Voiciles paroles d'une chanson qui me correspond vraiment fort; ]Le miroir de ChimĂšne Badi. Beaucoup de gens ont difficile Ă  s'accepter tels qu'ils sont je pense; et cela devient encore plus difficile quand on vit au quotidien les troubles alimentaires. C'est mĂȘme sans doute moins une maladie physique que psychologiqueDu moins, en ce qui me
Mon nom est MichaĂ«l Higgburger et je vis ici Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a depuis 16 ans. Avant cela, j’habitais aux Etats-Unis et je m’apprĂȘtais Ă  prononcer des vƓux monastiques dans un ordre bĂ©nĂ©dictin lorsque, juste avant de m’engager dĂ©finitivement, j’ai eu l’opportunitĂ© incroyable de pouvoir voyager pendant deux mois. Je suis venu en Inde en sachant, qu’aprĂšs ce voyage, je ferais vƓux de stabilitĂ©, intĂ©grerais la clĂŽture, et donc, ne pourrais plus sortir de mon ordre bĂ©nĂ©dictin. C’était en 2000. Pendant ma formation bĂ©nĂ©dictine, j’avais lu tous les livres d’Henri le Saux, Svāmi Abhishiktānanda. J’avais entendu parler d’Aruáč‡Ächala montagne sacrĂ©e Ă  Tiruvannamalai dans le Tamil-Nadu, est considĂ©rĂ©e par les fidĂšles comme la manifestation de Úiva et je m’étais dit que, si j’en avais un jour l’opportunitĂ©, c’est lĂ  que j’irais. Lors de la premiĂšre nuit que j’ai passĂ©e ici, j’ai senti quelque chose de trĂšs trĂšs fort qui m’a pris aux tripes ». J’ai perçu l’intensitĂ© de la mĂ©ditation des gens qui Ă©taient autour de moi et j’ai aussitĂŽt pensĂ© qu’il m’allait ĂȘtre trĂšs difficile de repartir aprĂšs les deux mois qui m’étaient accordĂ©s. Dans le monastĂšre c’était trĂšs confortable. J’étais trĂšs bien entourĂ©. Mais, Ă  l’extĂ©rieur du monastĂšre, la vie amĂ©ricaine ne soutenait pas la recherche spirituelle. Avec le recul, je me rends compte que j’étais sans cesse obligĂ© de justifier mon choix de ne pas vouloir entrer dans les valeurs amĂ©ricaines de notre Ă©poque consommer beaucoup, avoir des enfants, devenir trĂšs riche
 Je ne voulais pas de cela. Et mon dĂ©sir de vivre une vie monastique venait en partie de ce refus. MĂȘme, Ă  l’intĂ©rieur de l’Eglise, je devais toujours justifier mon appel Ă  la contemplation parce que, cette partie contemplative et mystique, mĂȘme dans l’Eglise, reste Ă  la lisiĂšre et n’est pas vraiment admise. Ici, c’est incroyable ! Partout, mĂȘme dans les rickshaws, il y a des priĂšres. Tout le monde soutient cette ferveur et vit cette foi. Aussi, quand j’ai mis le pied en Inde, ai-je tout de suite compris que toute cette lutte intĂ©rieure Ă©tait rĂ©solue parce que j’étais arrivĂ© dans un lieu qui soutenait la vie contemplative que je dĂ©sirais et que, mĂȘme dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin d’oĂč je venais, ordre pourtant contemplatif, j’avais du mal Ă  vivre. A la fin de ces deux mois je n’ai pas pu repartir. Mon billet d’avion Ă©tait perdu. J’ai tĂ©lĂ©phonĂ© au monastĂšre qui m’a accordĂ© une extension de quatre mois. Et j’ai achetĂ© un deuxiĂšme billet de retour. Vint le moment de partir. La voix de MichaĂ«l se voile. J’avais mis tout ce que j’avais dans une malle pour les expĂ©dier au monastĂšre et n’avais gardĂ©, pour la derniĂšre nuit, qu’un petit sac pour y mettre mes derniĂšres affaires. Mais, physiquement, je ne pus rien mettre dans le sac. Quelque chose m’en empĂȘchait. C’était la premiĂšre fois de ma vie que cela m’arrivait. Je suis allĂ© Ă  l’ashram de Rāmaáč‡a. J’y ai rencontrĂ© une femme Ă  laquelle j’expliquai que je devais partir le lendemain aux États-Unis mais que je n’arrivais pas Ă  faire mon sac. Elle m’a dit Rentre dans ta chambre, va dormir, et demain tu sauras ». Le lendemain je n’ai pas pu prendre le taxi. Ce fut trĂšs difficile. Mon sĂ©jour ici avait durĂ© six mois et, pendant les deux derniers mois j’ai vĂ©cu une intense lutte intĂ©rieure. D’une part, j’avais un engagement de vie monastique dans l’ordre bĂ©nĂ©dictin, un milieu chrĂ©tien, et, d’autre part, en rĂ©sidant ici, dans l’ashram, dans un milieu hindou, j’avais une grande ouverture. Ce fut, en moi, une lutte vraiment trĂšs intense et ce jour oĂč je n’ai pas pu prendre le taxi fut trĂšs dur Ă  gĂ©rer. J’ai cru que je devenais fou ! Ensuite ce ne fut pas facile non plus. Si, aujourd’hui, j’ai un lien trĂšs fort avec ma communautĂ© bĂ©nĂ©dictine qui m’a beaucoup soutenu – j’y suis retournĂ© derniĂšrement – au dĂ©but, j’avais coupĂ© tout lien avec elle. Je ne faisais plus partie de cet ordre. Quand je considĂšre ma vie dans les faits, ma vocation contemplative catholique est devenue une vie d’ashram hindou en Inde. Mais ce n’est pas une transformation, c’est plutĂŽt un dialogue. Un dialogue entre le monde chrĂ©tien occidental et le monde hindou indien. Et je me sens toujours catholique. Q ? A quel ordre Ă©tiez-vous rattachĂ© ? A l’ordre des Camaldules, qui est une branche rĂ©formĂ©e des bĂ©nĂ©dictins. Q ? Comme le PĂšre John Martin ? Oui, l’ashram de Shantivanam est rattachĂ© Ă  cet ordre depuis 1984. John Martin est aussi Camaldule. Si, au bout de 16 ans, je fais le bilan de cette lutte intĂ©rieure entre l’éducation reçue et mes choix de vie, un peu comme Henri le Saux qui, lui aussi, est passĂ© par ces grandes luttes, je touche peut-ĂȘtre la question de ce siĂšcle. Il est possible que l’Eglise ait perdu le feu mystique et que l’on cherche Ă  le raviver. C’est ce qu’a fait Henri le Saux en venant ici. Il a ravivĂ© le feu mystique de l’Eglise, peut-ĂȘtre pour le ramener au cƓur de l’Eglise mais aussi pour aider d’autres chercheurs qui sentaient Ă©galement ce feu perdu. Je ne peux pas blĂąmer l’Eglise parce que nous sommes tous l’Eglise mais nous assistons peut-ĂȘtre Ă  la mort de notre civilisation. C’est sans doute effrayant, mais, en mĂȘme temps, quelque chose d’extrĂȘmement prometteur surgit. J’en suis tĂ©moin chaque jour en rencontrant tous les chercheurs qui viennent ici. C’est, probablement, ce que nous cherchons tous ici. La foi de nos parents, de nos grands-parents, consistait Ă  demander Ă  JĂ©sus son aide, son assistance. C’est la foi du credo que l’on proclame tous les dimanches Ă  la messe. On pourrait dire, ici en Inde, que c’est la voie de l’abandon. On s’abandonne Ă  cette volontĂ© divine, on demande de l’aide pour ĂȘtre guidĂ© dans notre quotidien. Mais je ne pense pas que la prochaine gĂ©nĂ©ration soit appelĂ©e Ă  la mĂȘme foi. Ce n’est plus la mĂȘme chose. Ce qui se dessine n’est pas trĂšs clair mais, il est sĂ»r que nous passons Ă  autre chose car notre foi ne peut plus ĂȘtre la mĂȘme aujourd’hui. Nous sommes de plus en plus ouverts sur le monde. Nous recevons aujourd’hui toute l’information disponible sur les autres traditions, sur les dĂ©couvertes scientifiques
 La foi post-Vatican II n’a plus rien Ă  voir, de prĂšs ou de loin, avec ce qui se passait il y a 150 ans en arriĂšre. De la foi proclamĂ©e Ă  la recherche d’expĂ©rience directe D’une relation au credo oĂč nous affirmions notre foi d’une maniĂšre formelle et structurĂ©e, nous passons maintenant Ă  une recherche d’expĂ©rience directe. Je ne sais pas trĂšs bien ce qui se dessine mais il y a un changement. A l’intĂ©rieur mĂȘme des ordres contemplatifs oĂč l’accent est mis sur la rĂ©citation du credo et oĂč on doit faire sienne cette foi qui se proclame, il semble maintenant que proclamer une foi qui n’est pas expĂ©rimentĂ©e ne satisfasse plus complĂštement. Jusqu’à prĂ©sent, les ordres contemplatifs se rĂ©fĂ©raient Ă  l’évangile dans lequel apparaissent Marthe et Marie. L’exemple de Marie, qui choisit la contemplation, permettait de justifier un mode de vie tout Ă  fait valide la vie contemplative. Mais, aujourd’hui, dans notre vie, il y a certainement un peu de Marthe et de Marie et cela est nouveau. Cependant les laĂŻcs ne sont pas guidĂ©s dans une voie intĂ©rieure, une voie contemplative. Dans la tradition monastique japonaise il existe deux voies la voie Jiriki, voie contemplative dans laquelle on cherche l’expĂ©rience en soi-mĂȘme et la voie Tiriki dans laquelle on demande au Bouddha de prendre en charge sa vie. Les pratiquants rĂ©citent alors tous les noms du Bouddha. Dans notre tradition occidentale, il existe aussi une partie