau de la destinée humaine individuelle, il n'est aucun progrès spirituel qui ne demande le démantèlement de nos convictions ou attitudes. Dans un langage plus simple, pour devenir meilleur, il faut éliminer ce qui est moins bon, détruire pour reconstruire. Et l'élimination, c'est le travail de Shiva. Shiva est donc moins un Destructeur qu'un Transformateur, Celui qui, ayant éradiqué ce qui n'est pas adéquat en nous, nous permet de progresser. C'est pourquoi il est fondamentalement Bon et Bienveillant, même si les transformations auxquelles il nous invite sont douloureuses. En ce sens, les épreuves de la vie, qu'elles soient fortuites ou conséquences de karma antérieurement acquis, peuvent, et même doivent, être comprises et vécues comme des opportunités de changements qu'il faut accepter. Les aspects, les formes de Shiva apparaissent soit bienveillantes, soit sévères selon la fonction qu'elles assument. Les formes sévères, qualifiées aussi de terribles, invitent aux changements, dissipent l'ignorance, détruisent ce qui est mauvais, ce qu'en langage imagé l'on nomme les démons. Ces formes sont regroupées sous le nom de Rudra. C'est pourquoi Shiva est le dieu des champs de bataille, des champs de crémation, des carrefours dangereux. Il y est souvent accompagné de démons, d'esprits malfaisants et de fantômes. Shiva est "Celui qui est bon", ou encore "le Seigneur qui prête chance". Shiva-Rudra est Celui qui détruit le démon et la tristesse. Shiva-Shankara est le témoin de ce qui est bon. Shiva est "tri-netra", c'est à dire "le Seigneur aux trois yeux" pour voir l'Invisible. Il est aussi "Nila Kantha", "le Seigneur au cou bleu", en référence à la légende rapportant qu'il aurait bu le poison pour sauver le monde de la destruction. Shiva-Nâtarâja est le danseur cosmique et Shiva-Ardhanarîshvara est simultanément masculin et féminin androgyne. Il est à la fois statique et dynamique, à la fois créateur et destructeur. Il est le plus vieux et le plus jeune, il est la jeunesse éternelle et le jeune enfant. Il est source de fertilité pour tous les êtres vivants. Shiva est le plus grand des renonçants, mais il est également l'amant idéal. Il accorde prospérité à ses adorateurs bien qu'il soit Lui-même austère. Il est omniprésent et réside en chacun en tant que Pure Conscience. Shiva Haut de page MALA Les malas ou chapelets sont utilisés dans beaucoup de religions où la tradition de récitation de prières et de mantras existe. Traditionnellement, un mala tibétain est composé de 108 grains, graines ou perles de bois de diverses essences, ou de perles en os ou de perles en pierre semi-précieuse. Ces perles servent à compter les récitations de mantras pendant une séance de méditation. Pendant une séance de méditation, on récite un mantra ou une prière, et on compte chaque répétition en changeant de perle avec les doigts. Ce geste nécessite très peu d'effort conscient, et ne perturbe pas la concentration de la personne qui médite. BOL CHANTANT Les bols chantants tibétains sont utilisés pour la méditation, le yoga, la musique, la relaxation, ou simplement le bien-être personnel. Historiquement, ces bols chantants étaient fabriqués au Népal, en Chine, et au Japon. Dans les pratiques bouddhistes, les bols chantants sont utilisés pour signaler le début et la fin d'une séance de méditation. Ils sont aussi utilisés pendant les chants bouddhistes pour marquer le passage de temps ou pour signaler le changement d'activité. On fait chanter » un bol tibétain en frappant ou en frottant son bord extérieur avec un petit maillet en bois souvent couvert partiellement de cuir, de feutre, ou de corde. En conséquence de ce geste, le bol émet un son harmonieux et relaxant. Chaque bol produit un son différent. Ces fréquences harmoniques, subtiles et complexes, varient selon la forme, le poids et la méthode de fabrication des bols. Des signes et symboles religieux et spirituels comme le mantra tibétain de la compassion, Bouddha, le symbole Om, les signes auspicieux… sont parfois présents sur l'extérieur ou l'intérieur des bols. En occident, on trouve souvent des bols chantants dans les centres de méditation et de relaxation. On peut également s'en servir comme un objet de décoration et les placer dans une pièce calme de la maison. Bol Chantant Tibetain Haut de page ROUE A PRIERES OU MOULIN A PRIERES Il existe plusieurs sortes de roues à prières tibétaines. Il y a celles qui sont montées sur un manche en bois, et que les gens utilisent partout ; il y a celles qui ont une base, et qui se posent sur une surface plane ; enfin, il y a celles que vous pouvez fixer au mur. Selon la croyance bouddhiste tibétaine, faire tourner ces roues à prières dans le sens des aiguilles d'une montre libère dans le vent le mantra de la compassion, inscrit sur le rouleau à l'intérieur des roues. Les roues à prières sont principalement présentes dans les monastères bouddhistes au Népal et au Tibet. Les pèlerins utilisent les roues à prières montées sur un manche. Ils les font constamment tourner, en récitant le mantra. L'élément le plus important dans une roue à prières est le rouleau de papier qui se trouve à l'intérieur du cylindre, et sur lequel est imprimé, ou écrit, de nombreuses fois le mantra Om Mani Padme Hum », soit en sanskrit, soit en tibétain. Les métaux les plus utilisés pour leur fabrication sont le cuivre, le bronze et le laiton; cependant, dans de rares cas, elles peuvent aussi être fabriquées en argent massif et en bois. Les roues à prières tibétaines peuvent être de différentes tailles. Celles qui sont utilisées dans les monastères peuvent faire de 2 à 3 mètres de hauteur et de 1 à 2 mètres de diamètre. De nos jours, les gens possèdent des roues à prières dans leur propre maison, soit pour la religion, soit comme élément de décoration. Roue a prieres tibetaine Haut de page DORJÉ/VAJRA ET CLOCHE Les cloches et dorjés sont, comme les bols chantants, utilisées au début de séance de méditation. Dans la philosophie tibétaine bouddhiste, la cloche correspond à l'éveil de l'état d'ignorance, alors que le dorje/ vajra correspond à l'arme qui détruit cette ignorance. Puisque ces deux étapes, la destruction et l'éveil, sont liées, et par conséquent inséparables, la cloche et le dorje forment une paire. Dorje Vajra Cloche Haut de page Traductionsen contexte de "se cacher les yeux" en français-anglais avec Reverso Context : Elle ne peut pas regarder National Geographic sans se cacher les yeux.Rappel sur la vie du Bouddha Siddartha Gautama Siddartha Gautama, le fondateur du bouddhisme, est né à Lumbini, au Népal, en 563 avant Jésus-Christ, de la reine Maya et du roi Suddhodana du clan Sakya. Il a eu une enfance royale et, à l'âge de seize ans, il a épousé Yashodhara dont il a eu un fils nommé Rahula. Après la naissance de son fils, Siddartha, voyant les souffrances et les réalités de la vie, décida de mener une vie d'austérité et de détachement intérieur. Pendant un court moment, il fut le disciple du célèbre sage Alara Kalama qui lui enseigna les notions d'"Atma" et de "Brahma". Gautama pratiqua plusieurs austérités et entreprit une sévère auto-mortification. Pour revigorer son corps affaibli, il mendiait de la nourriture dans les villages. Sa résolution d'atteindre l'illumination était ferme comme le roc. Il s'assit sous un banian, à l'endroit actuel de Bodhgaya en Inde, et pratiqua la méditation profonde pendant plusieurs jours. Et, finalement, un jour arriva où il reçut l'illumination ou les réponses aux questions qu'il cherchait depuis longtemps. Il atteignit ainsi le "Nirvana" ou émancipation spirituelle et fut connu sous le nom de "Bouddha". Le mot "Bouddha" est dérivé du mot hindou "Buddhi" qui signifie "esprit" et "Bouddha" qui signifie "Celui qui a l'esprit éveillé". Le bouddhisme compte aujourd'hui près de 300 millions d'adeptes dans le monde, principalement concentrés en Asie centrale et du Sud-Est. Le Bouddha est représenté sous de nombreuses formes iconographiques. Outre les nombreuses statues et images de Bouddha, les têtes de Bouddha sont l'une des représentations iconographiques les plus populaires du Bouddha et de ses caractéristiques. Un visage rond, jeune, charmant et doux est une caractéristique typique de la tête de Bouddha, mais il y a plus que ce que l'on croit. Considérées comme l'une des parties les plus importantes du corps du Bouddha, les têtes de Bouddha sont fabriquées de manière à représenter l'immense richesse de connaissances qu'il possède en tant qu'éveillé. Les statues de Bouddha sont généralement représentées avec des cheveux courts et bouclés, afin de montrer que le prince Siddhartha avait coupé son chignon pour renoncer à son statut de prince et à son passé privilégié. Bien que les récits historiques et les preuves suggèrent que le Bouddha avait la tête rasée, les cheveux de ces statues de tête de Bouddha ne sont ni totalement rasés ni longs, ce qui représente la voie du milieu de Bouddha, c'est-à-dire la vie entre les extrêmes de l'indulgence et de la mortification. Si vous souhaitez découvrir l'ensemble de nos Têtes de Bouddha, n'hésitez pas à cliquer ci-dessous. Les statues de Bouddha se présentent sous de nombreuses "asanas" ou postures assises et "mudras" ou postures physiques, mais le point central reste la "tête", car elle détient le secret de toute méthodologie insaisissable pour atteindre l'illumination. Bien que le style soit resté constant ou fixe, les traits du visage, de nature fondamentalement mongole, ont varié en fonction de la géographie. Les caractéristiques faciales d'une tête de bouddha dans un temple japonais diffèrent de celles d'une tête de Bouddha dans un monastère tibétain, essentiellement en raison de la classification sous-raciale. En général, les statues de tête de Bouddha sont représentées avec une tête saillante, qui symbolise la déconnexion entre l'esprit et le corps. Un tel état est également connu sous le nom de Bodhisattva. De même, les têtes de Bouddha sont également connues pour avoir une autre protubérance, au sommet de la tête du Bouddha, connue sous le nom d'Ushnisha, qui est un ovale tridimensionnel au sommet. L'ushnisha représente l'atteinte de l'illumination du Bouddha et sa confiance dans le guide spirituel, bien que la fonction originale de l'ushnisha ait pu être de représenter une couronne sur la tête du Bouddha. En Thaïlande, l'ushnisha prend la forme d'une flamme qui indique l'illumination. Cliquez ci-dessous et découvrez notre Tête de Bouddha dans un style Thaïlandais. Structure des Têtes de Bouddha La structure faciale des têtes de bouddha présente généralement des yeux mi-clos qui témoignent d'un état de méditation un regard tourné vers l'intérieur de soi et vers l'extérieur. Le léger sourire de la statue illustre également la nature sereine et la noblesse du Bouddha après avoir atteint l'illumination. Un point entre les yeux, ou urna, est également une autre caractéristique particulière des têtes de Bouddha. Cette touffe de cheveux ronde entre les sourcils symbolise la vision surnaturelle du Bouddha. Les lobes d'oreilles allongés des têtes de Bouddha représentent le pouvoir d'audition du Bouddha, qui est censé entendre ce qui est nécessaire dans le monde, mais la raison exacte de ces lobes d'oreilles allongés peut être due aux vestiges de sa vie de prince, lorsqu'il portait des bijoux et des boucles d'oreilles extravagants et lourds sur ses oreilles. Les têtes de Bouddha ou statues de tête de Bouddha, comme on les appelle, ne sont pas seulement des représentations de la tête du Bouddha, mais la représentation symbolique et spirituelle de la sagesse et de la connaissance de l'illuminé. Bien qu'il existe de nombreuses représentations et styles de têtes de Bouddha selon la région d'origine, la signification fondamentale que l'iconographie représente est quelque peu la même au cours de l'histoire du bouddhisme. Ces statues d'un prince devenu chef religieux/spirituel sont plutôt connues pour contenir des symboles codés, qui étaient utilisés dans une culture orale pré-alphabétisée pour transmettre les messages des enseignements et des connaissances du Bouddha. L’Histoire des cheveux du Bouddha Les cheveux sont souvent utilisés comme une métaphore de l'illusion et de l'ignorance de l'être humain. Ils sont donc également appelés "mauvaises herbes de l'ignorance" et le fait d'avoir la tête rasée représente symboliquement le fait de se débarrasser de ces illusions et de cette ignorance. On pense que pour atteindre le niveau de compréhension et d'illumination véritables, nous devons garder notre corps et notre esprit propres. C'est pourquoi on voit souvent des moines bouddhistes au crâne rasé. L'histoire suggère même que Siddhartha Gautam - le Bouddha - s'est coupé les cheveux lorsqu'il a quitté son palais pour atteindre l'illumination. Mais lorsque nous voyons le Bouddha dans ses statues et autres formes d'art, il est représenté avec des boucles courtes et serrées. Pour être exact, il y a environ 108 boucles sur la tête du Bouddha. On peut donc se demander pourquoi les artistes ont représenté le Bouddha avec des boucles courtes. Il existe de nombreuses croyances concernant ces boucles courtes. Une croyance suggère que ces boucles ne sont pas des cheveux courts, mais en fait 108 escargots séchés. L'histoire des martyrs 108 escargots sur la tête du Bouddha Un jour, par un après-midi ensoleillé, Bouddha s'est assis sous un arbre et a commencé à méditer. Il était tellement plongé dans sa méditation qu'il n'a pas remarqué l'heure. Au fur et à mesure que le temps passait, les rayons du soleil se dirigeaient vers sa tête chauve. À ce moment précis, l'escargot se déplaçait sur le sol. L'escargot remarqua que le Bouddha était en profonde méditation par une journée aussi chaude. Bien que Bouddha se soit assis sous l'arbre, les rayons du soleil étaient dirigés vers sa tête. Pensant que le Bouddha allait bientôt être distrait et perdre sa concentration à cause des rayons du soleil, l'escargot se fraya un chemin jusqu'à la tête du Bouddha et s'y assit, son corps lubrifié rafraîchissant la peau lisse et nue du Bouddha. D'autres escargots ont également suivi le premier, sont montés jusqu'à la tête et s'y sont assis. Les escargots sur la tête ressemblaient à une coiffe soignée de coquilles en spirale. Le corps frais et humide des escargots aidait à maintenir la méditation du Bouddha pendant des heures. L'escargot s'est déshydraté et desséché à cause des rayons de la chaleur. Plus tard dans la soirée, lorsque le Bouddha se leva de sa méditation, il apprit qu'il portait une casquette de 108 escargots, qui avaient tous donné leur vie pour créer un environnement sans distraction pour le chemin de l'illumination du Bouddha. Puisque les escargots ont donné leur vie pour le Bouddha, ils sont maintenant honorés comme des martyrs. Ils sont donc exposés sur les statues de Bouddha pour nous rappeler leur sacrifice. Les statues de tête de Bouddha sont considérées comme des objets de grande importance dans le bouddhisme et par les adeptes de cette religion. Mais cela ne signifie pas que les têtes de Bouddha n'ont qu'une signification religieuse, car elles ont une autre signification dans la vie de chacun. Ces sculptures sont également de grands objets de décoration de l'environnement de chacun, car elles dégagent un sentiment de paix et de calme autour de vous. En plus d'embellir l'environnement, elles répandent l'influence de la paix et de l'harmonie dans la vie de chacun. Symboles Têtes de Bouddha La tête de Bouddha a été une icône et une représentation symbolique des caractéristiques de sa grandeur. La tête de Bouddha est célèbre pour ses connotations religieuses et spirituelles. Pour un profane, sa tête évoque son calme, son sang-froid et son caractère méditatif jusqu'à l'infini. La tête typique de Bouddha est caractérisée par un visage rond, vibrant, jeune, charmant et doux, mais il y a beaucoup plus de mysticisme que ce que le commun des mortels peut voir. Le grand sage est dépeint comme un individu amical au bonheur éternel et une incarnation de la sagesse et de la compassion. L'analyse des caractéristiques du Bouddha peut être tentée de la manière suivante L'Ushnisha - ou la couronne de cheveux - est un ovale tridimensionnel situé au sommet de la tête. Il s'agit d'un rassemblement de ses cheveux ondulés et volumineux en un chignon. L'"ushnisha" symbolise le statut spécial lié au pouvoir spirituel, à la connaissance et aux idéaux religieux prêchés par le Bouddha. Les cheveux Ils sont représentés comme une combinaison infiniment complexe de petites boucles. Comme les cheveux symbolisent l'illusion ou l'ignorance de l'homme, s'en débarrasser signifie renoncer à l'ignorance. C'est l'une des principales conditions requises pour atteindre l'illumination. Le troisième œil - est un point poilu qui apparaît sur le front entre les sourcils. Il a une grande signification et des connotations. Il signifie aux fidèles qu'ils doivent inculquer un comportement éthique, s'adonner à la méditation, être généreux, faire des offrandes et se libérer des provocations matérialistes. Le troisième œil symbolise l'éveil spirituel de la connaissance et de la sagesse, en plus de fournir une vision divine capable de voir au-delà de l'univers mondain de nos souffrances. Il symbolise également le fait qu'il était un grand être. L'œil - est généralement dirigé vers le bas dans un état de méditation avec une teinte d'aura spirituelle. Il signifie que l'on regarde au-delà des choses matérielles, vers la vérité. Il s'agit pratiquement de l'éveil de l'œil intérieur ou "urna". Les oreilles Des oreilles longues et volumineuses, en plus d'être de bon augure, signifient le sens de la compassion et de la sagesse d'une personne. Elles évoquent également la capacité d'entendre les sons des souffrances du monde et de les soulager avec compassion. Une autre interprétation est qu'en plus d'être matériellement riche pendant la royauté, il était également riche en termes de connaissances, de compassion et de sagesse. Le nez Il avait un nez long, proéminent, proportionné et aquilin. Cela ajoutait essentiellement de l'équilibre et de l'aura à sa personnalité sagace, mais ne véhiculait aucune connotation significative, ouverte ou cachée. Pour conclure Il ne fait aucun doute que les têtes de Bouddha sont aujourd'hui les objets de collection les plus recherchés. Nombreux sont ceux qui croient qu'en observant le regard calme et posé et l'expression sereine de la tête de Bouddha, on peut accéder à une voie permettant de percer les mystères du calme intérieur et du bien-être personnel. Les têtes de Bouddha sont l'icône de la confiance, de la conscience, de la connaissance, de la compassion et des pratiques méditatives concentrées. Chacune des facultés de la tête de Bouddha symbolise un sens caché, la philosophie, l'histoire, l'occultisme et, surtout, la manière d'être individuellement et collectivement des êtres humains grands, nobles et bons.
HomePage Qui Se Cache Qui Fuit Devant Les Yeux De Dieu. Qui Se Cache Qui Fuit Devant Les Yeux De Dieu Page 50 sur 50 - Environ 500 essais Maupassant_Pierre_et_Jean 47708 mots | 191 pages penser, à comprendre le sens profond et caché des événements. À force d’avoir vu et médité il regarde l’univers, les choses, les faits et les hommes d’une certaine façon qui lui est En dehors de la forme du Bouddha historique, vénéré en tant que tel, c est-à-dire comme un Maître, un montreur de voie », le bouddhisme populaire a consacré deux formes de Bouddha, ou plutôt de substituts de Celui-ci, qui connurent une grande faveur du fait de leur spécialisation même Bhaishajyaguru et Amitâbha. Ces deux Bouddha, bien qu’essentiellement différents, représentent en fait deux pôles opposés qui se trouvent en dehors de la Doctrine strictement philosophique du Bouddha Lui-même. Le premier représente en effet le guérisseur », et le second le consolateur » des êtres. Sommaire 1 Bhaishajyaguru jap. Yakushi Nyorai; chin. Yaoshi Fo;tib. Smanbla Mania ; mongol Otochi Les sept corps ou formes de Bhaishajyaguru Les représentations de Bhaishajyaguru Les acolytes de Bhaishajyaguru Les douze guerriers de Bhaishajyaguru 2 Ambitâbha , le Bouddha de l’au-delà Les représentations d’Amitâbha Les formes ésotériques d’Amitâbha Les neuf sortes d’accueil Raigô d’Amitâbha en son paradis Les groupes d’Amitâbha et de ses acolytes Les acolytes et personnages associés à Amitâbha Avalokiteshvara Mahâsthâmaprapta chin. Daishize ; jap. Dai Seishi 3 Vidéo Les Bouddha de vénération Bhaishajyaguru jap. Yakushi Nyorai; chin. Yaoshi Fo;tib. Smanbla Mania ; mongol Otochi Rien ne saurait mieux décrire cet aspect de la Divinité bouddhique que les qualificatifs attribués à ce substitut du Boudha, considéré cette fois comme une véritable divinité que l’on invoque pour obtenir quelque chose le Maître aux remèdes», le Médecin des âmes et du corps », le Sage et Savant Docteur des maux de ce monde », appelé Bhishaka ou Bhaishajyaguru dans les textes indiens. Selon une version tibétaine de ces derniers, Bhaishajyaguru aurait enseigné la médecine à un groupe de Rishi sages de l’Antiquité indienne. Bien que ce Grand Bouddha se trouve décrit dans de nombreux textes sanskrits, ses représentations n’apparaissent pas avant que les doctrines du Mahâyâna ne lui donnent, selon la logique bouddhique laquelle s’apparente à la logique médicale, une spécialisation qui en fera le Bouddha guérisseur par excellence. En Inde même comme en Asie du Sud-Est, ses représentations sont relativement rares, alors qu’au Tibet et en Chine, où les bouddhistes étaient fortement influencés par les pratiques paramédicales des taoïstes, son image se retrouve plus fréquemment, surtout pendant l’époque des Wei. Il est alors montré dans les mêmes attitudes et de la même manière que le Bouddha Shâkyamuni dont il ne se distingue que par la figuration, au-dessus de lui, de ses sept corps ». Au Tibet, où ses images sont assez courantes, il est de couleur bleue. Il peut alors avoir cinq formes qui dérivent peut-être d’adaptations de textes ésotériques des doctrines du Vajrayâna. Dans la plupart des peintures le représentant, il est assis en Vajrâsana sur un socle de lotus. Les paumes de ses mains sont teintes en rouge. Sa main droite est en Varada-mudrâ sur le genou parfois tenant un fruit de myrobolan, la gauche étant posée dans le giron et portant une coupe ou un vase plein de médecines ou de fruits de myrobolan. En général sa protubérance crânienne est en forme de petit pain de sucre contrairement à celle qui caractérise le Bouddha Gautama, qui est large et aplatie.Au Japon, où son culte fut très en faveur jusqu’au X siècle, on le nomme Yakushi Nyorai Yakushi Rurikô Nyorai, le Grand Bouddha maître des remèdes à l’éclat de béryl », ou encore Dai-i-ô, grand roi des médecins ». On le confond également souvent dans ses fonctions, surtout au sein du peuple, avec l’Arhat Pindola Bharadvâja Sonja. Les Japonais lui accordèrent tant d’importance qu’il fut même, en certaines circonstances, principalement dans les sectes ésotériques, placé au centre du panthéon bouddhique, à la place de Dainichi Nyorai skt. Mahâvairochana ou d’Ashuku Nyorai skt. Ak- shobhya , dans le mandala du Vajradhâtu de la secte Shingon, par exemple . A l’époque de Kamakura 1185-1333, au cours de laquelle la ferveur pour le Bouddha Amida était considérable, certains même n’hésitèrent pas à l’identifier à ce dernier, ce qui était tout à fait inorthodoxe. Trois sectes japonaises lui rendirent un culte séparé et le considérèrent comme l’Entité suprême, celles du Hosshô-shû, du Tendai-shû et du Shingon-shû, alors que les autres sectes ne le regardèrent que comme un simple aspect de la Divinité secte Zen entre autres. Les sectateurs de la Terre pure d’Amida Jôdo-shû et de Nichiren ne lui accordent plus qu’une considération très limitée . Cependant la popularité de ce Bouddha guérisseur dépasse largement les cadres dogmatiques des sectes, et il est encore vénéré, à titre individuel, par beaucoup de Japonais. Un des traits caractéristiques de ce Bouddha est le fait qu’il aurait prononcé, étant encore un Bodhisattva, douze grands vœux, dont certains concernaient la guérison physique des malades. Un autre de ses vœux était d’éclairer le monde par la lumière émanant de son corps, et c’est la raison pour laquelle il est parfois identifié au Japon au Grand Bouddha de la lumière solaire, Dainichi Nyorai comme chaque Jina, il a une terre de prédication. Celle-ci, que la tradition situe à l’est, c’est-à-dire du côté du soleil levant, le prédestinait à devenir un Bouddha essentiellement japonais, les îles du Japon, les plus orientales de l’Asie, étant placées sous le signe du soleil né de la mer ». Et c’est peut-être la situation à l’est de sa terre de prédication océan Pacifique qui incita les hommes à penser que sa résidence divine, son paradis en quelque sorte lequel participe de son second vœu, était une terre de pur béryl», d’où le nom qu’il prend également de Bhaishajyaguru Vaiduryaprabhâsha jap. Yakushi Rurikô, à l’éclat de béryl ». Ces particularités furent probablement déterminantes du fait que Bhaishajyaguru fut l’une des premières divinités bouddhiques à être vénérées au Japon, et devint l’une des plus importantes. Le célèbre temple du Hôryû-ji, à Nara, aurait en effet été édifié par le régent Shôtoku pour y abriter une grande statue en bronze de Yakushi Nyorai, dans l’espoir d’obtenir de ce Bouddha-médecin la guérison de l’empereur Yômei vers 587. En 680 également, le temple du Yakushi-ji fut construit à Nara, alors la capitale du Yamato, sur l’ordre de l’empereur Tenmu afin d’obtenir la guérison de l’impératrice malade. Connu au début par les seuls grands personnages de la cour, puis, au fur et à mesure que les doctrines bouddhiques se répandaient dans le pays, par des couches de plus en plus larges de la population, la réputation de Yakushi Nyorai ne fit que grandir et, à partir du Vlir siècle surtout, son culte prit une grande ampleur. Des lectures du Yakushi-kyô texte canonique d’invocation à ce Bouddha étaient faites dans les temples où l’on procédait également à des cérémonies de repentance appelées Yakushi-keka à l’occasion desquelles on abandonnait temporairement toute activité de