faite de rĂ©citations, de sacrements, du credo, et une partie qui, jusqu’à prĂ©sent rĂ©servĂ©e aux contemplatifs, consistait en recherche intĂ©rieure, en priĂšres intĂ©rieures. Il semble maintenant que, pour plusieurs raisons, ces deux aspects se rencontrent et que nous assistons Ă  l’émergence d’un nouveau paradigme. La vie de foi que nous expĂ©rimentons aujourd’hui est bien diffĂ©rente de celle des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes. Je ne vais pas rentrer dans toutes les raisons de ce changement mais l’une d’elles me semble particuliĂšrement importante. Peut-ĂȘtre mĂȘme est-ce la principale. Le sol sur lequel la foi reposait est devenue mouvant et instable. Nous ne vivons plus dans le monde ancien. Nous vivons un temps nouveau dans lequel apparaissent des personnes en recherche spirituelle et qui, d’une façon trĂšs diffĂ©rente de celle d’avant, se mettent en quĂȘte intĂ©rieure du bonheur. Moi-mĂȘme me suis posĂ© longtemps la question de savoir pourquoi j’ai fait ce grand saut de l’Occident jusqu’en Inde. Ici, je vois passer des milliers de chercheurs qui viennent chaque annĂ©e et je constate que quelque chose Ă©merge. L’étĂ© dernier, je suis retournĂ© aux États-Unis aprĂšs une trĂšs longue absence. J’ai Ă©tĂ© extrĂȘmement Ă©tonnĂ© du sĂ©rieux de la recherche des personnes que j’ai rencontrĂ©es. C’était tout Ă  fait nouveau pour moi. Mais cette recherche ne se fait plus d’une maniĂšre traditionnelle. La blessure du cƓur On pourrait passer des jours Ă  essayer de rĂ©pondre Ă  cette grande question Qu’est-t-il en train d’arriver ? Que se passe-t-il ? NĂ©anmoins, je suis sĂ»r que ce qui se vit en Occident, que ce soit dans la culture amĂ©ricaine 3 ou europĂ©enne, ne peut pas s’appliquer Ă  ce qui est ressenti ou vĂ©cu ici dans la culture de l’Orient. En Occident il y a vĂ©ritablement un basculement dans notre mode de recherche, mais ce basculement ne s’applique pas ici. Ici rien n’a vraiment changĂ©. Dans le monde occidental ce basculement est dĂ» Ă  une sorte de blessure psychique collective qui conduit Ă  vouloir panser cette blessure et trouver des modes de guĂ©rison. Cela passe souvent par les psychothĂ©rapies. Et ces psychothĂ©rapies sont complĂ©mentaires Ă  cette recherche intĂ©rieure que je vois Ă©merger. Cette blessure, presque universelle en Occident, je l’appelle la blessure du cƓur ». C’est une blessure centrale, profonde qui pourrait ĂȘtre liĂ©e Ă  la perte de notre innocence. Et nous cherchons comment tenter de la rĂ©parer, comment tenter de la retrouver. Je vais dĂ©velopper. En 1982, un grand Ă©vĂ©nement eut lieu. Autour du DalaĂŻ-Lama, des moines de mon propre clergĂ© mais aussi des moines bouddhistes d’Occident se sont rĂ©unis pour rĂ©flĂ©chir Ă  cette blessure, Ă  ce qui se passait en Occident. Ils ont dĂ©couvert, qu’en Occident, les gens avaient une trĂšs mauvaise estime d’eux-mĂȘmes. Lors de ce grand rassemblement, quelque chose a Ă©mergĂ© qui a beaucoup Ă©tonnĂ© le DalaĂŻLama et les moines prĂ©sents. QuestionnĂ©s un par un, tous ceux qui venaient d’Occident, sans exception, portaient cette blessure, ce manque d’estime de soi. Ils ne savaient pas trop quoi en faire mais c’était apparu ainsi. Je pense que c’est probablement une blessure universelle. Cependant, ici, dans la culture d’Asie et en Inde, elle ne domine pas. Ici, en Inde, il est possible de vivre avec des personnes qui ne portent pas cette blessure. Cette blessure que nous, occidentaux, portons, provient de notre culture, de notre tradition religieuse et de notre hĂ©ritage. Cela met en lumiĂšre ce contraste entre Orient et Occident. Je me suis rendu compte que toute ma recherche intĂ©rieure Ă©tait fondĂ©e sur le dĂ©sir de m’amĂ©liorer, sur mon dĂ©veloppement personnel. C’est trĂšs courant en Occident et il existe des bibliothĂšques entiĂšres sur ce sujet qui expliquent comment devenir plus performant etc. C’est trĂšs juste et ça a tout son sens en Occident mais, du point de vue de Dieu, du point de vue de l’amour, c’est une Ă©norme violence que l’on se fait et c’est une mauvaise voie. C’est une belle idĂ©e en soi mais qui contient une erreur fondamentale. Dans les grandes traditions, tous les grands mystiques le disent le cƓur mĂȘme de notre personne, ce qui, en outre, est trĂšs vulnĂ©rable, c’est Dieu. Et on ne peut pas vouloir s’amĂ©liorer ou se rendre plus acceptable pour mĂ©riter l’amour de Dieu. C’est une terrible violence et c’est une impasse. On n’en a pas conscience. Si nous considĂ©rons nos motivations, les intentions qui sont derriĂšre nos actions, ce dĂ©sir de je veux m’amĂ©liorer », je veux ĂȘtre meilleur » ce que je dis n’est pas une critique, ce dĂ©sir devient le terreau de notre recherche. Or ce n’est pas le message divin. Ce n’est pas ce que nous sommes. Parce qu’à partir de lĂ , notre recherche se fonde sur il nous manque quelque chose » et nous pensons que nous ne sommes pas complets. MĂȘme chez les mystiques, il y a ce fond je ne suis pas digne de recevoir Dieu, je ne suis pas complet ». C’est le nƓud de l’affaire, c’est le piĂšge dans lequel on tombe. Il est difficile de dire d’oĂč cela vient. C’est probablement une surenchĂšre portĂ©e sur le pĂ©chĂ© originel, mĂȘme chez ceux qui ne sont pas croyants. Nous portons tous le poids de ce pĂ©chĂ© originel et de tout ce qui en dĂ©coule dans nos cellules mĂȘmes. Dans le canon pāli est une langue indo-europĂ©enne utilisĂ©e encore aujourd’hui comme langue liturgique dans le bouddhisme theravada, le bouddhisme originel ancien, il y a un terme qui est bhāvatāna. Tāna signifie la soif, dĂ©sir ardent. Dans la tradition du bouddhisme Theravada l’origine du problĂšme, notre sensation d’insuffisance, a Ă©tĂ© pointĂ©e. En Occident, nous avons un dĂ©sir ardent de devenir, d’ĂȘtre autre chose que ce nous sommes. Et si, dans notre quotidien, dans nos actes, dans tout ce que nous entreprenons, nous tentons de saisir la motivation, nous nous apercevons que, bien souvent, cette motivation de lire, d’aller sur Internet, de participer Ă  des stages, de faire des recherches etc
 puise son origine dans notre sensation d’ĂȘtre insuffisant. Nous ne sommes jamais assez » quelqu’un et nous voulons toujours devenir davantage. Nous pouvons donc tenter de repĂ©rer d’oĂč vient cette ardeur Ă  nous transformer, Ă  devenir quelqu’un d’autre
 Pourtant toutes les traditions spirituelles nous parlent de notre complĂ©tude originelle. HĂ©las, nous faisons comme si nous n’avions pas entendu. Toutes les traditions enseignent que nous ne devons pas devenir autre et tant que nous pensons que nous pouvons accroĂźtre ce que nous sommes en acquĂ©rant de l’expĂ©rience, en multipliant les connaissances, les expĂ©riences, en allant voir toujours plus de maĂźtres, en lisant plus de livres, nous sommes dans l’erreur. C’est exactement le contraire qu’il faut faire et toutes les voies contemplatives en parlent. Dans la tradition chrĂ©tienne il s’agit de la voie apophatique4 , la voie nĂ©gative. Il ne s’agit pas de passer de ce que vous ĂȘtes Ă  quelque chose d’autre, c’est tout le contraire revenir Ă  soi, enlever les couches de tout ce qu’on a accumulĂ© et dĂ©couvrir que le royaume c’est soi-mĂȘme, c’est vous-mĂȘme. Et ce vous-mĂȘme c’est votre innocence. Vous n’ĂȘtes pas le lutteur qui cherche Ă  devenir. Pour revenir au dĂ©but cette conversation oĂč nous nous demandions pourquoi le fait de simplement rĂ©citer le credo ne suffit plus et ne fonctionne plus, c’est parce que nous avons perdu cette connexion au Soi. C’est une perte collective. La mauvaise nouvelle, c’est que nous avons pu prendre une mauvaise voie mais, la bonne nouvelle, c’est que ce que nous cherchons, nous le sommes dĂ©jĂ . Nous le portons en nous. Bouddha disait que deux choses importantes Ă©taient requises pour une quĂȘte spirituelle d’abord commencer la quĂȘte, se mettre en chemin, puis continuer. Alors, quand nous nous apercevons que la direction suivie est mauvaise, il nous faut simplement tenter autre chose. Ce dont nous parlons en ce moment ne met nullement en avant la religion hindoue ou bouddhiste. C’est aussi ce qui se passe dans notre