chasse ou de guerre et on relâchait des animaux prisonniers. Ces cérémonies, qui comprenaient un rite de circumambulation autour de la statue de Yakushi rite appelé Gyôdo-keka, étaient faites soit dans le but d’obtenir une guérison, soit dans celui de conjurer des malheurs nationaux calamités diverses, épidémies, sécheresse, etc. ou personnels. Dans ce même but, les sectateurs du Tendai-shû offraient à Yakushi Nyorai tout comme à Dainichi Nyorai, d’ailleurs des lampes et des lumières, par analogie avec un rite magique destiné à augmenter la puissance lumineuse du soleil, alors identifié au corps lumineux » de Yakushi ou de Dainichi Nyorai, à la fin de l’année, ou pour chasser, en d’autres occasions, les puissances maléfiques des ténèbres. Les sept corps ou formes de Bhaishajyaguru Certains textes sanskrits, comme le Saptatathâgata-purva-pranidhânavi- chesba-vistara, ou chinois décrivent sept corps » ou émanations que Bhaishajyaguru peut assumer lors de ses fonctions de guérisseur, parmi lesquels celui de Bhaishajyaguru lui-même. L’un de ces corps d’émanation jap. Busshin est parfois considéré au Japon comme une divinité indépendante ce Zen Myôshô Kichijô-ô Nyorai est alors confondu avec Yakushi Nyorai. Ces émanations sont généralement représentées au-dessus de l’image de Bhaishajyaguru elles ont une carnation rouge ou jaune d’or et font des gestes différents, bien que ces divinités soient toutes également assises en Vajrâsana sur les peintures tibétaines, ou bien placées sur son auréole corporelle, tenant à la main un chintâmani. Ces émanations sont parfois seulement symbolisées par leurs lettres-germes respectifs bîja ; jap. shûji tracés en caractères Siddham sanskrits. On attribue à ces sept émanations des paradis distincts, tous situés à l’est, et un certain nombre de vœux. Les représentations de Bhaishajyaguru Nous avons vu qu’au Tibet, et dans la peinture lamaïque en général, les images de Bhaishajyaguru suivaient presque toutes le même schéma d’ensemble. En Chine et au Japon, ses images sont plus diversifiées, bien qu’obéissant sensiblement aux mêmes règles il est généralement représenté assis, la main droite en absence de crainte Abhaya ou en don Varada, la main gauche étendue le long de la hanche position debout ou bien reposant dans le giron, tenant ou non le pot à médecin. Ce pot à médecine est parfois appelé, à tort, bol à aumônes pâtra. En fait c’est le bol à médecine en béryl » jap. ruri yakko. La main qui tient la boîte à onguent est toujours simplement en Varada-mudrâ, la boîte ou le pot, ou le gobelet est simplement posée dessus, car les images d’un Tathâgata sont toujours immuablement représentées, en Chine comme au Japon, sans objet, en mudrâ simple. Un texte chinois, le Yaoshi Rulai Niansong Yigui jap. Yakushi Nyorai Nenzu Gikî, précise cependant De la main gauche faire porter à Bhaishajyaguru un pot à médecine ou une perle précieuse. La main droite sera dans la mudrâ de l’Union des trois mondes. » Cette dernière mudrâ correspond à celle de l’absence de crainte Abhaya ; c’est la forme iconographique la plus courante au Japon et en Chine. Il semblerait d’ailleurs que les plus anciennes représentations de Yakushi Nyorai que nous connaissions au Japon ne possèdent pas de bol à médecine mais peut-être celui-ci a-t-il simplement disparu. Par ailleurs Bhaishajyaguru suit les formes iconographiques des Grands Bouddha Tathâgata. Cependant, il convient de signaler une forme particulière de Yakushi Nyorai effigie au Hôkai-ji, à Yamashiro, Japon dont les mains sont en Dharmachakra-mudrâ, tenant le pot à médecine. D’autres formes iconographiques existent, fondées sur des textes différents par exemple représentant Bhaishajyaguru avec le pouce de la main droite touchant l’annulaire de la main gauche mais ces diverses formes sont principalement mentionnées dans des traités théoriques ou bien ne se trouvent figurées que sur des mandala. Enfin, détail non expliqué, au Japon, Yakushi Nyorai ne fait pas partie des deux grands mandala du Vajradhâtu et du Garbhadhâtu de la secte Shingon. Tajima Ryôjun donne les raisons qui pourraient éventuellement expliquer cette absence de représentation. Celles qui nous paraissent les plus évidentes associent Yakushi Nyorai à Aksho- bhya jap. Ashuku, le Bouddha de l’Est dans le Vajradhâtu Mandala, et à Mahâvairochana jap. Dainichi Nyorai dans le Garbhadhâtu Mandala. Les acolytes de Bhaishajyaguru Cette divinité se trouve souvent entourée, en sculpture comme en peinture, par deux Bodhisattva, Sûryaprabha ou Sûryavairochana; jap. Nik- kô Bosatsu, symbolisant la lumière du soleil, et Chandraprabha ou Chandravairochana; jap. Gakkô Bosatsu, symbolisant celle de la lune, l’un veillant sur les mortels pendant le jour, l’autre pendant la nuit. Ensemble ils forment un groupe appelé auguste triade de Bhaishajyaguru» jap. Yakushi Sanzon. Sûryaprabha et Chandraprabha sont montrés debout ou assis en Lalîtâsana. Sûryaprabha est, en peinture, représenté de couleur orangée, alors que Chandraprabha est de couleur blanche. Ils sont vêtus d’une robe monastique à longues manches, sans ceinture, ont des souliers aux pieds ce qui est exceptionnel dans le cas des Bodhisattva et les cheveux noués en un haut chignon entouré d’une couronne de soleils pour Sûryaprabha ou de lunes pour Chandraprabha. Cependant leur vêtement peut varier d’une peinture à l’autre, de même que leurs bijoux et diadème. Bien que les mudrâ qui leur sont attribuées ne soient pas absolument fixées, ils réalisent souvent le geste de l’absence de crainte et d’offrande Abhaya-Varada, symétriquement l’un par rapport à l’autre, ou bien ont les mains réunies en Anjali-mu- drâ. Ils portent aussi parfois un lotus dans la main droite et un disque solaire Sûryaprabha ou un lotus dans la main gauche et un croissant de lune Chandraprabha. On les montre aussi comme des adolescents, avec les cheveux retombant en longues mèches. Le lotus bleu utpâla qu’ils tiennent alors à la main est surmonté soit d’un disque solaire, soit d’un croissant de lune. En peinture, Sûryaprabha est parfois représenté sur un char tiré par trois chevaux, ou bien à cheval. Chandraprabha est parfois montré chevauchant une oie. Ces Bodhisattva sont cependant rarement représentés indépendamment de Bhaishajyaguru. Les douze guerriers de Bhaishajyaguru Bhaishajyaguru commande également à douze guerriers parfois considérés comme des Yaksha ou titans, appelés au Japon Jûni Shinshô ou Jûni Daishô dans le Butsuzô-zu-î. Ils sont censés protéger les fidèles en présidant aux heures de la journée comme aux mois et directions de l’espace. Ce sont douze parfois seulement neuf généraux dont les armées combattent les maladies. Ces douze guerriers seraient également représentatifs des douze vœux de Bhaishajyaguru. Ils commanderaient aux quatre-vingt mille pores de la peau, défendant ainsi, au nom de Bhaishajyaguru, la santé des fidèles. Bien que décrits dans les textes sanskrits , chinois et japonais; les attributs qu’on leur donne ainsi que leur couleur et parfois même leur nom peuvent varier. Les peintures d’Asie centrale de Khara-khoto notamment les représentent comme des Yaksha indiens, avec des expressions farouches, parés comme des Deva ou Asura. Ils sont alors considérés comme des gardiens de l’espace Dikpâla. Ils sont également assimilés, surtout en Chine et au Japon, aux gardiens des quatre points cardinaux les Lokapâla ou Chaturmahârâja, comme des guerriers en armure. Ils sont rarement représentés indépendamment de Yakushi Nyorai, sans qui ils ne sauraient avoir d’existence. Ce sont dans l’ordre donné par le Butsuzô-zu-i et le Bukkyô Daijten Khumbîra jap. Kubira, jaune, armé d’un vajra. Vajra jap. Bazara, Bajira, blanc, armé d’un glaive. Mikila Mihira; jap. Mekira, jaune, armé d’un vajra. Andira jap. Anteira, vert, armé d’un maillet ou d’un chasse- mouches. Anila Majila; jap. Anira, rouge, armé d’un trident ou d’une flèche. Shandila jap. Sandeira, gris, armé d’un glaive ou d’une conque. Indra jap. Indara, Indatsura, rouge, armé d’un bâton ou d’une hallebarde. Pajira jap. Haira, rouge, armé d’un maillet, d’un arc ou d’une flèche. Mahôraga jap. Makora, Makura, blanc, armé d’une hache. Sindura Kimnara ; jap. Shindara, jaune, armé d’une corde ou d’un chasse-mouches et d’un bâton de pèlerin khakhara. Chatura jap. Shôtora, bleu, armé d’un maillet ou d’un glaive. Vikarâla jap. Bikyara, rouge, armé d’un vajra à trois pointes. Ils sont généralement représentés debout, en armure, dans une attitude martiale ou menaçante, casqués ou les cheveux hérissés, avec une expression féroce. Au Japon, après la période de Kamakura 1185- I 333, ces douze guerriers furent parfois confondus ou associés aux douze animaux Jûni Shi du cycle des années. En dehors de ses deux acolytes et de ses douze guerriers, Bhai- shajyaguru est théoriquement entouré de huit grands Bodhisattva qui sont Manjushrî, Avalokiteshvara, Akshayamati, Mahâsthâmaprapta, Maitreya, Bhaishajyarâja et, au Japon, Hôdange Bosatsu. Ces huit Bodhisattva ont pour tâche de montrer aux fidèles le chemin du paradis d Amitâbha. Parmi ceux-ci se trouvent deux Bodhisattva de la médecine au Japon Yaku-ô et Yaku-jô qui seraient deux frères de la suite dAmitâbha dans sa descente » jap. Raigô ou accueil des fidèles dans le paradis dAmitâbha », et qui représenteraient la puissante purificatrice du soleil . En peinture, ils sont montrés tenant à la main une branche de saule. Cependant ces dernières attributions de Bodhisattva à l’effigie de Bhaishajyaguru nous paraissent très tardives et furent probablement des tentatives des sectes vénérant Amitâbha pour essayer d’englober dans leurs doctrines celles qui se rapportaient à Bhaishajyaguru et ainsi gagner à leur foi une partie au moins de ses fidèles. On ne peut guère accorder de valeur symbolique absolue à ces dernières attributions qui demeurent, du reste, tout à fait théoriques, et dont les fidèles se soucient peu. Le populaire vénère non seulement la divinité de Bhaishajyaguru, mais, par un phénomène qui se retrouve sous toutes les latitudes et à toutes les époques, ses statues elles-mêmes, qui deviennent ainsi, par transfert, des sortes de fétiches. Il vénère ainsi certaines statues de Bhaishajyaguru comme étant plus ou moins efficaces dans leurs pouvoirs de guérison. Les vertus qui sont généralement attribuées par les fidèles aux statues de Bhaishajyaguru sont multiples on les croit capables de veiller sur la santé des gens, de les protéger contre les épidémies et les diverses maladies, contre les dangers qui guettent leurs familles et les femmes en couches, de les préserver des périls encourus lors des voyages en mer, et même de guérir de la stérilité. Il existe, au Japon surtout, de nombreuses effigies de Yakushi Nyorai Bhaishajyaguru auxquelles le populaire attribue des pouvoirs merveilleux celle du Kaizô-ji à Kamakura aurait été découverte — la tête seulement — par un moine du nom de Genno alors qu’elle gémissait toutes les nuits dans la terre où elle se trouvait enfouie à la suite d’un cataclysme. Ces gémissements auraient miraculeusement cessé lorsque le moine eut réparé la statue. Les Japonais vénèrent également des statues de Yakushi Nyorai dans les stations thermales, notamment à Kumano Yunomine Onsen. Enfin, toujours au Japon, une divinité syncrétique appelée Gion Tenjin, protectrice du sanctuaire de Gion à Kyôto, est souvent identifiée comme étant une émanation de Yakushi Nyorai, laquelle ne serait autre que le héros mythique Susanoo no Mikoto, frère turbulent du Kami solaire Amaterasu Omikami des légendes du shinto. Cette divinité n’a pas de forme fixée mais se distingue parfois, sous le nom de Gozu Tennô, par un crâne de bœuf posé sur sa tête. Elle a l’apprence d’un Deva, avec deux ou plusieurs bras. Cependant cette identification syncrétique est souvent contestée. On voit que, pour Bhaishajyaguru comme pour les autres divinités du panthéon bouddhique, de nombreuses opinions partagent, non pas les fidèles, mais les théologiens. Il est toujours difficile, dans le Mahâyâna, d’affirmer un dogme quelconque et de le définir avec précision la divinité est, comme l’être humain, sujette à d’infinies variations. Elle aussi n’est qu’un cadre général qui ne peut se satisfaire de règles trop absolues qui risqueraient, dans leur rigidité, et selon l’éthique asiatique, de leur ôter toute vie ce qui est vraiment vivant, c’est ce qui peut changer, évoluer, surtout ce qui peut être conçu de mille manières différentes suivant les individus. Car en définitive, la Divinité n’est que ce que les hommes veulent bien qu’Elle soit Elle reste avant tout humaine, se transforme et vit parmi les hommes qu’Elle a pour mission de soulager, d’aider. Les fidèles ne sauraient La concevoir autrement sans s’éloigner d’Elle. Ambitâbha , le Bouddha de l’au-delà D’origine indienne comme la plupart des autres formes du Bouddha historique, Amitâbha n’est cependant pas formellement attesté en Inde, peut-être du fait de la perte des textes qui en parlaient. Le plus ancien témoignage que l’on ait d’un culte rendu à Amitâbha paraît en effet dater du voyage que fit en Inde le pèlerin chinois Huiren Canmin en 712-719- C’est au VIII siècle seulement que son culte aurait été introduit au Tibet par Padmasambhava . Mais des sûtra à la gloire d’Amitâbha étaient déjà traduits en chinois, dès les II ou III siècles de notre ère le culte d’Amitâbha avait donc à cette époque une certaine importance. On a parfois tenté de lui trouver une origine iranienne, ce qui paraît plausible en raison de la situation occidentale qu’il occupe dans l’espace bouddhique d’une part, et de son aspect solaire de l’autre. Il était évidemment tentant d’en faire une sorte de bouddhisation » de Mithra. Mais son origine réelle reste encore à déterminer. Aucun aspect du Bouddha n’a fait couler autant d’encre sous la plume des théologiens et exégètes ni suscité autant d’opinions diverses sur sa personnalité que le personnage d’Amitâbha. Mais c’est justement cela qui nous permet, non pas de le définir il y faudrait consacrer plusieurs ouvrages, mais de le cerner avec suffisamment de précision pour que nous puissions nous le représenter comme le conçoivent ses fidèles. Cet aspect du Bouddha, appelé Amida au Japon Mida par licence poétique, correspond aux formes sanskrites tardives d’Amitâbha d’Amitâyus et d’Amrita car il est pratiquement ignoré des doctrines du Petit Véhicule. On situe sa terre de prédication son paradis à l’ouest. Il symbolise donc, à l’opposé de Bhaishajyaguru, le soleil couchant. Et, toujours par opposition et complémentarité à la fois, la vie dans l’au-delà, ce que nous appelons chez nous la mort et la vie après celle-ci. Son paradis occidental est la Terre pure Sukhâvatîvyûha ; jap. Gokuraku Jôdo C’est là que les “ âmes ”, débarrassées de leur gangue d’impuretés, pures de tout désir, se rendent à l’appel d’Amitâbha. » Amitâbha est le Bouddha qui accueille, qui console dans l’au-delà. C’est également un Bouddha de pouvoir intellectuel » il est la cause excellente » de la sapience du discernement merveilleux » Pratyavekshanâjnana Toute compassion, il délivre les êtres de leurs souffrances et les accueille dans sa Terre pure. Cependant, selon Paul Mus, Amitâbha serait, de même que les autres Jina aspects du Bouddha, une personnification de l’un des épisodes de la vie du Bouddha historique voir au chapitre des Grands Jina ». Alors qu’il n’était encore qu’un Bodhisattva, Amitâbha aurait médité pendant le temps de cinq Kalpa ères bouddhiques et indiennes avant de prononcer son grand vœu en quarante-huit points par lequel il s’engage à sauver tous les êtres quels qu’ils soient et où qu’ils se trouvent. Cette fonction salvatrice, jointe à la simplicité de la doctrine des diverses sectes de la Terre pure, lui valut une popularité considérable, tant au Tibet qu’en Chine ou au Japon secte du Jôdo-shû qui fit d’Amida sa divinité principale, et secte du Jôdo-shinshû qui en fit sa divinité unique. Il est d’ailleurs difficile de déterminer qui, de la personnalité propre d’Amitâbha ou de la simplicité des doctrines ami- distes », contribua le plus à l’immense faveur que connut Amitâbha auprès des fidèles. Il est probable que l’aspect consolateur d’Amitâbha parla autant au cœur des hommes que la simplicité des doctrines fondées sur la foi plut aux masses illettrées comme aux guerriers et aux aristocrates, peu soucieux de pratiques rituelles compliquées… Il est d’autre part certain que l’essor des cultes et des doctrines amidistes au Japon à partir du IXe siècle transforma de fond en comble le bouddhisme japonais dans ses rapports avec le peuple, en diffusant des bribes de ses doctrines jusque dans les couches les plus humbles de la population. On peut donc affirmer que l’amidisme d’abord celui de la secte du Jôdo, puis celui du Jôdo-shinshû a profondément modifié les processus de pensée du peuple japonais, contrairement aux autres pays où son influence ne fut guère plus importante que celle des autres divinités du panthéon bouddhique. Avant le IX’ siècle, les Japonais voyaient les divinités bouddhiques peut-être à l’exception de Yakushi Nyorai comme des entités étrangères, aristocratiques, qu’il était bon, certes, de ne pas offenser et qu’il convenait de révérer, mais avec lesquelles ils n’entretenaient pas de rapports directs, séparés d’elles qu’ils étaient par une masse de textes religieux pour la plupart écrits en chinois, langue à laquelle leur instruction ne leur permettait pas d’avoir accès, à moins d’appartenir à la classe des grands aristocrates ou à celle des moines et par des religieux qui se souciaient peu de se mettre à leur portée et dont les discours leur paraissaient fort abscons… Mais à partir du moment où des hommes comme eux, et même des princes de sang comme nous le verrons plus loin avec Kûya Shônin et des moines démunis se mirent à parcourir les campagnes et à prêcher dans leur langue aux gens des campagnes, leur racontant des légendes qu’ils pouvaient comprendre et leur expliquant les textes sacrés à l’aide de paraboles et d’images, les Japonais, tant ceux des campagnes que ceux des villes et les guerriers, se sentirent invinciblement attirés par la personnalité toute compatissante d’Amida. À cela s’ajoutait une sorte de terreur sacrée de la fin du monde la même, à peu de chose près, que celle qui fit trembler le monde occidental aux approches de l’an mil, les moines annonçant la venue du Mappô pour le milieu du XI siècle, ère de dégénérescence de la Loi bouddhique » qui apparaissait aux âmes simples de ces époques troublées comme devoir être une sorte de fin du monde. En Chine, ce phénomène, bien qu’il fût connu des moines, n’affecta aucunement les populations, le bouddhisme étant déjà à cette époque et cela depuis l’an 845 une religion peu répandue dans les masses et qui n’intéressait que quelques communautés de fidèles. Chacun avait donc, au Japon, comme une hâte de croire en quelque chose de meilleur, se sentait un besoin immense d’espérance en un au-delà différent des sombres angoisses d’un inconnu qui leur semblait effroyable. Certains qu’ils avaient désormais la possibilité, quelles que fussent leurs errances, d’avoir accès, au prix d’un peu de foi, au paradis de la Terre pure d’Amida, ils en vinrent à considérer leur vie ici-bas d’une manière différente, la concevant désormais comme une simple période transitoire, et leurs conceptions, de concrètes qu’elles étaient, se spiritualisèrent progressivement. Le sentiment de l’impermanence de toute chose, idée chère au bouddhisme, imprégna profondément les esprits japonais et modifia de manière sensible le comportement des hommes ce nouvel esprit transparaît clairement dans toutes les œuvres de l’époque, dans les romans comme dans les contes épiques et même dans les correspondances particulières et les notes intimes. Au XIIe siècle, période troublée au cours de laquelle de tragiques évènements donnèrent de plus en plus de poids à cette idée de l’impermanence, même les guerriers les plus endurcis ne pouvaient s’empêcher de songer sans cesse à celle-ci d’une part elle les rendit plus actifs, peut-être parce que plus fatalistes, mais d’une autre elle contribua très fortement à leur faire mépriser la mort, considérée non plus comme une fin inévitable qu’il importait de retarder le plus possible, mais comme un simple passage » vers une vie meilleure, toute de paix et de sérénité. La société japonaise s’en trouva transformée. En Chine, Amitâbha fut tout d’abord assimilé à un Bouddha particulier, le Bouddha de la Précieuse Loi Fabao, puis fut finalement identifié comme étant Omituo Fo transcription d’Amitâbha Bouddha. Son culte parut devenir important vers le V siècle, avec l’apparition des doctrines de la Terre pure ou du paradis de l’Ouest chin. Xitian. On le connut là sous de très nombreux noms, tels que Maître originel » Upadhyâya ; chin. Benshi Heshang, Souverain Maître du paradis de l’Ouest » chin. Xitian Jiaozhu, Grande Compassion et Sympathie » chin. Daci Dabei, etc. On croit que le nom même d’Omituo Fo Amitâbha fut introduit en Chine par un moine d’Asie centrale, appelé Jilugacan ou Jiloujiachan, qui s’installa au monastère du Cheval Blanc chin. Baima Si à Luoyang afin d’y traduire les textes afférents à Amitâbha. Son culte se développa progressivement, mais n’atteignit jamais l’ampleur qu’il eut au Japon. Dans ce pays, les esprits populaires avaient déjà été quelque peu préparés à l’apparition des cultes du Bouddha Amida par les doctrines syncrétiques apparues au début du IX’ siècle qui associaient divinités bouddhiques et Kami du terroir. Amida fut tout d’abord, dans cet esprit et aussi de par sa nature solaire, identifié à une autre divinité solaire, le Kami le plus important du culte shintô, ancêtre de la dynastie impériale, Amaterasu Omikami, vénérée dans le sanctuaire national d’Ise. Dans ce même Ryôbu-shintô doctrine syncrétique fondée sur le Honji-suijaku, ou doctrine de la descente », ou avatâra, dans laquelle un rapport de réalité à manifestation était établi entre les divinités bouddhiques et les Kami du Shintô, Amida fut également identifié à Hiyoshi Shoshin, un Kami du mont Hiei près de Kyoto, à Shôjo Gongen Ietsu no Mikoto de Kumano, et à Hachiman ou Yawata, Kami de la guerre nommé gardien du temple du Tôdai-ji à Nara. À partir de la fin du IX’ siècle, de très nombreux temples amidistes furent élevés dans tout le Japon, soit par des fonctionnaires, soit par des particuliers ou des communautés villageoises, le nombre des fidèles d’Amida ne cessant de s’accroître. Ces temples furent dénommés Amida-dô salle d’Amida, ou encore Muryôju-in selon les cas ou selon l’appartenance à une secte amidiste ou ésotérique du fondateur. Ces temples tendaient à reproduire sur terre le paradis d’Amida ». En 1020, par exemple, le régent Fujiwara no Michinaga 966-1027 fit élever le temple du Hôjô-ji dans cette intention et, à son propos, le Eiga-monogatari raconte qu’il construisit tellement de salles qu’il semblait que l’on avait la Terre pure sous les yeux. » L’architecture des temples bouddhiques s’en trouva également transformée, car il était alors essentiel que la statue d’Amida se trouvât placée au centre de la salle d’adoration, les fidèles devant faire une circumambulation tout en récitant l’invocation rituelle du nom d’Amida ou Nembutsu. Certains temples devaient prendre des dimensions oblongues, afin d’abriter les neuf aspects Kubon d’Amida à l’intérieur de la Terre pure aspects correspondant aux neuf degrés de maturité des êtres reçus par lui dans son paradis. La décoration des temples, d’austère qu’elle était, changea également les édifices devinrent luxueux, s’ornèrent de fleurs, de jardins et de lumières innombrables. Fêtes et processions s’y déroulaient jour et nuit, parfois avec un faste inouï, dans l’espoir d’arriver à égaler l’enchantement de ce que le peuple pensait devoir être la Terre pure d’Amida. La fine fleur de l’aristocratie passait alors une grande partie de son temps en prières, chansons et danses dans ces temples. Les galants s’y donnaient même rendez-vous, les femmes de qualité venaient y passer la nuit auprès de la Divinité car il était de bon ton d’y venir faire retraite. Dans les villages, à côté des temples furent dressées des estrades couvertes où paysans et moines venaient danser joyeusement ensemble en chantant et en psalmodiant le Nembutsu le nom d’Amida. Le 14′ jour du 6′ mois était le plus gai, qui était le jour d’Amida, car ce jour brillant » jap. harebi était également chômé tout au moins jusqu’à l’époque de Kamukura. En Chine, on célébrait également avec faste le jour anniversaire de la naissance du Bouddha Omituo Fo, le 17 jour de la 11 lune. La dévotion à Amitâbha était joyeuse et de ce fait eut certainement une grande part dans la diffusion de son culte, les fidèles étant par nature plus enclins à la gaieté qu’aux pratiques austères… Ils avaient alors coutume d’offrir à Amitâbha Amida ou Omituo Fo de très nombreuses lampes, afin de redonner plus de force et de vie au soleil couchant, au cours de cérémonies appelées Mando-e myriade de lumières au Japon, Amitâbha étant également appelé le Bouddha aux douze lumières » jap. Jûnikô Butsu. Mais cette offrande était aussi un symbole par cet acte, le fidèle offrait lui-même sa propre existence à la divinité, il s’immolait lui-même symboliquement, et ce sacrifice était censé être agréable à la divinité. Nous retrouvons d’ailleurs cette identification de la vie de l’individu et de la lampe allumée, vacillante, dans de nombreux folklores et même dans Les Mille et Une Nuits. Les suicides par le feu dans les pays bouddhistes n’eurent probablement pas d’autre origine les fidèles s’offraient eux-mêmes, comme une lampe. Amida Nyorai, dont le culte est devenu l’un des plus populaires et est encore de nos jours extrêmement répandu au Japon il a pratiquement disparu des autres pays, est généralement invoqué, non pour obtenir des biens dans ce monde-ci, mais plutôt à des fins spirituelles, surtout afin d’obtenir de lui une bonne mort » et l’accueil dans son paradis de la Terre pure. Pour cela, l’invocation de son nom jap. Nem- butsu ; formule chinoise Nanwu Omituo ; jap. Namu Amida Butsu, propagée au Japon par le moine Kûya Shônin au