tradition chrĂ©tienne. L’évangile nous appelle Ă  l’amour et l’Amour ultime est bloquĂ© si nous ne sommes pas capables de nous aimer nous-mĂȘmes. JĂ©sus a vĂ©cu la mĂȘme chose sur la croix, les quatre membres immobilisĂ©s, clouĂ©s. Sa crucifixion symbolise l’échec de nos possibilitĂ©s humaines, de notre mental qui possĂšde savoirs et connaissances qui ne nous servent Ă  rien. Le PĂšre semble avoir disparu. Mais quand JĂ©sus clame Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnĂ© », le miracle se produit. C’est une rĂ©volution qui s’opĂšre Ă  ce moment-lĂ . C’est l’apparition d’un nouveau paradigme. LĂ , sur la croix, cet homme qui n’a plus rien ne supplie pas son pĂšre de le sauver. Il va dire pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». A cet instant, la transformation est totale. JĂ©sus est lĂ , au cƓur de sa vulnĂ©rabilitĂ©, au cƓur de sa brisure, de sa blessure. Nous pouvons comprendre que le plus grand obstacle qui nous empĂȘche de trouver Dieu, c’est de vouloir cacher cette blessure au monde, de se la cacher Ă  soi-mĂȘme. Mais sachons que c’est au cƓur-mĂȘme de cette blessure, de cette brisure, que nous trouvons Dieu. Cette scĂšne de la croix est une rĂ©volution. Le Dieu qu’on invoquait chez des HĂ©breux en accomplissant des sacrifices n’a plus lieu d’ĂȘtre. DĂ©sormais cela passe par le cƓur brisĂ© car c’est le cƓur brisĂ©, blessĂ©, qui est la source de l’amour. Mais il faut qu’il y ait cette ouverture, cette reconnaissance de la blessure. Or, souvent, nous protĂ©geons notre blessure, nous l’enfermons entre des murs, en vain. Ces tentatives deviennent des obstacles. Nous pensons que ces murs nous protĂšgent de la souffrance. En rĂ©alitĂ©, ils nous Ă©loignent de l’amour, ils nous sĂ©parent de l’Amour que nous sommes et qui est Dieu. Avant sa crucifixion, pendant sa nuit d’agonie, JĂ©sus lutte et prie pour ne pas passer par l’épreuve mais, finalement, il accepte Que volontĂ© ta volontĂ© soit faite ». Alors, lorsqu’il est sur la croix, l’amour jaillit. Au lieu de blĂąmer, de maudire, ce qu’il aurait trĂšs bien pu faire, c’est l’amour qui jaillit. Il devient Amour. Dans la tradition juive de l’époque de JĂ©sus, il n’y avait aucune notion d’incarnation, aucune pensĂ©e que Dieu puisse s’incarner sous une forme humaine. Aussi sommes-nous ici au cƓur du nouveau paradigme chrĂ©tien, JĂ©sus ne dit pas adorezmoi » mais suivez-moi ». Mais nous n’avons pas entendu et sommes restĂ©s dans cet ancien fonctionnement d’adoration. Nous mettons JĂ©sus trĂšs haut sur la croix, inatteignable. Nous nous reprĂ©sentons trĂšs en deçà, pauvres pĂȘcheurs » et, faisant cela, il nous est impossible de le suivre et, continuellement, nous trahissons la demande du Christ, son commandement qui ne dit pas adorez-moi » mais suivez-moi ». C’est peut-ĂȘtre ce qui aujourd’hui, 2000 ans plus tard, commence Ă  se rĂ©veiller. C’est peutĂȘtre ce que nous devons faire, le suivre, c’est-Ă -dire, dĂ©couvrir que Dieu rĂ©side en nous-mĂȘmes et que la source de l’amour est lĂ . Q ? Comment, en Occident, pouvons-nous retrouver cette estime de nous-mĂȘmes ? Comment revenir recontacter, réécouter, le rien » pour retrouver notre Ăąme ? Nous arrivons lĂ  au point central de notre discussion. Comment faire lorsque nous avons conscience qu’il y a un problĂšme et comment faire de maniĂšre pragmatique ? La rĂ©ponse est simple il faut retourner au lieu de la brisure. Dans toutes les histoires, les contes pour enfants, les contes de fĂ©es de toutes les traditions, on retrouve cette notion. Le hĂ©ros doit aller au fond d’un puits, d’un lac
 Il doit aller dans ce lieu effrayant, s’y retrouver seul, et rencontrer le dragon. Ensuite il va pouvoir sauver la princesse. La princesse symbolise le Soi. Nous devons rencontrer et faire face aux dragons, Ă  nos dĂ©mons. Dans la vie contemplative nous connaissons bien cela. Ceux qui sont habituĂ©s Ă  une longue pratique de la contemplation, en silence avec soi-mĂȘme, ils rencontrent inĂ©vitablement les dragons, les dĂ©mons. Il est certain que ces pratiques conduisent Ă  ces rencontres, mais ce n’est pas grave. Si nous sommes capables de rester, de tenir, nous allons nous apercevoir que ces dĂ©mons ne sont que du vent. Par contre, si nous faisons tout pour Ă©viter d’aller dans ce lieu et Ă©viter les dĂ©mons, ils vont devenir monstrueux. La rĂ©ponse est donc celle-ci retournez Ă  l’endroit de la brisure. Q ? Quand nous Ă©tudions la tradition occidentale, on nous dit que Dieu est au-dessus de nous ou Ă  l’extĂ©rieur de nous. Il est assez facile d’adorer un dieu extĂ©rieur parce qu’on le prie, on l’adore, on lui demande pardon, on lui rend compte de ce qu’on a fait
 Mais trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de soi et se responsabiliser comme le font les traditions orientales est une autre paire de manches. D’autre part, nous pouvons constater un grand regain des Ă©glises Ă©vangĂ©listes qui ont beaucoup de succĂšs et, en mĂȘme temps, beaucoup de personnes mĂ©ditent. Alors qu’est-ce qui prĂ©domine ? De quel cĂŽtĂ© penche la balance ? Y-a-t-il un mouvement plus important qu’un autre ? Enfin, comment trouver Dieu Ă  l’intĂ©rieur de nous ? Je ne dis pas que nous devons choisir. Nous sommes appelĂ©s dans l’une ou l’autre des voies. Celle de l’adoration extĂ©rieure ou celle d’une quĂȘte intĂ©rieure. Ce qui est certain, c’est que, dans toutes les traditions et toutes les cultures du monde, cette recherche intĂ©rieure de Dieu, est fondamentale. Ce n’est pas une question de mode ça a toujours Ă©tĂ© lĂ . En Californie il y a un nombre incroyable de mouvements de mĂ©ditation. Dans chaque quartier des cours sont donnĂ©s aux enfants pour leur apprendre Ă  mĂ©diter. Bien sĂ»r, il ne s’agit pas d’arrĂȘter tout ce que l’on fait pour se mettre Ă  mĂ©diter, mais cette quĂȘte intĂ©rieure, cette pratique de l’intĂ©rioritĂ©, est Ă  coup sĂ»r la garantie que notre vie va changer dans le prĂ©sent d’abord mais aussi dans le futur pour de multiples raisons. Je pense que la principale raison de cette recherche intĂ©rieure est la souffrance. Bien sĂ»r, il y a toujours eu de la souffrance, c’est la condition mĂȘme de toute vie mais, la souffrance dont nous faisons l’expĂ©rience Ă  notre Ă©poque, ne peut pas ĂȘtre guĂ©rie ou rĂ©solue par les anciens systĂšmes. Je ne parle pas des systĂšmes qui remontent Ă  la Tradition, mais de ceux de nos parents et grandsparents. L’innocence qui sous-tendait l’Eglise de jadis a disparu. Aujourd’hui, le point d’orgue de cette rĂ©volution de l’évangile, pour sortir de notre blessure, est de plonger au cƓur mĂȘme de la blessure. Les voies de la psychothĂ©rapie conduisent Ă  passer Ă  travers la blessure. Nous ne pouvons pas faire l’économie d’un passage Ă  travers nos souffrances et nos blessures. Il n’y a pas d’issue en dehors de cette traversĂ©e qui demande d’expĂ©rimenter notre souffrance, non de la fuir. La crucifixion de JĂ©sus en est un grand symbole. Car comment pourrait-on reprĂ©senter cette souffrance massive au niveau du corps, du mental, du psychisme, d’une autre façon que celle d’ĂȘtre clouĂ© sur la croix ? La seule issue c’est d’aller au cƓur mĂȘme de la blessure. La mauvaise nouvelle dans tout cela c’est que nous devons passer par la douleur. C’est une douleur bien rĂ©elle que nous rencontrons. La bonne nouvelle c’est la dĂ©livrance. Il y a un trĂšs beau passage dans l’évangile de Thomas, non reconnu dans le droit canon, qui rapporte ces paroles du Christ Si tu veux sortir et mettre dehors ce qui te ronge, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur, cela te sauvera et te rendra libre. Mais si tu ne le fais pas, ce qui est Ă  l’intĂ©rieur te dĂ©truira ». Je vais reprendre un poĂšme, Ă©crit par David Whyte un Irlandais. Cela se passe au NĂ©pal dans les annĂ©es 1970. David Whyte a environ 25 ans. Il arrive dans un petit village isolĂ© qui s’appelle Braga. Il veut aller voir un temple proche mais trouve les portes fermĂ©es. Il attend le prĂȘtre qui a les clĂ©s. À l’entrĂ©e de ce temple il y a une reprĂ©sentation que l’on trouve trĂšs frĂ©quemment qui s’appelle Vajrapāni. C’est un dĂ©mon moitiĂ© homme-moitiĂ© femme. La moitiĂ© homme, Vajra, porte un couteau qui tranche les illusions de l’ego. La moitiĂ© femme, Pāni, est l’aspect fĂ©minin. David Whyte attend l’ouverture des portes en contemplant cette sculpture. Alors que prĂšs de la porte, Nous voyons la figure terrible, Les yeux fĂ©roces demandant Allez-vous passer? Cinq ou six autres personnes attendent. Le prĂȘtre arrive avec une lanterne. Et, quand il entre, il Ă©claire l’intĂ©rieur et dirige la lumiĂšre vers la voĂ»te de ce petit temple. Ce que le jeune homme voit alors est incroyable, indicible. Tout en haut, sont sculptĂ©s dans le bois, les visages des bodhisattvas, des Ă©veillĂ©s dans la tradition bouddhique. C’est magnifique ! ÉclairĂ© Ă  la lanterne parce qu’il fait trĂšs noir, l’ensemble est saisissant. David Whyte, se demande qui a pu sculpter avec tant d’amour ces visages qui incarnent le silence et l’amour. Il est certain que le sculpteur a contactĂ© quelque chose de grand et devait vivre lui-mĂȘme de ce silence. Suite Ă  cette expĂ©rience David Whyte Ă©crit MichaĂ«l cite et commente Ă  la fois le poĂšme. 
Si seulement nos propres visages permettaient Ă  l’invisible, le sculpteur, le crĂ©ateur, d’amener l’amour Ă  la surface
 Le sculpteur invisible, c’est le crĂ©ateur, c’est Dieu. 
Si nous savions, comme le sculpteur invisible, creuser le bois avec l’instrument qui tranche, le ciseau Ă  bois, jusqu’au cƓur du bois, et aller jusqu’au cƓur de la matiĂšre
 Ce sont tous les dĂ©fauts prĂ©sents dans le bois qui permettent, avec le ciseau, d’aller jusqu’au cƓur, de faire transpirer l’amour. Ce ne sont pas des erreurs, des failles dans le bois, c’est, au contraire, ce qui guide la main du sculpteur pour aller au cƓur. Si nous Ă©tions capables d’ĂȘtre, comme le sculpteur cĂ©leste guidĂ© par les dĂ©fauts du bois, guidĂ©s par les dĂ©fauts de notre chair, nous nous servirions aussi de nos dĂ©fauts et ne serions pas saisis par la peur
 LĂ  oĂč sont nos failles et nos dĂ©fauts, lĂ  aussi est la porte d’entrĂ©e pour aller au cƓur de nous-mĂȘmes. Tant que nous luttons,nos yeux sont blessĂ©s par le chagrin,et nos bouches sont assĂ©chĂ©es par la douleur. Si nous pouvions nous abandonner aux coups du ciseau du sculpteur invisible, les lignes de nos visages deviendraient des riviĂšres qui nourriraient la mer,lĂ  oĂč les voix se rencontrent, et nous parlerions des crĂ©atures de la montagne, du ciel, et des nuages. Si nous Ă©tions capables de nous livrer au couteau du sculpteur invisible, nos visages changeraient chaque jour, se transformeraient chaque jour, deviendraient plus jeunes chaque jour, et nous nous rassemblerions tous au confluent de toutes les cĂ©lĂ©brations. Dans ce poĂšme, dont seule la fin est citĂ©e, ce sont les parties les plus honteuses, les plus rĂ©primĂ©es et plus condamnĂ©es de nous-mĂȘmes, nos impuretĂ©s, notre Ă©goĂŻsme, nos aviditĂ©s
 toutes ces choses qui restent dans l’ombre, qui deviennent les chemins vĂ©ritables du Seigneur. Il est dit dans l’évangile qu’il ne faut rien laisser de nous-mĂȘmes en arriĂšre. Cela veut dire que nous devons avoir un esprit de misĂ©ricorde pour toutes nos zones d’ombre. Mais aussi les reconnaĂźtre, les aimer et se pardonner. LĂ  nous pouvons comprendre la misĂ©ricorde de Dieu qui pardonne. Par contre si nous les laissons en arriĂšre, si nous ne nous en occupons pas, si nous ne les aimons pas, nous ne pouvons pas ĂȘtre heureux et ne pouvons pas dĂ©couvrir l’amour de Dieu. Je pense bien sĂ»r, qu’un travail sur soi est nĂ©cessaire. Mais j’ai du mal Ă  dire que les lectures ne nous aident pas. Vous nous avez dit, c’est en tout cas ce que j’ai compris, que ce n’était pas la peine de lire des tas de choses mais, pour ma part, j’ai besoin de lectures pour avancer. Tout Ă  fait d’accord. Q ? Comment ne pas confondre cette quĂȘte intĂ©rieure qui nous dĂ©livrerait et nous permettrait de retrouver notre innocence avec une introspection qui augmenterait encore notre ego narcissique. Comment ne pas se tromper ? Oui c’est un problĂšme. C’est une difficultĂ© qui nous fait prendre conscience que nous sommes vraiment Ă  un carrefour, sur une ligne de crĂȘte. C’est vraiment un problĂšme parce que, ce moi narcissique, cet ego, ne lĂąche pas facilement le terrain. Il revient Ă  chaque fois que nous tentons de trouver une voie pour le court-circuiter ou simplement pour le faire tenir tranquille. Il trouve un autre chemin et se rĂ©affirme. L’ego est la derniĂšre chose qui s’abandonne et il demeure un problĂšme jusqu’au bout. Il existe des voies qui proposent de tuer l’ego. Mais ce n’est pas la bonne façon de faire. Il est prĂ©fĂ©rable de s’observer, de se rendre compte que nos actions, nos comportements ne sont motivĂ©s que par ce que l’on dĂ©sire pour soi. La cause de ceci est que nous ne nourrissons pas assez notre propre cƓur. Nous devons avoir une attitude bienveillante avec notre ego et, en mĂȘme temps, nourrir le vrai Soi. FIN Traduction simultanĂ©e Claire Dagnaux Transcription et notes Jacqueline Danigo Interview rĂ©alisĂ©e par l’association Chemins de Shanti le 2 janvier 2017
Saccepter tel que l’on est pour Ă©voluer. Laisser un commentaire / DĂ©veloppement Personnel, Non classĂ© / Par Jo. Nous sommes chaque jour polluĂ© par la vision de corps parfait, toujours plus jeune, toujours plus belle ou beau, toujours plus.. Cela nous renvoie Ă  notre propre image, Ă  notre apparence et au regard que nous posons sur nous. Nous sommes trop maigre trop grosse,
Lorsque vous cultivez des relations avec de nouvelles personnes qui forgent un lien Ă  vie, il est peu probable que vous essayiez de changer cette personne. Vous n'allez pas leur faire sentir qu'ils sont moins une personne Ă  cause de qui ils sont, de ce qu'ils aiment ou de ce qu'ils poursuivent dans la vie. Nous savons tous que ce n'est pas la bonne façon d'Ă©tablir des liens avec un autre ĂȘtre lorsque nous nous approchons de nous-mĂȘmes et poursuivons nos relations avec nous-mĂȘmes, il semble y avoir un dĂ©sir de nous changer, de nous punir ou de nous modifier pour rĂ©pondre Ă  certaines attentes. Si vous faisiez cela Ă  une autre personne, cela serait considĂ©rĂ© comme inacceptable ! Nous ne devrions pas nous traiter simple vĂ©ritĂ© de la vie est que votre seule relation stable et permanente est avec vous-mĂȘme. Pour cette raison, c'est le plus important que vous allez avoir et celui que vous devrez entretenir si vous voulez mener une vie heureuse. Certes, vous voudrez changer certaines choses, mais il y a un Ă©norme avantage Ă  simplement accepter et Ă  aller de l'avant Ă  partir de vous avez du mal Ă  vous installer, voici quelques conseils pour vous accepter afin de commencer Ă  vivre une vie dont les autres rĂȘvent !1. Prenez le temps de vous asseoir et de dĂ©couvrir qui vous ĂȘtesLe problĂšme majeur auquel de nombreuses personnes sont confrontĂ©es en matiĂšre d'acceptation de soi est qu'elles ne se sont pas encore engagĂ©es dans la dĂ©couverte de soi. Beaucoup de gens peuvent se sentir sans but et perdus, ce qui est finalement dĂ» Ă  un manque de soi et Ă  une comprĂ©hension peu claire de qui vous ĂȘtes et de ce que vous dĂ©couverte de soi est une premiĂšre Ă©tape nĂ©cessaire, mais elle demande beaucoup de travail et est en constante Ă©volution. Commencer votre propre voyage de dĂ©couverte de soi peut consister en ce qui suit DĂ©couvrir votre objectifChacun de nous peut se sentir appelĂ© Ă  faire quelque chose Ă  un moment donnĂ© qui aidera Ă  faire grandir les autres ainsi que sont vos passions? Qu'est-ce qui vous excite et vous fait oublier tout le reste ? Qu'est-ce que vous pourriez imaginer faire pour le reste de votre vie ?Parfois, la meilleure façon de dĂ©couvrir un but est simplement de sortir et d'agir jusqu'Ă  ce que vous en sachiez plus sur vos savoir plus sur vos valeurs et vos croyancesLes valeurs et les croyances, qui peuvent provenir de l'enfance ou de l'expĂ©rience des derniĂšres annĂ©es, aident Ă  structurer nos vies et nous poussent vers les choses qui comptent le plus pour quelqu'un qui a des liens Ă©troits avec la famille? Comptez-vous sur l'honnĂȘtetĂ© et