X’ siècle, est réputée toute-puissante. Mais si les sectes japonaises du Jôdo-shû et du Jôdo- shinshû parfois celle du Tendai font souvent usage de cette invocation, elle est peu utilisée par les sectes Zen et totalement rejetée par les nichirénistes. De très nombreux ouvrages populaires furent écrits et diffusés au Japon sur la dévotion à Amida, et de non moins nombreuses légendes se greffèrent sur ses fonctions, rapportant principalement les miracles que fit ce Bouddha sauveur. On raconte notammentqu’une famille Miyagi d’Adachi, à Tôkyô demeurait sans descendance, malgré les prières adressées à Kumano Gongen, une divinité syncréti- que. Cependant, après de longues années une fille vint à naître dans cette famille. Comme elle était d’une grande beauté, on la surnomma Adachi Hime la princesse du quartier d’Adachi. A l’âge de dix-sept ans on la maria; mais martyrisée par sa belle-mère, elle se suicida avec cinq de ses servantes cette forme de suicide collectif ou Junshi n’était pas rare dans le Japon ancien, et il arrivait fréquemment que des serviteurs ou des amis suivent dans la mort leur maître ou un être cher, afin de continuer d’être avec eux dans le paradis d’Amida. Son père fit alors sculpter dans le tronc d’un seul arbre six statues d’Amida afin que ce Bouddha daigne accepter dans sa Terre pure les âmes de sa fille et de ses fidèles servantes, et plaça ces six effigies dans six temples de la région. La coutume s’établit alors de faire un pèlerinage annuel dans ces six temples afin de prier pour les défuntes et en même temps supplier Amida de permettre que les pèlerins aient, eux aussi, une bonne mort ». De ces six temples, seuls demeurent encore ceux du Keimei-ji à Numada-machi et du Muryô-ji à Nishigahara… Récemment, et dans le même esprit, une statue d’Amida fut réalisée avec des os calcinés des victimes du grand tremblement de terre qui détruisit Tôkyô en 1923. Ce souvenir macabre il mesure un mètre de haut et se trouve actuellement dans un temple élevé à la mémoire des victimes de cette catastrophe, le Jikô-in, à Tokyo n’est pas, pour les Japonais, de mauvais goût habitués à vivre avec l’idée de la mort et point du tout effrayés par celle-ci puisqu’elle doit leur permettre d’accéder à un monde meilleur celui d’Amida, ils n’ont jamais éprouvé cette terreur et cette horreur qui, chez la plupart des Occidentaux, est presque instinctive face à ce qui touche de près à la mort ; tout au plus considèrent-ils celle-ci comme une souillure du point1 de vue du shintô. En communion incessante avec la nature, ils se sont toujours habitués à regarder la vie comme une suite ininterrompue de naissances, de dégradations et de morts. L’homme, faisant partie intégrante de la nature, ne saurait échapper à cette Loi universelle. Dès lors, pourquoi perdre sa vie à déplorer une fin que l’on ne saurait éviter ? Seule la peur d’un au-delà inconnu aurait pu faire frémir d’appréhension mais Amida n’etait-il pas là, prêt à accueillir tous les êtres ? Il suffisait donc d’avoir foi en Lui, en Sa toute-compassion, pour être délivré de l’angoisse de la fin et vivre plus sereinement. Les représentations d’Amitâbha On ne trouve pratiquement pas, comme on pourrait s’y attendre, de représentations d’Amitâbha en Inde. En Asie du Sud-Est, on en rencontre sur les monuments appartenant au Mahâyâna, notamment sur le grand stûpa du Borobudur fin VIIIe siècle – début IXe siècle, à Java, où quatre-vingt-douze de ses effigies assises en position du lotus avec les mains en méditation, Dhyâna-mudrâ garnissent les niches des galeries de l’Ouest, ainsi que sur la coiffure des représentations du Boilhisattva Avalokiteshvara appelé Lokeshvara au Cambodge. Au Népal et au Tibet, Amitâbha est souvent représenté en sculpture et sur les mandala, en étroit embrassement Yab-yum avec sa Shakti ou énergie féminine complémentaire Pândarâ. Plus souvent on le montre sur les thangka ou les mandala sous sa forme d’Amitâyus voir note 170, en Bodhisattva couronnéassis en lotus, mains en méditation Dhyâna-mudrâ supportant un vase d’ambroisie amrita ; jap. kanro, la liqueur divine d’immortalité qui confère la sapience. Il est alors parfois assis à côté d’un arbre Ashoka. En Chine, Amitâbha est montré dans la même position, mais très souvent accompagné de ses deux acolytes, Guanyin Avalokiteshvara et Mahâsthâmaprapta assis à ses côtés. Lorsqu’il est représenté debout, il porte alors en Chine le nom de Jieyin Fo, le Bouddha qui guide au Paradis ». On lui attribue parfois de très longs bras, ce qui lui permet d’atteindre tous ses fidèles. En Corée et au Japon, les images d’Amitâbha apparurent très tôt, pratiquement en même temps que les doctrines du bouddhisme. Une des plus anciennes images de ce Bouddha au Japon semble être celle du zushi sorte d’autel portatif en forme d’armoire ayant appartenu à une dame de la famille Tachibana VIIP siècle où Amida est montré assis en Vajrâsana ou Ardhapadmâsana, cheville droite sur cuisse gauche, les mains faisant un geste d’accueil non défini la main droite levée, la main gauche en Varada, accompagné de ses deux acolytes debout sur des fleurs de lotus. Sur les autres images japonaises, il peut adopter des positions différentes, avoir les mains en méditation Dhyâna-mudrâ, posées l’une sur l’autre, pouces et index réunis de manière à former deux triangles accolés Amitâbha Dhyâna-mudrâ ; jap. Amida Jô-in, ou encore avoir les deux pieds apparents, être assis en Lalîtâsana ou, plus rarement, les mains faisant le geste de tourner la roue de la Loi Dharmachakra-mudrâ à hauteur de la poitrine, geste qui, nous l’avons vu, est généralement réservé à Shâkyamuni. En peinture, son image est souvent multiple, comme pour augmenter son efficacité. En sculpture, Amida est généralement représenté assis avec les mains en Dhyâna-mudrâ ou en Vitarka-mudrâ, seul ou accompagné de ses acolytes. On le montre aussi parfois debout mais plus particulièrement sur les peintures. Dans ce dernier cas, pour les sculptures appartenant à la secte du Jôdo, son auréole corporelle affecte la forme d’un bateau jap. funagata-kôhaî, afin de rappeler qu’Amida est le passeur des fidèles au-delà de l’océan des douleurs. Il semblerait que les formes les plus anciennes au Japon pour la plupart disparues eurent les mains en Dharmachakra-mudrâ, Amida ayant alors été l’objet d’une certaine confusion avec le personnage du Bouddha historique. Sous l’influence des doctrines japonaises de l’ésotérisme Mikkyô, Amida présenta ses mains en Dhyâna-mudrâ, surtout à partir de la période finale de Heian de vers 900 jusque vers la fin du XIIe siècle et pendant la période de Kamakura, c’est-à-dire jusqu’au début du XIV siècle. La forme d’Amida, qui, dans l’ésotérisme, appartient au mandala du Vaj- radhâtu, appelé Amitâyus jap. Muryôkô ; chin. Wuliang Guangming, Lumière infinie », se distingue en ce que celui-ci présente un pan de sa robe retombant sur son épaule droite, alors que dans son aspect d’Amitâyur jap. Muryôju; chin. Wuliang Shu, Longévité infinie » dans le mandala du Garbhadhâtu, ses deux épaules sont couvertes par sa robe. En tant que Bouddha principal de l’ésotérisme, Amida porte une couronne. Son corps et sa robe pan retombant sur l’épaule droite sont de couleur rouge il est alors nommé au Japon Guhari-shiki no Amida, ou encore Guhari no Amida Amida de couleur pourpre. Il est parfois aussi, toujours en sculpture, assis avec les pieds entièrement cachés par sa robe signe d’appartenance à l’ésotérisme, une large coiffure sa tête étant supposée avoir grossi pendant le temps des cinq Kalpa que dura sa méditation précédant la formulation de son vœu. Ses mains sont alors en Anjali-mudrâ. On nomme cet aspect particulier Gokôshiyui no Amida Méditation des cinq Kalpa ou encore Inni Hôzô Nyorai Grand Bouddha de méditation sur la Cause. En peinture, Amida est parfois représenté au Japon principalement apparaissant derrière la montagne » Yamagoshi no Amida, Shutsugen no Amida, comme s’il était le soleil couchant. Sur quelques peintures il est également représenté debout sur un chemin situé entre une rivière de feu et une rivière d’eau séparant son paradis du monde terrestre, invitant du geste les fidèles à le suivre. Les représentations sculptées ou peintes d’Amitâbha sont extrêmement diverses et nombreuses, étant donné la faveur dont jouissait ce Bouddha. Au Japon, les particuliers lui élevaient de nombreuses statues et faisaient peindre ses images. On raconte que Taira no Shigenori 1138-1179 avait fait réaliser quarante-huit statues d’Amida sous sa forme de Jûni-ko Butsu, une par point de son vœu. En général mais cela est loin d’être une règle absolue, les sectes ésotériques l’ont représenté assis sur une fleur de lotus, tandis que les sectes amidistes » l’ont plus volontiers montré debout, sans couronne, les mains en absence de crainte et don Abhaya-Varada-mudrâ. Cependant certaines sculptures et peintures, réalisées pour illustrer des croyances particulières, peuvent présenter des formes exceptionnelles. Enfin il est à noter que l’image d’Amitâbha, debout ou assise, se trouve presque toujours placée dans la coiffure ou sur la couronne d’Avalokiteshvara et de ses émanations, ceux-ci étant considérés comme des hypostases d’Amitâbha. Lors des persécutions antichrétiennes qui eurent lieu au Japon pendant la période d’Edo XVII et XVIII siècles, certains chrétiens, afin de ne point paraître suspects, firent réaliser des images d’Amida qu’ils placèrent sur une croix, à l’emplacement normalement occupé par l’effigie du Christ. Cette association était toute naturelle pour des hommes habitués au syncrétisme religieux, d’autant plus que la personnalité salvatrice d’Amida pouvait, à certains égards, s’apparenter à celle du Sauveur chrétien. La foi chrétienne pouvait ainsi fort bien, pour des catéchumènes japonais, s’allier à la foi en Amida. Cette association n’était pas aussi hérétique que l’on pourrait le supposer tout d’abord… Il est remarquable de constater que l’apparition dans le bouddhisme d’un Bouddha de l’au-delà » tel qu’Amitâbha correspondait à un désir profond des hommes d’être rassurés quant à leur devenir après la mort. Cette vie dans l’au-delà n’avait en effet jamais été envisagée par le Bouddha lui-même, qui ne se préoccupait que de sauver les hommes des douleurs de ce monde. La philosophie du Bouddha historique ne comportant pas de métaphysique, les hommes eurent tôt fait de remédier à cette lacune en créant, toujours dans l’esprit de compassion du bouddhisme, une divinité qui, demeurant dans cet au- delà inconnu, était susceptible de les accueillir et de les réconforter. Les formes ésotériques d’Amitâbha Nous avons vu qu’Amitâbha pouvait prendre au moins deux aspects, selon le. mandala considéré Amitâyus, Lumière infinie >> et Amitâyur, Longévité infinie ». Ces deux formes ne furent guère représentées que sur les mandala, sauf peut-être l’aspect d’Amitâyus, qui fut en grande faveur au Tibet où il est représenté comme un Bouddha paré, couronné, orné de joyaux comme un Bodhisattva, les deux pieds apparents sur les cuisses, et tenant dans ses mains en méditation le flacon d’ambroisie. Substitut d’Amitâbha dont il est le principal aspect, Amitâyus est naturellement accompagné des deux acolytes d’Amitâbha. Il est rarement accompagné de sa parèdre Pândarâ, mais peut être parfois représenté avec plusieurs faces jusqu’à quatre et plusieurs bras deux à huit. Sa monture vâhana est un paon, qui parfois apparaît sur les images peintes. Quant à Amitâyur, il n’est pratiquement jamais représenté, sauf sur quelques mandala. Sous sa forme d’Amitâyus chin. Changsheng Fo; tib. Tse-dpag- med; mongol Chaghlasi ügei Nasutu ou de Bouddha de la Vie éternelle, il est nettement différencié par les Tibétains de sa forme normale d’Amitâbha, alors que les Chinois et les Japonais confondent les deux formes sauf cependant dans les mandala. Les images le représentent comme un Bouddha paré, richement vêtu et orné, avec les cheveux tombant sur les épaules ou noués en chignon. Il tient dans ses mains en Dhyâna-mudrâ le vase à ambroisie qui contient la drogue de vie éternelle parfois symbolisée sur les images tibétaines par des chapelets de pilules ou une branche d’arbre Ashoka. Il n’est jamais représenté sous cette forme en embrassement Yab-yum car il ne possède pas de Shakti. En Chine, où il est appelé Omituo Fo, il fut assimilé par les taoïstes à une divinité de longue vie dont ils recherchaient depuis longtemps l’élixir. Il conquit donc d’emblée la faveur des foules, et l’importance grandissante de son culte provoqua maintes controverses entre les tenants du confucianisme et les bouddhistes. Il est représenté comme les Bouddha de l’Inde et du Sud-Est asiatique, ou bien debout, avec les bras très longs. Dans ce dernier cas, on le nomme Jieyin Fo le Bouddha qui guide au paradis. Les neuf sortes d’accueil Raigô d’Amitâbha en son paradis Au Japon, Amitâbha Amida est très souvent représenté en peinture en Raigô, c’est-à-dire en position d’accueil du fidèle dans sa Terre pure de l’Ouest, entouré de vingt ou vingt-cinq Bodhisattva, d’êtres célestes musiciens et autres. Amida