l'intĂ©gritĂ© pour vivre votre vie ? Quelles sont vos croyances spirituelles ou religieuses ? À quel type de communautĂ© souhaitez-vous construire ou appartenir ?Ce sont des questions importantes Ă  poser car ces questions dictent les choix que vous faites tout au long de votre et suivi du quotidienMĂȘme si vous ne savez pas qui vous ĂȘtes, ce que vous faites rĂ©guliĂšrement vous dira certainement tout ce que vous devez sont les choses que vous aimez faire ? Quelles sont les choses qui ne vous amusent pas forcĂ©ment ? Quelles sont les habitudes que vous avez cultivĂ©es, saines ou non ? Quels sont tes rĂȘves? Des ambitions ? Objectifs?Nous avons tous des choses qui nous rendent uniques. Prenez le temps d'en apprendre davantage sur ces aspects de y a cette idĂ©e fausse selon laquelle l'acceptation va de pair avec le refus de changer, mais ce n'est pas vrai. L'acceptation commence par la reconnaissance et l'acceptation de qui est cette personne. Vous continuerez ensuite Ă  les nourrir et Ă  changer certains de ces aspects malsains, afin de pouvoir devenir qui vous voulez ĂȘtre. [1]2. Acceptez ce que vous ne pouvez pas changerTu es qui tu es. Vous aimez ce que vous aimez. Il y a certaines choses que vous pourrez changer dans votre vie pour le mieux et, il y a certaines choses qui seront simplement pour le reste de votre temps ici sur de l'Ă©nergie mentale Ă  souhaiter que vous puissiez changer des choses qui ne changeront jamais est une perte de temps et conduira inĂ©vitablement Ă  la tristesse. Quoi que vous souhaitiez changer, sachez que vous ĂȘtes un ĂȘtre humain digne, peu importe ce qui vous le temps d'ĂȘtre gentil avec vous-mĂȘme, baissez votre garde et embrassez ces choses, et apprenez Ă  surmonter cette voix intĂ©rieure qui vous dit que vous n'ĂȘtes pas assez bon. Afin d'ĂȘtre heureux avec qui nous sommes, nous devons nous permettre d'accepter tous les aspects de plus grand obstacle pour la plupart des gens, cependant, est d'apprendre Ă  cultiver l'acceptation de soi. Si vous Ă©prouvez des difficultĂ©s Ă  ce stade, voici quelques conseils qui vous permettront d'aborder le projet plus facilement Pratiquez un discours intĂ©rieur positif et dĂ©fiez toutes les pensĂ©es nĂ©gatives qui sortent de vous au fur et Ă  mesure qu'elles sont d'ĂȘtre aimant envers vous-mĂȘme et envers vos dĂ©fauts, plutĂŽt que d'essayer de les cacher ou de les que tout ce qui s'est passĂ© vous a conduit Ă  ce point et vous mĂšnera Ă  vos objectifs au fur et Ă  mesure que vous y du temps avec vous-mĂȘme en vous engageant dans des activitĂ©s agrĂ©ables afin de crĂ©er des liens avec vous-mĂȘme et de tomber amoureux de cette que vous aurez des journĂ©es faciles comme des journĂ©es difficiles. Prenez-les comme ils peut prendre du temps, mais Ă  la fin, vous serez reconnaissant d'avoir fait l'effort de cultiver l'amour de soi. [2] PublicitĂ©3. Changez ce qui doit ĂȘtre changĂ© pour votre avantageTout changement n'est pas un bon changement. Certains changements peuvent ĂȘtre nuisibles et ces changements doivent ĂȘtre certains changements peuvent ĂȘtre bĂ©nĂ©fiques et ce changement est le type qui vous aide Ă  grandir en tant que personne et vous permet de devenir la personne que vous voulez et la reconnaissance de vous-mĂȘme et du monde qui vous entoure sont formidables, mais vous devez comprendre que l'acceptation peut ĂȘtre Ă  la fois un outil d'insatisfaction et de bonheur. Les choses que vous ne pouvez pas changer doivent ĂȘtre acceptĂ©es et vous devez aimer ces choses ; mais les choses qui peuvent et doivent ĂȘtre changĂ©es nĂ©cessitent votre attention ĂȘtes une personne en pleine croissance et en constante Ă©volution et tout ce que vous faites doit ĂȘtre fait dans votre meilleur intĂ©rĂȘt. Par exemple, disons que vous avez fait un certain nombre de mauvais choix dans votre passĂ© qui ont eu un impact sur votre vie sociale et financiĂšre. Alors que vous devez accepter que ces choix ont Ă©tĂ© faits et accepter l'expĂ©rience qui vous a amenĂ© lĂ , vous ne devriez pas accepter votre ce qui doit ĂȘtre changĂ© et ce qui doit ĂȘtre adoptĂ© se rĂ©sume Ă  une chose cela vous permet-il de vivre une vie heureuse ?Si cela vous affecte de maniĂšre rĂ©aliste de maniĂšre nĂ©gative, cela doit cela vous affecte mais que c'est le rĂ©sultat d'une image de soi nĂ©gative et que ce n'est pas quelque chose qui aurait besoin d'ĂȘtre changĂ© autrement, c'est quelque chose que vous allez quand mĂȘme changer, procĂ©dez avec les chemins doivent finalement mener au bonheur. [3]DerniĂšres pensĂ©esVous ĂȘtes vous et c'est quelque chose qui ne changera jamais. Lorsque vous apprenez Ă  vous accepter et Ă  travailler vers la meilleure version de vous-mĂȘme que vous pouvez ĂȘtre, vous vous prĂ©parez Ă  une vie remplie de bonheur et de d'aide supplĂ©mentaire pour mettre en Ɠuvre les conseils que vous avez appris ci-dessus ? Jetez un oeil Ă  ces articlesComment l'autorĂ©flexion vous donne une vie plus heureuse et plus rĂ©ussie30 habitudes de soins personnels pour un esprit, un corps et un esprit forts et sainsComment dĂ©velopper l'estime de soi un guide pour rĂ©aliser votre pouvoir cachĂ©30 façons de pratiquer l'amour de soi et d'ĂȘtre bon envers soi-mĂȘmeCrĂ©dit photo en vedette Priscilla Du Preez via RĂ©fĂ©rence, , Saccepter telle qu'on est. zia911, le 01/02/2008. VoilĂ  oĂč j'en suis. La derniĂšre grande Ă©tape de ma thĂ©rapie, je pense. Je commence Ă  me rendre compte de tous les progrĂšs que j'ai fait depuis le dĂ©but. Maintenant il faut que j'apprenne Ă  montrer celle que je suis vraiment, Ă  assumer mes qualitĂ©s autant que mes dĂ©fauts, Ă  accepter français arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois anglais Synonymes arabe allemand anglais espagnol français hĂ©breu italien japonais nĂ©erlandais polonais portugais roumain russe suĂ©dois turc ukrainien chinois ukrainien Ces exemples peuvent contenir des mots vulgaires liĂ©s Ă  votre recherche Ces exemples peuvent contenir des mots familiers liĂ©s Ă  votre recherche Cela signifie s'accepter tel que l'on est... et Ă  partir de lĂ , choisir sciemment de changer les choses qui ne sont pas dans la lignĂ©e de la belle personne que l'on veut ĂȘtre. That means accepting the way you are... and then consciously choosing to change those things that are not in alignment with the beautiful person whom you wish to be. Plus de rĂ©sultats Cela signifie que s'il accepte notre demande, l'ordre sera automatiquement maintenu. Well, if he accepts our request, everything will be in order. Cela signifie accepter et faire avec la mondialisation. Surtout si cela signifie accepter compromettrait moi d'ĂȘtre un pompier. Especially if it means accepting it would jeopardize me being a firefighter. Cela signifie accepter de trouver une solution. Cela signifie accepter de partager une commune humanitĂ© avec l'autre». Cela signifie accepter qui vous ĂȘtes et ĂȘtre suffisamment fier de vous pour partager cela avec le monde. It means coming to terms with who you are and being proud enough of yourself to share that person with the world. Cela signifie accepter d'ĂȘtre condamnĂ©s Ă  la dĂ©composition et Ă  la mort, comme n'importe quelle autre crĂ©ature sur Terre. It means accepting that we are doomed to decay and die, just like any other creature on earth. Cela signifie accepter jour aprĂšs jour sa parole comme critĂšre valable pour notre vie. It means accepting his Word day after day as a valid criterion for our life. Pour elle, cela signifie accepter sa mort et conclure son existence dans la sĂ©rĂ©nitĂ©. For her, this means accepting her approaching death and closing her life in serenity. [Beaucoup de gens] pensent que cela signifie accepter l'Ă©chec dans la dignitĂ© et aller de l'avant. [Many people] think it means accept failure with dignity and move on. Cependant, notamment en pĂ©riode de chĂŽmage Ă©levĂ©, cette option n'est pas acceptable par les membres de foyers Ă  bas revenus, qui ont besoin d'un emploi rĂ©munĂ©rĂ© mĂȘme si cela signifie accepter un poste pour lequel ils sont surqualifiĂ©s. However, especially during a period of high unemployment, this is not an option for people from lower income households who need to find paid work even if it means accepting a job for which they are over-qualified. Par rapport au corps, cela signifie accepter la douleur, la maladie, le vieillissement et la mort. Cela signifie une acceptation par grĂące/faveur ou une attitude de rĂ©activitĂ©. Cela signifie qu'accepter la tenue d'Ă©lections Ă  date fixe constitue un pas dans le sens du progrĂšs. This means that accepting fixed election dates would be a step towards progress. Voici un aperçu des changements entourant le Visage de l'ID et ce que cela signifie pour accepter les transactions par l'intermĂ©diaire d'Apple Pay. Here's a brief rundown of the changes surrounding Face ID and what it means for accepting transactions through Apple Pay. Une fois votre inscription faite celĂ  signifie l'acceptation des conditions de vente de Khamvoyage. Once you book the tour with us it signifies your agreement and acceptance of the terms and conditions of Khamvoyage. Parce-que cela signifie qu'on accepte le principe d'universalitĂ©. Peut-ĂȘtre, en vous servant du mot accepter » n'avez-vous pas rĂ©alisĂ© qu'en anglais courant cela signifie accepter les choses telles qu'elles sont. Perhaps when you used the word 'accept' you did not realize that in ordinary English that means to accept things as they are. L'arrĂȘt ou le quasi-arrĂȘt de l'alimentation orale est souvent difficile Ă  accepter par la famille parce que cela signifie accepter que le patient va mourir. For family members, accepting the patient's poor oral intake is often difficult because it means accepting that the patient is dying. Aucun rĂ©sultat pour cette recherche. RĂ©sultats 109090. Exacts 1. Temps Ă©coulĂ© 1572 ms. Documents Solutions entreprise Conjugaison Synonymes Correcteur Aide & A propos de Reverso Mots frĂ©quents 1-300, 301-600, 601-900Expressions courtes frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200Expressions longues frĂ©quentes 1-400, 401-800, 801-1200 Lebesoin de « s’accepter tel que l’on est » Le voici dĂ©clinĂ© par les participants : Quand je pratique l’écriture automatique le matin. J’ai des messages spirituels qui me font prendre du recul sur ce que je vis et qui m’apaisent. Quand je me sens autonome et que je fais quelque chose toute seule. Quand je suis en paix. Quand je mĂ©dite. Quand je me sens utile aux Ce dictionnaire contient 78 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le verbe accepter. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur accepter issus des quatre coins du monde En toute chose il faut ĂȘtre semblable au CrĂ©ateur comme lui il ne faut accepter que les louanges. Oscar Wilde ; Les aphorismes et pensĂ©es 1854-1900 Le bonheur de l'homme n'est pas dans la libertĂ©, mais dans l'acceptation d'un devoir. AndrĂ© Gide ; Journal 1887-1950 On se fait responsable du bonheur de celui dont on accepte l'amour. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 J'aime le courage ; c'est en mĂȘme temps accepter et dĂ©fier tout ce qui peut arriver. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Je me rĂ©volte contre un reproche injuste, mais quand je sens qu'il est fondĂ© et que j'ai tort, je l'accepte avec plaisir, parce que la vĂ©ritĂ© m'est toujours chĂšre. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Ne pas tenir Ă  la vie et pourtant l'accepter vaillamment, cela est difficile. Les uns l'aiment trop, les autres ont de la peine Ă  la supporter. Tous se cherchent en elle et pensent Ă  eux au lieu de songer au but. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 Ce qu'il nous faut dĂ©penser de courage chaque jour pour accepter la vie, donne l'idĂ©e de ce que nous en avons tous. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 Il faut parfois longtemps pour qu'une vĂ©ritĂ© dĂ©montrĂ©e devienne une vĂ©ritĂ© acceptĂ©e. Gustave Le Bon ; Les incertitudes de l'heure prĂ©sente 1924 La condition premiĂšre pour ĂȘtre heureux dans la vie, c'est d'accepter d'ĂȘtre ce que nous sommes. Arthur Schopenhauer ; Les aphorismes sur la sagesse dans la vie 1886 Toute notre vie avec notre belle morale et notre chĂšre libertĂ©, cela consiste en fin de compte Ă  nous accepter tels que nous sommes. Jean Anouilh ; Le voyageur sans bagage 1937 Quand la vie dit Je ne veux pas, » que rĂ©pondre ? Faire la rĂ©vĂ©rence et accepter. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Je crois, donc j'accepte. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Faute d'aigles, l'AcadĂ©mie accepte les pigeons. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Aimer, c'est plus que donner, c'est accepter. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 On accepte la menue monnaie de l'amour, la menue monnaie de l'amitiĂ©, mais on n'accepte pas la menue monnaie filiale. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 L'homme qui accepte la plainte qu'il se prĂ©pare Ă  accepter le conseil. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 La tĂąche est comme la belle-mĂšre, dĂ©jĂ  dure Ă  accepter de nom. Anne Barratin ; Chemin faisant 1894 Il ne faut pas demander aux sangliers d'ĂȘtre des hermines, et il faut accepter les autres comme ils sont, tout en ayant soin de rester fidĂšle Ă  soi-mĂȘme. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 27 octobre 1875. Avant d'accepter un jugement, demandez-vous ce qu'est le juge. Louis Joseph Mabire ; Le dictionnaire de maximes 1830 Nous acceptons tout de celui qui nous aime ou nous admire parce que, de lui, nous pouvons accepter un blĂąme sans perdre cette confiance en nous-mĂȘme, faute de laquelle la vie serait trop pĂ©nible. AndrĂ© Maurois ; Sentiments et coutumes 1934 On ne peut sans s'avilir rien accepter de la scĂ©lĂ©ratesse. Manon Roland ; Les maximes et pensĂ©es 1793 La femme Ă  qui tu proposes la botte, quand elle ne te gifle pas, c'est qu'elle accepte. FrĂ©deric Dard ; Les pensĂ©es de San-Antonio 1996 Il faut trouver un autre mot pour dĂ©signer les notables qui n'acceptent plus d'ĂȘtre notĂ©s. Philippe Bouvard ; Mes derniĂšres pensĂ©es sont pour vous 2017 Dans la vie, il faut savoir ce qu'on veut, et accepter d'avance les consĂ©quences de ses propres actions. Victor Cherbuliez ; Miss Rovel 1875 Accepte tout ce qui t'arrive, souffre et attends, et dans le temps de l'humiliation garde la patience. Henri Perreyve ; La journĂ©e des malades 1864 Que sert de pleurer le passĂ© ? Ceux-lĂ  seuls ont du courage qui acceptent l'avenir sans crainte et ne regrettent du temps d'autrefois que leurs fautes. Henri Perreyve ; Les lettres de l'abbĂ© Henri Perreyve 1850-1865 Il est parfois humble d'accepter avec simplicitĂ© un Ă©loge flatteur. Vladimir JankĂ©lĂ©vitch ; Les vertus et l'amour 1970 Accepter une place, c'est consentir Ă  borner ses idĂ©es Ă  une certaine sphĂšre dont le gĂ©nie s'accommode mal aussi le voit-on toujours prĂ©fĂ©rer son indĂ©pendance Ă  tout. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 Quand on choisit d'aimer quelqu'un, on accepte d'ĂȘtre inquiet. Gilles Archambault ; À voix basse 1983 Je n'accepte de mourir sous aucun prĂ©texte. Georges Brassens ; Journal et autres carnets inĂ©dits 2014 Traductionsen contexte de "Cela signifie s'accepter" en français-anglais avec Reverso Context : Cela signifie s'accepter tel que l'on est et Ă  partir de lĂ , choisir sciemment de changer les choses qui ne sont pas dans la lignĂ©e de la belle personne que l'on veut ĂȘtre. Traduction Context Correcteur Synonymes Conjugaison. Conjugaison Documents Dictionnaire Dictionnaire Accueil ebook > Savoirs > Sciences humaines > Psychologie Éditions Jouvence Collection Pratiques Date de publication 2014-01-29 TĂ©lĂ©chargement ebook sans DRM Gagnez 0,40 € en recommandant ce livre avec S’aimer tel que l’on est constitue un projet non seulement lĂ©gitime mais, surtout, le lien unique, salvateur et libĂ©rateur entre soi et soi. À ne pas s’accepter, la vie devient un combat Ă©puisant qui transforme l’individu en un pitoyable guerrier dans un monde oĂč l’ennemi semble rĂŽder partout !Une des grandes difficultĂ©s chez l’homo sapiens est liĂ©e Ă  des rĂ©actions pulsionnelles inconscientes qui le poussent Ă  se faire aimer de l’autre pour s’autoriser Ă  s’aimer ensuite. Cette relation, peu Ă  peu sadomasochiste, fabriquera un sentiment d’infĂ©rioritĂ© pour le sujet en quĂȘte systĂ©matique d’une reconnaissance par l’autre...La question du narcissisme et de son ambivalence n’a cessĂ© d’ĂȘtre et ce, Ă  juste titre l’objet de rĂ©flexions multiples qui ont en commun de faire le distinguo entre Ă©goĂŻsme, Ă©gotisme et estime de pourquoi cette recherche d’équilibre intĂ©rieur, abordĂ©e raisonnablement, ne peut s’établir sans comprĂ©hension de la structure affective inhĂ©rente Ă  tout individu. Guide des formats Les livres numĂ©riques peuvent ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ©s depuis l'ebookstore Numilog ou directement depuis une tablette ou smartphone. PDF format reprenant la maquette originale du livre ; lecture recommandĂ©e sur ordinateur et tablette EPUB format de texte repositionnable ; lecture sur tous supports ordinateur, tablette, smartphone, liseuse Votre support de lecture Format Protection Application Ordinateur -EPUB -PDF DRM Adobe LCP Lecture en ligne streaming Adobe Digital EditionsDRM Adobe Thorium Reader LCP Tablette et smartphone iOS / Android EPUB PDF LCP DRM Adobe Appli Lisa IOS / Androidne lit pas les fichiers protĂ©gĂ©s par Adobe DRM Appli Lea Reader IOS/ Androidne lit pas les fichiers protĂ©gĂ©s par Adobe DRM Adobe Digital Edition IOS/AndroidLit uniquement la DRM Adobe Liseuse EPUB DRM Adobe Module de lecture de la liseuse Liseuse Diva EPUB LCPDRM Adobe Module de lecture de la liseuse Diva Consultez l’aide pour en savoir plus. Solution LCP DRM Ce livre est protĂ©gĂ© contre la rediffusion Ă  la demande de l'Ă©diteur DRM. La solution LCP apporte un accĂšs simplifiĂ© au livre une clĂ© d'activation associĂ©e Ă  votre compte client permet d'ouvrir immĂ©diatement votre livre numĂ©rique. Les livres numĂ©riques distribuĂ©s avec la solution LCP peuvent ĂȘtre lus sur Le logiciel Thorium Reader pour PC/Mac/Linux Les applications compatibles LCP Lis-a pour iOS et Android, Lea Reader pour Android , Aldiko Next pour IOS et Android La liseuse Bookeen DIVA et Vivlio Solution Adobe DRM Ce livre est protĂ©gĂ© contre la rediffusion Ă  la demande de l'Ă©diteur DRM. La solution Adobe consiste Ă  associer un fichier Ă  un identifiant personnel Adobe ID. Une fois votre appareil de lecture activĂ© avec cet identifiant, vous pouvez ouvrir le livre avec une application compatible. 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\n \ns accepter tel que l on est
Detrùs nombreux exemples de phrases traduites contenant "accepter tel que l'on est" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises.
CorrĂšze. La photo pour s'accepter tel que l'on est. Samuel GĂ©raudie est passionnĂ© de photo depuis toujours. Il a dĂ©cidĂ© de mettre sa passion au service des autres pour qu'ils se sentent mieux en proposant des sĂ©ances de photographie thĂ©rapeutique. Vers l'Ăąge de 10 ans, il a voulu fabriquer l'objet de ses rĂȘves. MĂȘme s'il Ă©tait un peu bancal, il possĂ©dait enfin son premier appareil photo. J'avais dĂ©coupĂ© la forme d'un appareil dans une boĂźte Ă  chaussures. Un trou pour la visĂ©e, un trou pour imiter l'objectif et je jouais avec. Voyant combien cet objet me passionnait, mes parents m'ont donnĂ© le leur. Ce n'Ă©tait plus fictif, je pouvais faire mes 1res photos. » Une activitĂ© complĂ©mentaire CorrĂšze. La photo pour s'accepter tel que l'on est. Samuel GĂ©raudie ne savait pas encore que cette passion allait le suivre tout au long de sa vie. Ah, j'en ai fait dĂ©velopper des photos ! Je faisais des clichĂ©s, pour le plaisir. À 30 ans, j'ai eu mon premier appareil numĂ©rique et je me suis consacrĂ© Ă  la photo encore plus sĂ©rieusement. En 2014, j'ai achetĂ© mon premier reflex, le Saint Graal qui me donne envie d'aller toujours plus loin. La photo est un antidĂ©presseur, une Ă©chappatoire aux soucis quotidiens. J'aime donner du plaisir aux gens autant que j'en prends. J'aime transmettre ce que je dĂ©couvre. » Samuel a créé sa sociĂ©tĂ© en 2020 pour couvrir des Ă©vĂšnements. Il s'est vu confier les books de modĂšles Miss Rondes. Aujourd'hui il rajoute une corde Ă  son arc la photographie thĂ©rapeutique, une mĂ©thode qui a pour but de rĂ©parer l'estime de soi, de se rĂ©concilier avec son image, et de s'accepter tel que l'on est. J'ai rĂ©ussi Ă  aider des personnes avec de simples shootings. C'est en voyant le bien que ça faisait aux modĂšles que j'ai voulu aller plus loin. » Il suit actuellement une formation mais son studio est prĂȘt. Actuellement il exerce la photographie thĂ©rapeutique comme une activitĂ© complĂ©mentaire, il espĂšre pouvoir en faire son activitĂ© principale. Contact. Lins'temps photos, Samuel GĂ©raudie, tĂ©l. ou ou https \\
CettepensĂ©e est confortĂ©e par JĂ©rĂŽme Mataneel qui a expliquĂ© lors d’un de ses sĂ©minaires : « quand on parle d’acceptation, on ne parle pas de rĂ©signation ». S’accepter ; c’est de ne pas se laisser influencer par la pensĂ©e commune, de ne pas aller Ă  l’encontre de ce que l’on est, de ne pas cĂ©der Ă  la pression sociale et
soustrayable adj. que l'on peut soustraire passage obligĂ© nm. Ă©tape que l'on ne peut Ă©viter [Fig.] imprivatisable adj. que l'on ne peut pas privatiser créé par Christian Estrosi en parlant de la Poste transgressible adj. que l'on peut transgresser, enfreindre Sur le modĂšle d'intransgressible, intransgressable. ! sieste nf n. repos que l'on prend aprĂšs le dĂ©jeuner chasse gardĂ©e n. domaine, terrain que l'on se rĂ©serve figurĂ© ex la politique Ă©trangĂšre est la chasse gardĂ©e du chef de l'Ă©tat ! genera non percunt n. lorsqu'on est dĂ©biteur d'une chose de genre, on ne peut s'abriter, pour se soustraire Ă  l'exĂ©cution, derriĂšre le fait que les objets que l'on voulait livrer ont pĂ©ri ; on peut toujours se procurer des biens Ă©quivalents pour satisfaire Ă  son obligation. [Leg.] peser ses mots v. faire attention Ă  ce que l'on dit, ne pas exagĂ©rer, dire des choses dont on est sĂ»r c'est vraiment un spectacle incroyable, et je pĂšse mes mots! bienvenue au club ! exp. se dit pour indiquer Ă  son interlocuteur que l'on est dĂ©jĂ  plusieurs dans la mĂȘme situation [familier] Ex. "- J'en ai marre du mauvais temps ! - Bienvenue au club !". mieux vaut tenir que courir exp. il vaut mieux se satisfaire de ce que l'on a rĂ©ellement, mĂȘme si c'est moins que ce que l'on peut espĂ©rer, mais que l'on n'est pas sĂ»r d'obtenir voir aussi "un tiens vaut mieux que deux tu l'auras" parce que je le vaux bien exp. s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mĂ©rite lĂ©gitimement ce que l'on a, ce que l'on dĂ©sire [Hum.] * allusion au slogan publicitaire de l'OrĂ©al * s'emploie Ă©galement Ă  propos d'autres personnes et de façon ironique ou non "si sa cote chute, c'est parce qu'il le vaut bien" On est parti sans moi exp. Fiquei para trĂĄs brique nf. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] on dit aussi "un tĂ©lĂ©phone briquĂ©" podcast nm. fichier audio ou vidĂ©o que l'on peut tĂ©lĂ©charger [Inform.] le terme officiellement recommandĂ© est "balado" ! honneur nm n. sentiment que l'on a de sa propre dignitĂ© sauver son honneur; c'est tout Ă  ton honneur tĂ©lĂ©phone briquĂ© nm. tĂ©lĂ©phone portable que l'on ne peut plus dĂ©marrer [Fam.];[Hum.] passer la vitesse supĂ©rieure vi. aller plus vite dans ce que l'on entreprend [Fam.];[Fig.] voir aussi "appuyer sur la pĂ©dale le champignon" l'herbe est toujours plus verte ailleurs exp. on s'imagine toujours que c'est mieux ailleurs que lĂ  oĂč l'on est mĂȘme pas + nom ou adjectif adv. s'emploie pour laisser penser que l'on n'a pas..., que l'on n'est pas... [Hum.] exemple "dĂ©mĂ©nager ton piano ? mĂȘme pas peur !" ressenti nm. la chose que l'on ressent ; ce que l'on Ă©prouve ; le sentiment par ouĂŻ-dire exp. que l'on tient d'une ou plusieurs personnes que l'on a ouĂŻes, donc par oral "Par ouĂŻ-dire dans le journal" ne paraĂźt donc possible que dans un journal sonore pour malvoyants ou pire aveugles et encore il n'y a pas la nuance de bouche Ă  oreille.