est alors, suivant les cas, assis ou debout. La description de ce paradis d’Amitâbha, la Sukhâvatî, située à l’ouest, diffère selon les sûtra et les auteurs. Selon le Saddbarmapundarîka-sûtra, les femmes ne sont pas admises dans ce paradis mais peuvent, grâce à leurs mérites, y renaître sous la forme masculine. Dans d’autres Ecritures, le sexe des invités » au paradis d’Amitâbha n’est pas mentionné du tout. Et, selon le 35 vœu de ce Bouddha, toutes les femmes qui croient en lui doivent renaître dans son Paradis… Selon le texte japonais du Kan Muryôju-kyô, il existe trois classes d’accueil comportant chacune trois degrés correspondant aux qualités du fidèle reçu dans le Jôdo Terre pure par Amida assisté de Kannon Avalokiteshvara et Seishi Bosatsu Mahâsthâmaprapta; à chacune de ces classes et de ces degrés correspondrait une mudrâ jap. bon, in caractéristique du fidèle impétrant La première classe, la plus haute Jôbon , est celle dite de la contemplation des Bodhisattva. Elle est réservée aux fidèles qui ont en perfection les trois pensées de sincérité, de foi et du ferme désir de renaître dans la Terre pure. Ils sont accueillis sur un trône de diamant. La deuxième classe, moyenne Chûbon, est celle dite de la contemplation des auditeurs Sbrâvaka’, jap. Shômon. Elle est réservée à ceux des fidèles qui, ayant suivi d’autres voies de salut que la dévotion unique en Amida, n’en ont pas moins eu le désir de renaître dans le Jôdo. Ces fidèles y seront accueillis sur des fleurs de lotus plus ou moins épanouies selon leur pureté. La troisième classe, inférieure Gebon, est celle dite de la contemplation des laïcs. Elle est réservée à tous les autres hommes, même à ceux dont les fautes furent grandes, mais qui ont cependant été instruits de la Doctrine et ont prononcé, ne serait-ce qu’une seule fois, l’invocation au nom d’Amida Nembutsu au moment de leur mort. Les trois degrés de chaque classe correspondent à la maturité et au degré de perfection atteint par les fidèles appartenant à chaque classe. À chacun de ces degrés correspond une mudrâ particulière. Il existe ainsi neuf degrés de perfection entre lesquels sont répartis tous les fidèles ; chacun d’eux reçoit donc, dans le paradis d’Amida, un accueil correspondant à son état spirituel, état qui est signalé par la mudrâ que réalise Amida au moment où il le reçoit en sa Terre pure Jôbon Jôshô Jô-in, pouce sur index ; Jôbon Chûshô Seppô-in, pouce sur index ; Geshô Raigô-in, pouce sur index ; Chûbon Jôshô Jô-in, pouce sur majeur ; Chûbon Chûshô Seppô-in, pouce sur majeur ; Chûbon Geshô Raigô-in, pouce sur majeur ; Gebon Jôshô Jô-in, pouce sur annulaire ; Gebon Chûshô Seppô-in, pouce sur annulaire ; Gebon Geshô Raigô-in, pouce sur annulaire. Les positions les plus représentées sont les trois premières, les autres, peut-être à cause de destructions accidentelles, étant beaucoup plus rares. Il est également probable que les artistes eurent à cœur lorsqu’il ne s’agissait pas d’ensembles pour l’enseignement mais de peintures exemplaires de montrer comment les fidèles les plus méritants étaient accueillis dans la Terre pure, ce qui leur permettait de réaliser une image du paradis plus frappante et surtout plus représentative aux yeux du peuple et sûrement à leurs propres yeux; ce serait une des raisons et à notre sentiment non la moindre qui font que les images montrant le Raigô d’Amida dans la première classe sont beaucoup plus nombreuses. On a beaucoup épilogué sur la signification exacte de ces classes et de ces mudrâ d’accueil et l’on a parfois émis l’opinion qu’elles ne concernaient pas uniquement les fidèles d’Amida, mais également tous les hommes première classe, les fidèles d’Amida étant reçus au premier degré, les Prêta jap. Gakki ou êtres fantomatiques affamés errant dans l’attente d’une réincarnation, un peu comme nos âmes du purgatoire chrétien, dans la seconde classe, enfin les animaux dans la dernière… Ces positions de l’accueil d’Amitâbha sont décrites dans le Sukhâ- vâtîvyûha et sont évoquées dans certaines pièces du théâtre N. Certaines furent même représentées en sculpture, notamment dans l’Amida-dô du Jôruri-ji près de Kyôto, et en peinture sur les murs du Hôô-dô du Byôdô-in à Uji datant de 1053. Au Japon, la secte du Jôdo-Shinshû représente généralement Amida debout, avec les mains en Hôben-Hôshin des moyens du Dhar- makâya, la droite levée paume en avant, index et pouce se touchant, la gauche étendue vers le bas faisant la même mudrâ, qui signifierait l’accueil d’Amida en son paradis de la Terre pure. En peinture surtout, les Raigô d’Amida sont représentés au Japon à partir du X siècle et semblent inspirés des peintures murales chinoises de l’époque des Tang. Sur ces images, Amitâbha est toujours accompagné de vingt ou vingt-cinq Bodhisattva, parmi lesquels les deux acolytes d’Amitâbha, Avalokiteshvara et Mahâsthâmaprapta. Amitâbha est aussi parfois montré accompagné de ses douze corps de lumière, appelés en japonais Busshin et Kôbutsu. A ces divers Bodhisattva et émanations se joignent de nombreux musiciens ainsi que divers êtres célestes, sortes d’anges Apsarâs ; jap. Tennin ; chin. Tiannü, ae gardiens de l’espace Lokapâla, parfois aussi d’Arhat et d’oiseaux chanteurs, Gandharva et Kimnara. Sur la même image, on trouve aussi quelquefois une représentation des six destinées de la transmigration Gati ; jap. Rokudô selon la Loi bouddhique du Samsâra cycle des renaissances. Ces acolytes d’Amitâbha se trouvent soit debout, soit assis ou agenouillés sur des nuages et des fleurs de lotus. On distingue trois types de peintures de Raigô jap. Raigô-zu Dans le plus ancien appelé Muka-e no Mandara au Japon, Amitâbha et son cortège de Bodhisattva sont assis, de face, et leur groupe est dans le lointain, au-dessus d’un paysage. Ceux que l’on a coutume d’appeler descente d’Amitâbha » celui-ci est assis ou debout comme ses acolytes. Le groupe ainsi formé est montré de trois quarts face comme s’il se dirigeait vers la terre, symbolisée dans le bas de l’image par un paysage terrestre. Amitâbha en descente rapide ». Ces images, nommées au Japon Haya Raigô-zu Raigô rapide, montrent le groupe dans un mouvement accentué de descente vers la terre » et donne une certaine impression de rapidité. Elles furent surtout exécutées au Japon pendant la période de Kamakura 1185-1333. Enfin il faut citer une forme exceptionnelle de Raigô, particulière au Japon et appelée Amida Jizô Raigô, qui montre Amida accompagné, en plus de ses Bodhisattva habituels, de Kshitigarbha jap. Jizô Bosat-su. Certaines images, comme l’Ofuda de l’Eikandô, furent également réalisées mais elles sont rares et constituent des exceptions. Les groupes d’Amitâbha et de ses acolytes Lorsque Amitâbha est représenté avec seulement deux acolytes, généralement Avalokiteshvara qui personnifie sa compassion envers tous les êtres, et Mahâsthâmaprâpta qui représente sa sagesse et sa force ce dernier peut parfois, exceptionnellement, être remplacé, comme nous venons de le voir, par Kshitigarbha, la triade ainsi formée prend le nom de vénérable triade d’Amitâbha jap. Amida Sanzon. Avalokiteshvara tient alors à la main une fleur de lotus pour accueillir le fidèle dans la Terre pure, tandis que Mahâsthâmaprapta garde les mains jointes en Anjali-mudrâ. Parfois ces deux acolytes ont leurs mains en garde du trésor jap. Hôkyô-in, mais cette position est rare. Dans un cas au moins, ces deux acolytes sont on ignore pourquoi debout sur un seul pied et torse nu. Mais ils sont généralement décrits comme étant debout, ou assis en Padmâsana, ou encore agenouillés, parfois simplement accroupis, un seul genou touchant le montre parfois aussi Amitâbha en compagnie du Bouddha historique, sur le même autel, car Amitâbha est rarement aussi associé au Bouddha historique et à Maitreya cette triade insolite symboliserait, croit-on, les trois âges. Un autre type d’ensemble, appelé au Japon Amida Goson, vénérable groupe de cinq », comprend, en plus dAmida et de ses acolytes, deux Shrâvaka ou auditeurs fidèles de la parole du Bouddha », considérés soit comme des Arhat, soit comme des êtres aspirant simplement à devenir des Bodhisattva. Une tradition japonaise les identifie à Kshitigarbha et au moine indien Nâgârjuna jap. Ryûju Bosatsu. Sur les mandala, il se trouve également diversement entouré sur celui du Vajradhâtu, il se nomme Amitâyus jap. Muryôkô; chin. Wuliang Guangming. Il est représenté avec une couronne sur la tête, les mains en Dhyâna-mudrâ tenant le vase d’Amrita, la robe lui couvrant les deux épaules. Il est de couleur rouge et est assisté de quatre Bodhisattva. Sur les mandala d’Amitâbha tels que Amida Mandara, il est appelé Amitâyur Muryôju; chin. Wuliang Shu et est entouré de huit Bodhisattva debout ou assis sur les huit pétales d’une fleur de lotus dont il occupe le centre. Sur le mandala du Garbhadhâtu, il est entouré de quatre Bodhisattva qui symbolisent ses qualités et ses vertus. Enfin, certains ensembles, appelés au Japon Jittai Amida, des dix corps d’Amitâbha », sont parfois représentés quatre corps » sont représentés de face, les autres de trois quarts. Les acolytes et personnages associés à Amitâbha Les acolytes habituels d’Amitâbha sont, nous venons de le voir, Avalokiteshvara et Mahâsthâmaprâpta. Ces personnages sont décrits en détail à leur place respective dans les chapitres traitant des Bodhisattva, ainsi que le personnage épisodique du Raigô d’Amida, Kshitigarbha. Cependant, il nous a semblé utile de les évoquer ici tout au moins les deux premiers, afin de les mieux situer par rapport à Amitâbha. Avalokiteshvara Il représente la toute-compassion d’Amitâbha envers les êtres qui souffrent. C’est également une hypostase d’Amitâbha, le dispensateur des mérites de la compassion infinie de celui-ci. Mahâsthâmaprapta chin. Daishize ; jap. Dai Seishi C’est Celui qui a obtenu une grande force » et qui représente la forceet la sagesse d’Amitâbha. Il assiste, avec Avalokiteshvara à sa droite, à l’accueil des fidèles dans la Terre pure. Peu représenté en Inde et en Asie du Sud-Est, il figure en compagnie d’Avalokiteshvara dans les grottes de Yüngang en Chine debout, main droite en Vitarka, main gauche en Varada. Ce Bodhisattva est également considéré comme une déification de Maudga- lyâyâna, un des dix grands disciples du Bouddha Gautama. Peu de temples lui ont été consacrés et par conséquent on trouve très rarement ses effigies isolées de celles d’Amitâbha et d’Avalokiteshvara. Mahâsthâmaprapta jap. Seishi Bosatsu, Dai Seishi ; chin. Daishizhe, Dashizi a l’aspect général d’un Bodhisattva. Il est représenté en dehors des Raigô soit assis en Lalitâsana, soit debout ou agenouillé. Il a les mains jointes en Anjali-mudrâ ou en Vitarka-Varada-mudrâ jap. Raigô-in. On le reconnaît principalement à ce qu’il porte un vase précieux sur sa couronne mais ce signe distinctif est fort souvent absent des représentations, peut-être parce que l’on ne sait pas très exactement ce que signifie la présence de ce vase. Il est parfois montré avec un lotus épanoui à la main droite, la gauche étant en une sorte de Varada-mudrâ index allongé, autres doigts repliés ou tenant une fleur de lotus. Cependant, ainsi que nous l’avons signalé plus haut, il peut aussi avoir les mains en garde du trésor » ou tenant une corolle de lotus pour recevoir le fidèle dans la Terre pure d’Amitâbha. Dans les peintures montrant la descente d’Amitâbha », Mahâsthâmaprapta est pratiquement toujours représenté à gauche d’Amitâbha. Enfin, on peut rattacher au culte d’Amitâbha au Japon les œuvres d’art représentant le moine Kûya Shônin, religieux japonais 904-972 que l’on dit être un fils de l’empereur Uda. Ce moine aurait, en 937, prêché le Nembutsu Odori ou invocation chantée et dansée du nom d’Amida, et contribué au développement au Japon de la fête des Défunts Ullambana ; jap. Urabon-e et des danses qui se pratiquent à cette occasion Bon Odori pour invoquer les esprits des morts. Kûya Shônin eut de son temps une grande activité itinérante et fut à l’origine de la construction de nombreux temples amidistes et des estrades de danse. On le représente comme un moine, maigre, le crâne rasé, marchant en s’appuyant sur un long bâton surmonté d’un bois de daim ou de cerf et frappant sur un gong placé sur sa poitrine. De sa bouche jaillissent des effigies représentant Amida, liées entre elle comme le sont les paroles d’un sûtra ce mot signifiant à la fois fil » et texte sacré » elles représenteraient les invocations ou Nembutsu prononcées par lui. Cependant, certaines statues ou peintures le représentent comme un moine errant, sans attribut particulier. Vidéo Les Bouddha de vénération Post Views 5321200 € Statuettes représentant les 3 Bouddhas de la sagesse. Les Bouddhas de la sagesse sont un symbole représenté par trois bouddhas, dont chacun se recouvre une partie du visage avec les mains : le premier bouddha se recouvre les yeux, le deuxième bouddha se recouvre les oreilles, et le troisième bouddha la bouche.
Qu'est-ce que cela signifie d'avoir un bouddha dans la maison ?L' image de Bouddha est devenue un symbole de dépassement ou un rappel d' un défi personnel. C'est sûrement pour cela qu'il a atteint nos foyers . Avoir un Bouddha ne signifie pas adorer une divinité, mais plutôt une façon d'exprimer l'estime et la gratitude à quelqu'un que l'on considère comme un de types de bouddhas existe-t-il ?Selon la tradition Theravada, il y a 29 bouddhas. En observant d'autres branches du bouddhisme, nous pouvons en trouver plus, mais dans ces cas, ce sont des bouddhas spéciaux comme les cinq bouddhas qui ont émergé de l'Adi- Bouddha .Les vingt-neuf bouddhas .nom en sanskritNom Pāḷi28GautamaGotama29maitreyaMetteyyaQue représente chaque bouddha ?Le Bouddha avec ses mains sur ses genoux et ses jambes croisées position du lotus, signifie méditation et sagesse. Le Bouddha avec sa main droite levée et sa main gauche sur sa hanche indique un rejet des choses qui causent la peur, symbolisant la paix. Le bouddha couché représente le paysage jusqu'au signifient les couleurs des bouddhas ?Le jaune, qui rayonnait de sa peau, symbolise la Voie du Milieu qui mène à l'équilibre et à la libération. Le rouge, rayonnant de sa chair, représente la bénédiction des enseignements du Bouddha . Le blanc, qui s'est détaché des os et des dents du Bouddha , symbolise la libération et la pureté de ses enseignements ; la pureté du sont les bouddhas les plus importants ?Les bouddhas géants les plus impressionnants du monde à ne pas manquerLe Grand Bouddha de géants de Bouddha Géant de Temple du Bouddha Couché .Gal que le bouddha de protection ?Vipashyin, le premier bouddha , qui a atteint l'illumination sous un arbre patali, est représenté en train de faire ce geste. Le geste de protection ou pas de peur ; la main droite reste droite et les doigts levés. Associé à la bienveillance du bouddha Shakyamuni , qui a apprivoisé un éléphant sauvage par ce signification ont les trois bouddhas ?On dit que la signification des trois singes sages vient d'un proverbe dans les écritures de Confucius, qui dit "ne vois pas de mal, n'entends pas de mal et ne dis pas de mal".Où placer Bouddha chez soi ?De nombreux consultants en feng shui recommandent de placer le Bouddha devant la porte d'entrée d'une maison sur une table d'environ 30 pouces de haut. Cet emplacement permet au Bouddha d' interagir avec l'énergie chi entrant dans votre que le Bouddha rieur ?Le Bouddha rieur représenté dans la statue du Bouddha rieur utilisé dans les accessoires feng shui n'est pas réellement Bouddha . Ce joyeux moine au gros ventre est un symbole de chance et de fortune et est utilisé comme symbole de bon augure dans le feng est l'ordre des 3 bouddhas ?Les trois Bouddhas sages sourd, aveugle et muet ; adorable bouddha design , souriant en résine noire effet placer un autel chez soi selon le Feng Shui ?Le meilleur emplacement et orientationSa place doit être plus haute que le niveau du sol, par exemple sur une étagère ou sur une table. Selon le Vastu Shastra, la zone la plus propice de la maison est la partie nord-est. Les yogis disent qu'il existe certains courants magnétiques qui circulent d'est en signifie le Bouddha avec les mains jointes ?Ce mudra de flamme Karana, lorsque le Bouddha est assis ou debout avec sa main jointe par l'index et l'auriculaire pointant vers le haut, et les autres doigts repliés dans la paume, signifie protection contre les énergies mauvaises et s'appelle le bouddha de l'abondance ?Pour le feng shui, Hotei représente l' abondance , la longévité et la richesse, étroitement liées à l'amour des enfants, ainsi qu'aux pauvres et sans est le meilleur endroit pour mettre un autel à la maison ?Il n'est pas recommandé de placer l' autel à l'entrée de la maison , ni dans les salles de bain, la cuisine ou les couloirs. Ce doit être un lieu où se trouve notre espace, où il est à l'écart des visiteurs et où nous pouvons exprimer librement notre essence est le meilleur endroit dans la maison pour mettre un autel ?Certaines communes placent l'offrande dans une pièce de la maison , là où les deux niveaux importants, voire un troisième , peuvent être le mieux représentés. L'offrande doit avoir la représentation du ciel, de la terre et, dans certains cas, du purgatoire, 1er, 2e et 3e niveau placer un autel chez soi ?Cherchez un espace dans votre maison face à l'EST, si possible. J'ai choisi la surface table, tiroir, bibliothèque, etc.. Idéalement, les objets ne devraient pas être placés directement sur le sol car nous transformerons ce coin en un espace sacré et nous voulons lui donner de la valeur et de l' faire un autel dans la maison ?Que mettre sur un autel ? qui représentent un guide récipient avec de l' encens ou un met-on sur un autel catholique ?Dans la religion chrétienne, par exemple, il est généralement composé d'une table où le prêtre prie, en plus d'une série d'éléments symboliques comme, par exemple, une croix latine avec ou sans la figure de Jésus-Christ ou un bougie, qui représentait le début et la fin avec les lettres alpha et plante mettre sur un autel ?MEXICO. – La fleur de cempasuchil n'est pas la seule à orner les offrandes du Jour des Morts, mais aussi le nuage, le velours, l'œillet et le chrysanthème. La tradition est de créer des chemins avec ces fleurs jusqu'à l' autel , afin de guider les âmes vers les que l'autel ?Dans le domaine de l'architecture, l' autel représente le sacrifice symbolique du Christ, à la fois pierre expiatoire, tumulus et table eucharistique. Élevez aux autels , la déclaration que fait le pape au sujet de la béatification d'un saint et autorise son culte dans l'Église qu'un autel personnel ?L' autel personnel , dans ce cas, est le lieu sacré où nous pouvons nous sentir en sécurité, où nous pouvons développer une connexion avec notre conscience et notre intuition les plus élevées, le lieu qui abrite notre pratique de mots 1424Amulettereprésentant un bouddha se cachant les yeux. Selon la tradition Thaï, c'est une excellente protection contre les accidents et les mauvaises énergies ambiantes en vous rendant quasi "invisible" face aux menaces. Elle augmente aussi considérablement la chance et les opportunités dans votre vie. Témoignage d'une cliente : " Les sculptures des "Trois Singes Sages" ont des significations différentes selon la partie du monde dans laquelle vous vous trouvez. La sculpture des trois singes la plus célèbre se trouve à Nikko au Japon. Il s'agit également de la pièce la plus ancienne en ce qui concerne la date exacte 1636 après Pendant la période japonaise Moromachi, ce symbole unique de ne pas entendre, ne pas voir et ne pas parler, est devenu partie intégrante d'une religion populaire japonaise appelée Koshin. Les "Trois Singes de la sagesse" aussi appelés les "Trois Singes Mystiques" sont donc une ancienne icône sacrée japonaise dont la signification originale n’est pas totalement connue. Connaître la vérité de la directive séculaire du symbole "Ne voyez pas le mal, n'entendez pas le mal, ne parlez pas du mal" peut vous donner un pouvoir que vous n'auriez jamais cru possible et changer votre vie pour toujours. Dans cet article, nous discutons la signification ancienne du symbole et l’appliquons à la vie sociétale actuelle. La légende de ces singes si particuliers L’origine de ces singes mystiques provient des très anciens écrits du célèbre philosophe chinois Confucius. Dans cet écrit, il travaillait sur une réflexion importante basée sur le rapport au mal et de quelle manière se comporter afin de l’éviter, l’objectif était d’en tirer une façon de se comporter qui permettrait à l’être humain d’être en harmonie avec lui-même mais aussi avec les autres. De ce livre est ainsi né la fameuse maxime Ne voit pas le mal, n’entend pas le mal et ne fait pas le mal ». Ces écrits ont ensuite donné lieu à la naissance de nombreux mythes dont celui des trois singes de la sagesse. Ce mythe se base sur le fait que au sein de chaque personne se trouverait trois parts néfastes et celles-ci sortiraient à intervalles de temps réguliers de notre corps afin de raconter nos faits négatifs à une divinité asiatique qui pourrait en fonction décider de nous punir ou non. Ce mythe est devenu l’une des bases fondatrice de la religion japonaise du culte Koshin. La symbolique de ces singes mystiques Si tu penses connaître la signification du symbole des trois singes sages, tu ferais peut-être mieux de réfléchir à nouveau. Le problème est que "fermer les yeux" sur la mauvaise conduite des autres n'est pas la véritable signification spirituelle orientale authentique ou originale du symbole. Il s'agit d'un "substitut" faux et corrompu du sens . Les noms des différents singes sont Mizaru ne voit pas 見猿 Kikazaru n'entend pas 聞か猿 Iwazaru ne parle pas 言わ猿 Le mot japonais pour singe est "saru", qui ressemble beaucoup au verbe "zaru", qui ne signifie pas». En outre, "saru" signifie également "va-t'en", ce qui peut être lié au "mal". Il n'est pas impossible que l'apparition des 3 singes dans la croyance Koshin ait pu provenir d'un jeu de mots. Ensemble, ils incarnent le principe proverbial "Ne vois pas le mal, n'entends pas le mal, ne dis pas le mal". Il est préférable de dire que le rôle des trois singes est celui de messagers. Mizaru ou le singe qui se cache la vue Prenons la première phrase "Ne vois pas le mal". Cela signifie exactement ce qu'elle dit "Ne voyez pas le mal", ou ne regarde rien de mauvais. Ne regarde pas le mal, n'observe pas ou ne regardez pas le mal d'un mauvais œil, n’aies pas envie de voir le mal, ne laisse pas le mal entrer dans ton système, même pas pour un instant. Pourquoi pas ? As-tu déjà bu du vieux lait ? Manger de la viande pourrie ? Quand tu l'avales, tu le digères. Et quand tu le digères, tu en tombes malade. Le corps l'absorbe, et quand il se rend compte qu'il n'est pas bon, il doit le libérer rapidement, d'une manière ou d'une autre. C'est la même chose avec le mal. Quand nous voyons le mal, nous le digérons, et quand nous le digérons, le mal devient une partie de nous. Nous devons alors le libérer d'une manière ou d'une autre, ce qui a souvent un résultat négatif puis que cela consistera, même inconsciemment, à propager le mal. Pour beaucoup, l'idée que "voir" le mal qui équivaut à "digérer" le mal peut sembler absurde. Mais il y a un principe puissant et profond à l'œuvre ici. Quand nous "voyons le mal", nous l'intériorisons. Et lorsque nous internalisons le mal, il devient une partie de nous, ce qui signifie qu'à terme, le mal doit trouver sa voie. S'il ne sort pas, le mal fait des ravages dans notre corps et notre esprit. Ainsi, l'ancienne directive "Ne pas voir le mal" est une sage maxime qui cherche à nous protéger du mal en nous avertissant de ne pas le "voir" en premier lieu. Kikazaru ou le singe qui se bouche les oreilles La phrase suivante, "N'entendez pas le mal", repose sur le même principe. Lorsque nous entendons le mal, il devient une partie de nous. Notre corps l'absorbe comme une éponge. Encore une fois, c'est comme si nous ingérions de la nourriture avariée, le corps ne peut pas la retenir et elle doit sortir. Iwazaru ou le singe qui ne parle pas "Ne dites pas le mal" est un peu différent. La vue et l'ouïe sont deux de nos cinq sens avec le toucher, le goût et l'odorat. Mais parler n'est pas un sens. Voir et entendre impliquent tous deux de prendre quelque chose dans notre corps, tandis que parler implique de pousser quelque chose. Interprétation de la spiritualité des singes L’idée ici est forte ! Elle est basée sur l’idée que l’être humain est un humain à négativité. Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que lorsque l’on discute d’une possibilité, dans la majorité des cas la première réflexion à propos de celle-ci sera les potentialités négatives, c’est inconscient. Peut-être as-tu déjà été confronté à cette expérience dans laquelle on dit de ne surtout pas penser à un clown rouge avec des cheveux violets. Qu’est ce qui se passe à ce moment précis ? Eh bien tu penses à un clown rouge avec des cheveux violets, c’est pareil pour le mal. Si tu n’entends que du mal à longueur de journée, ton cerveau sera embrumé par ce dernier et le résultat n’en sera que négatif. Ainsi le simple fait que de tourner ses phrases qui devraient être négatives à première vue en quelque chose de plus positive transformera ton mode de vie ! Lorsqu’il fait un temps maussade, plutôt que de dire à ton ami le temps est vraiment mauvais » dis le temps pourrait être meilleur aujourd’hui » et tu verras que le simple fait d’inonder vos paroles et pensées de mots positifs améliorera votre quotidien. On retrouve des idées similaires dans d'autres religions et systèmes spirituels lointains. Un exemple est le "Noble Octuple Sentier" du bouddhisme, qui est la ligne directrice pratique du Bouddha pour le développement éthique et mental dans le but de libérer l'individu de la souffrance, des attachements et des illusions ; et qui conduit finalement à la compréhension de la vérité sur toutes choses La bonne compréhension Le bon effort Les bonnes pensées De bons discours La bonne action La bonne conscience La bonne concentration Le bon mode de vie Cette philosophie est admirablement simple et pure - tourner le dos à la négativité destructrice, se garder des images et des impressions qui ne sont pas constructives pour sa croissance spirituelle. Cette philosophie, qui a été adoptée par Gandhi comme une vérité universelle, compare l'esprit à un drap blanc, qui ne conserve sa couleur pure que lorsqu'il est associé à d'autres personnes qui poursuivent les mêmes idéaux spirituels et refusent d'exposer leur esprit et celui des autres à "l'ordre inférieur des choses". Les interprétations annexes de la philosophie des singes mystiques On retrouve parfois d’autres interprétations que celle évoquée précédemment. Malgré tout, l’idée principale liée à la vision du mal est retrouvée dans l’ensemble des interprétations. Le mal par la jalousie retranscrit par les singes de la sagesse Certaines personnes interprètent le message des singes mystiques comme directement lié à la douleur que peut causer la jalousie. Pour rester dans la même idée que ce que nous disions précédemment, la jalousie serait directement liée au fait de voir, d’entendre et de parler. Par exemple, admettons que l’une de tes connaissances possède quelque chose que tu désires. Eh bien le simple fait de l’écouter t'en parler, de lui en parler ou de voir la chose en question stimulera ta jalousie. Le problème étant que la jalousie peut causer beaucoup de maux d’une part à celui qui la subit mais également aux autres. La finalité ici est de s’affranchir de tous les liens néfastes qui relient nos désirs matériels avec la jalousie. Si ces liens sont brisés alors l’individu pourra se focaliser sur le développement de sa sagesse personnelle et ainsi s’élever plus haut spirituellement. La maîtrise totale de son environnement Cette interprétation là est légèrement plus subtile puisqu’elle consiste à nuancer les termes utilisés dans la maxime des singes mystiques. Il faudrait donc la traiter comme Je ne regarde rien mais je vois tout ; je n’écoute rien mais j’entends tout ; Je ne fais pas j’agis. » La finalité de ce concept là est que nous recherchons directement à nous affranchir de nos émotions afin de pouvoir améliorer grandement la perception et le contrôle de l’environnement. Celui qui y parvient deviendrait alors un individu très sain d’esprit et très réfléchis. Il ne jugerais pas sans savoir, il ne se laissera pas contrôler par ses émotions et pourra alors contrôler ses décisions afin de les prendre avec sagesse sans faire de mal à qui que ce soit ! La place de ces primates très spirituelle dans la société actuelle Le mal qui nous est imposé est bien plus nuisible que nous ne pouvons l'imaginer. Il a un effet plus négatif que nous ne le réalisons. Il crée des nœuds dans notre corps et dans notre esprit. Nous sommes constamment exposés à un mal immense et, parce que nous ne réalisons pas les dégâts qu'il nous cause, nous n'essayons pas consciemment de le libérer. Pire encore, nous participons volontairement à sa consommation, non par choix, mais parce que nous pensons qu'il est normal, étant né et ayant grandi dans la société, de faire partie de ce système. C’est un aspect qui est dingue au vu de l’insertion grandissante des singes de la sagesse de nos jours, tu ne voies pas de quoi il s’agit ? Beaucoup de représentations très contemporaines de ces singes font surface comme celle de ce tableau disponible sur notre boutique par exemple Cette légende est donc intégrée dans l’art contemporaine mais pas que ! Certaines publicités ou même des clips musicaux qui sollicite l’image des singes de la sagesse détournée Tout va bien » de l’artiste Orelsan mais il y a surtout les fameux émojis singes qui sont très utilisés mais malheureusement peu compris par les utilisateurs. Tu commences à voir ce qui cloche ? Le problème est que l’image de cette philosophie est très sollicitée dans le monde actuelle mais n’est que très peu exprimée en contrepartie. Parce qu’elle ne plaît pas ? Non pas du tout simplement parce que son sens n’est que très peu expliqué ce qui est dommage au vu de la culture extraordinaire qu’elle renferme. Voila, tu sais maintenant à peu près tout ce qu’il faut savoir pour comprendre cette vision de la philosophie des singes de la sagesse. Bien qu’il existe d’autres interprétations, celle-ci paraît être la plus répandue ! N’hésites pas à répandre cette culture asiatique très profonde autour de toi pour que plus de monde soit conscient qu’elle existe autrement que sous la forme d’émoji. A très bientôt sur Instinct-Primate ! 🦍 L'image de garde a été réalisé en utilisant la création de commentaires sont approuvés avant leur publication. Sivous préférez les statues de Bouddha Shakyamuni, voici quelques informations qui vous aideront peut-être à choisir la vôtre. Parmi les différentes représentations de Bouddha Shakyamuni, on distingue 2 styles majeurs : le Vous avez probablement déjà entendu parler des trois singes sages de part des histoires, des statues ou encore avec les emojis que l'on utilise pour communiquer. Mais que signifient ces trois petits singes où l'un se couvre les yeux, un autre les oreilles et le dernier la bouche ? À quelle culture appartiennent-ils ? Car dans les pays occidentaux, nous avons l'habitude de les voir à travers des objets de décoration notamment, mais sans jamais parler de leurs véritables significations... 🙈 🙉 🙊 Les singes de la sagesse, que l'on appelle plus communément "les trois petits singes" sont des symboles d'origine Japonaise. L'un se cache les yeux et signifie notamment le fait de "regarder avec sagesse", un second se cache les oreilles pour signifier "d'écouter avec sagesse", le dernier se cache la bouche signifiant de "parler avec sagesse". Que vous soyez totalement novices sur le sujet ou que vous connaissiez d'un peu plus près nos petits singes, soyez les bienvenues sur Statue Family. Produisant nous même des statues à leur effigie, nous nous sommes penchés sur ces figures tout à fait intrigantes. Dans cet article, nous allons voir ensemble L'origine des 3 Singes Sages Les noms que chacun portent La signification de chacun d'entre eux Les significations communes les liant Les interprétations que nous pouvons en tirer Après avoir lu cet article, vous saurez parfaitement ce que représentent nos petits animaux sauvages et pourquoi ils se comportent en se cachant les sens ! Commençons sans plus tarder. Origines des 3 Singes Les "singes sages" sont originaires du Japon où ils sont connus depuis le XVIe siècle. Des statues à leurs images sont placées à des carrefours en l'honneur de Koshin, le Dieu des routes, dont ils sont les serviteurs. Leur slogan est "Mi-zaru, kika-zaru, iwa-zaru" signifiant "Ne pas voir, ne pas entendre, ne pas parler". Avec un jeu de mots, il est utilisé pour enseigner la prudence et la pureté. Il est difficile de dater la première apparition des trois singes. Ils ont été amenés dans le Bouddhisme par un moine au 7e siècle. Selon la légende, ce moine, lors de ses voyages, était escorté par un singe. L'homme s'appelait Xuanzang, il était l'un des plus importants traducteurs de textes bouddhistes en Chine. Il a quitté la Chine pour l'Inde lorsqu'il a réalisé qu'il était temps de chercher d'autres textes bouddhistes à apporter en Chine. 🙏 Néanmoins, ce n'est pas lui qui a inventé les trois singes sages, mais celui qui les a fait connaître. Les premières traces nous mènent aux "Analectes de Confucius" entre le 4ème et le 11ème siècle avant JC. Plusieurs légendes supposent que ces trois singes sont issus de la croyance du japonais Koshin. Elles sont basées sur l'idée que, dans chaque être humain, il y a trois méchants, les Sanshi, qui tous les soixante jours quittent notre corps pour rendre compte de nos péchés à une entité supérieure Ten-Tei. Pourtant, il est difficile de faire la différence entre la légende et la réalité. D'ailleurs, l'une des plus anciennes représentations connues de ces trois singes se trouve sur la façade du Temple Toshogu à Nikko, au Japon. Mirazu, Iwazaru et Kikazaru Les trois singes mystiques comme on les appelle parfois sont appelés les Sanzaru. Ils s'appellent Mizaru, Iwazaru et Kikazaru. 🙈 🙉 🙊 En japonais, "san" signifie trois et "saru" signifie singe. Au fil du temps, "saru" devient "zaru" donnant naissance au sanzaru. Cependant, "zaru" est aussi une forme négative, que l'on pourrait traduire par "ne pas faire". Ainsi, le sens communément admis "ne pas voir, ne pas entendre et ne pas parler" pourrait provenir d'un jeu de mots japonais. Par ailleurs, dans la culture japonaise, le singe est censé éloigner les maux. Si l'on sait maintenant que ces animaux sauvages éloignent les maux de la vie, voyons ensemble ce que signifie chacun des trois de manière distinctive 1 Regarder avec sagesse Le singe se cachant les yeux exprime ou vous encourage à Votre véritable identité Votre avenir Ce que vous pouvez faire La véritable "image" de votre potentiel Des opportunités et non des obstacles Les problèmes en tant que défis Des possibilités d'apprendre tous les jours Garder l'esprit ouvert aux autres Accepter les autres Identifier chaque personne vous soutenant 2 Écouter avec sagesse Le singe se bouchant les oreilles exprime ou vous encourage à Le fait d'écouter les autres La voix de votre vrai "moi" elle est là tout le temps - taisez-vous, restez tranquille - et vous l'entendrez Votre propre voix interne, mais seulement lorsqu'elle contribue à votre succès L'affirmation, les mots de gratitude et preuves de succès - répétez-les à vous-même chaque jour et écoutez-les VRAIMENT Qui écoutez-vous tous les jours ? Assurez-vous que les voix des personnes qui vous entourent vous soutiennent et vous encouragent Un retour d'information positif et apprendre à l'accepter Les mots d'inspiration lorsqu'ils vous sont offerts Les conseils que l'on vous donne 3 Parler avec sagesse Le singe se couvrant la bouche exprime ou vous encourage à Des mots encourageants pour soi-même et pour les autres Citez tous vos succès à la fin de chaque journée Ne partager que les bonnes nouvelles Réfléchir aux conséquences de ce que vous allez vous dire avant de les prononcer Saisir toutes les occasions de dire à quelqu'un que vous l'appréciez Poser des questions qui permettent de progresser Saisir les opportunités en demandant Demander aux gens "comment ils vont" et écoutez, écoutez vraiment Il existe parfois un quatrième Singe Sage. On dit que sa signification est "ne pense pas au mal" ou "ne fais pas le mal". Significations des Singes de la Sagesse Ces trois singes sages sont censés représenter une façon de ne pas se sentir mal. Le bon sens est de ne rien voir, de ne rien entendre et de ne rien dire. Mais est-ce vraiment si simple ? Pour nous, une telle philosophie peut difficilement être réduite à cette seule phrase. À travers ces singes, nous avons une autre approche ne pas voir le mal, ne pas entendre le mal et ne pas dire de mauvaises choses. Cela s'explique par l'idée que, chaque fois que nous voyons quelque chose de mauvais, une partie de ce mal entre dans notre corps. De même, entendre le mal ou en parler fait qu'une partie de nous se transforme en mal. Ces trois petits singes sont donc un appel à refuser le mal dans notre vie. 🙏 Ce point de vue reste discutable... Devrions-nous fermer les yeux sur le mal ? Devrions-nous nous taire lorsque quelqu'un dit des choses "mauvaises" ? Si l'on regarde le passé, de telles pensées ont conduit à des actes horribles... Il est certain qu'ignorer le mal ne le fera pas disparaître. Serait-ce la signification originelle de ces trois singes ? Probablement pas, mais nous nous en rapprochons. Interprétation de ces trois Symboles De plus en plus de personnes donnent une nouvelle explication, chacune un peu plus subtile. Au lieu de ne rien voir ou de ne pas voir le mal, le message pourrait être le suivant "Je vois tout mais je ne regarde rien, j'entends tout mais je n'écoute rien, je ne pense à rien pour devenir tout." En d'autres termes, je serais conscient de tout ce qui se passe autour de moi mais je choisirais de ne pas le laisser m'atteindre. Selon nous, on peut y voir une idée plus simple réfléchir avant de parler. Nous devons apprendre à penser par nous-mêmes, à n'écouter personne et à ne pas toujours faire confiance à nos yeux qui font semblant d'être pleins de vie. Mais chacun doit avoir sa propre interprétation des trois singes sages. Alors, quelle est la vôtre ? 🧐 Pour résumer, il nous faut apprendre à les considérer davantage comme une philosophie de vie que comme de simples émojis ou objets de décoration. Armez-vous également de la Sagesse des Singes Nous venons de voir ensemble l'origine, les significations, les interprétations et même les noms des singes de la sagesse. Vous savez donc maintenant parfaitement ce qu'ils représentent et comment les utiliser dans votre vie pour atteindre à votre tour une paix intérieure ! 👌 Toutes ces valeurs et ce que ces animaux dégagent se doivent d'être mis en avant... Et rien de mieux pour adopter leur philosophie que de les avoir à nos côtés. C'est pourquoi nous vous proposons une collection entièrement consacrée aux statues de singes. Découvrez la en cliquant simplement sur l'image ci-dessous. j5rZby.