Saccepter tel que l'on est est souvent difficile. On a souvent du mal Ă  voir nos qualitĂ©s et atouts et on a tendance Ă  pointer du doigt que nos erreurs et nos dĂ©fauts. Mais pas de panique, Loovia vous dĂ©voile tous ses conseils et astuces pour booster votre confiance en vous et votre estime de vous-mĂȘme ! QU’EST-CE QUE
RĂ©cemment, un ami m’a dit que sa mĂšre voulait paraĂźtre moins imparfaite » qu’elle ne l’était en rĂ©alitĂ©. Elle Ă©tait gentille » et cela signifiait en fait ne pas ĂȘtre honnĂȘte avec les gens qui lui Ă©taient proches Ă  propos de choses qui l’irritaient ou la dĂ©rangeaient. Elle ne laissait voir Ă  son entourage que les aspects d’elle-mĂȘme qu’elle percevait comme corrects, positifs, seulement ses forces, et non ses faiblesses. Mon ami regrettait qu’elle n’ait pas pu avoir une vie plus authentique et des relations plus profondes et sincĂšres. Selon ses propres termes Les funĂ©railles de ma mĂšre ont Ă©tĂ© difficiles pour moi parce que la personne reprĂ©sentĂ©e durant la cĂ©rĂ©monie avait peu Ă  voir avec ce qu’était vraiment ma mĂšre. J’aurais aimĂ© que plus de gens puissent la connaĂźtre, avec ses failles et ses faiblesses mais de son vivant elle n’a donnĂ© accĂšs Ă  personne Ă  ces aspects-lĂ  de sa personnalitĂ© ». J’ai su que cela touchait une corde sensible en moi car les paroles de mon ami me sont revenues Ă  l’esprit au cours des semaines qui ont suivi. J’ai commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir davantage Ă  la frĂ©quence Ă  laquelle moi et beaucoup d’entre nous ! faisons la mĂȘme chose nous priver de la possibilitĂ© d’ĂȘtre notre vrai moi, authentique, dans les choix quotidiens. La vie n’est pas faite que de grands Ă©vĂ©nements, elle se dĂ©roule surtout dans les centaines de petites choses qui font le quotidien. Comment nous nous occupons, comment nous parlons aux gens, avec qui nous choisissons de passer du temps, ce Ă  quoi nous pensons, ce sur quoi nous travaillons c’est tout cela qui constitue notre vie quotidienne. Les dĂ©cisions et les choix que nous faisons chaque jour ont donc une rĂ©elle importance. Lorsque nous sommes gentils » ou avons la bonne attitude », ou que nous nous dĂ©robons Ă  une interaction stressante ou que nous dĂ©cidons de ne pas poursuivre une pensĂ©e, une idĂ©e ou un objectif qui nous passionne, nous nous trahissons. Nous nions qui nous sommes Ă  ce moment-lĂ . Nous freinons notre propre croissance et, par extension, celle des autres. Nous manquons l’occasion de vivre pleinement notre vie. Qu’est-ce qui nous en empĂȘche ? La peur la peur qui nous bloque, qui nous empĂȘche de rĂ©pondre Ă  nos besoins importants ou peut-ĂȘtre mĂȘme de dĂ©couvrir ce qu’ils sont. La peur qui nous empĂȘche de pleinement fonctionner. Parce que nous avons souvent peur de l’inconnu, nous avons peur du changement. Nous choisissons d’ĂȘtre prudents et de nous en tenir Ă  ce que nous savons. Nous nous empĂȘchons de relever certains dĂ©fis, d’entreprendre certaines actions, d’occuper certains postes et de nouer certaines relations. Nous nous adaptons Ă  des situations dĂ©sagrĂ©ables, mauvaises ou malsaines parce que c’est plus confortable que d’affronter l’inconnu. On pourrait appeler cela la peur de vivre ». Comme le dit la psychologue Rochelle Myers, la plupart des gens vivent sur la pointe des pieds en essayant d’atteindre la mort en toute sĂ©curitĂ© ». La clĂ© est l’acceptation de soi La vĂ©ritable acceptation de soi se produit lorsque nous pouvons accepter chaque aspect de notre ĂȘtre et de notre corps. Qu’est-ce qui conduit Ă  une telle acceptation de soi ? Comment pouvons-nous en arriver Ă  accepter tous nos sentiments, toutes nos pensĂ©es et tous nos besoins ? Cela commence lorsque nous nous ouvrons aux aspects cachĂ©s de nous-mĂȘmes et que nous les acceptons, les intĂ©grons et mĂȘme les enlaçons. Voici une autre utilisation puissante et importante de l’écoute active qui est le langage de l’acceptation tout comme nous le faisons avec les autres lorsqu’ils ont besoin d’empathie, de comprĂ©hension et d’acceptation, nous pouvons nous accompagner nous-mĂȘmes. Tout comme nous aidons un collĂšgue de travail, un enfant ou un ami Ă  surmonter sa colĂšre et Ă  atteindre un sentiment ou un point de vue plus profond, nous pouvons jouer ce mĂȘme rĂŽle vis-Ă -vis de nous-mĂȘmes. Lorsque nous perdons le besoin de nous juger constamment et que nous pouvons apprendre Ă  nous accepter nous-mĂȘmes, nous nous ouvrons la possibilitĂ© de devenir de plus en plus ce que nous sommes capables d’ĂȘtre, car le fait de nous accepter tels que nous sommes nous donne en fait la libertĂ© de changer. Nous commençons Ă  dĂ©couvrir toute l’étendue de notre propre singularitĂ© et Ă  nous sentir libres de l’exprimer et d’agir en consĂ©quence. Nous pouvons Ă©galement dĂ©velopper une acceptation de soi plus profonde en Ă©tablissant, en entretenant et en maintenant des relations que l’on peut qualifier de thĂ©rapeutiques » avec d’autres personnes – des personnes qui nous acceptent tel que nous sommes et non tel que nous pensons devoir ĂȘtre. Il s’agit de relations dans lesquelles chacun de nous est libre et dĂ©sireux d’ĂȘtre lui-mĂȘme, c’est-Ă -dire que nos paroles et notre comportement correspondent Ă  nos sentiments, et dans lesquelles nous pouvons tous deux nous Ă©couter avec empathie. Lorsque nous avons tous les deux le courage, la compĂ©tence et l’intention d’entretenir de telles relations, nos interactions permettent aux personnes uniques que nous sommes de continuer Ă  Ă©merger. Traduit et adaptĂ© par Paul Herlaut Photo Lisa Fotios / Pexels 142XbvT.
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